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Mots-clefs > B > biens communs
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Des biens communs aux services écosystémiques : changement de discours ou changement de locuteur ? / Xavier Arnauld de Sartre

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail / 11-03-2013 / Canal-u.fr
ARNAULD DE SARTRE Xavier
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Des biens communs aux services écosystémiques : changement de discours ou changement de locuteur ? / Xavier Arnauld de Sartre. In séminaire "Penser les biens communs dans le espaces ruraux : regards croisés", organisé par le laboratoire "Dynamiques rurales" de l'Université Toulouse II-Le Mirail avec le soutien des doctorants et étudiants du master "Développement des territoires ruraux et de l'École Doctorale TESC (Temps, Espaces, Sociétés, Cultures), Université Toulouse II-Le Mirail, 11-12 mars 2013.Cette communication rend compte de l'observation de la notion de "services écosystémiques" comme moyen de gestion de la nature, de sa montée en puissance à partir de 2005 (Millenium Ecosysteme Assessment) et de son corollaire, la notion de paiement pour services écosystémiques, au détriment de celle de biodiversité et de la gestion des "communs". La notion de services écosystémiques appellerait à une monétarisation de la nature (commodification), au découpage de la nature en entité, en morceaux, que l'on pourrait gérer par le recours au marché pour mettre en place une régulation, la création de droits d'accès privé, l'établissement de valeurs de la nature. C'est ce qui devrait donner la notion de services écosystémiques, pourtant ce n'est pas cela qui est rencontré sur le terrain.
Mot(s) clés libre(s) : services écologiques, biens communs, gestion des écosystèmes, marchandisation de la nature
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Les communs, quelles définitions, quels enjeux ? / Geneviève Azam

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail / 11-03-2013 / Canal-u.fr
AZAM Geneviève
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Les communs, quelles définitions, quels enjeux ? / Geneviève Azam. In séminaire "Penser les biens communs dans le espaces ruraux : regards croisés", organisé par le laboratoire "Dynamiques rurales" de l'Université Toulouse II-Le Mirail avec le soutien des doctorants et étudiants du master "Développement des territoires ruraux et de l'École Doctorale TESC (Temps, Espaces, Sociétés, Cultures), Université Toulouse II-Le Mirail, 11-12 mars 2013. La notion de "communs" est apparue dans l'Angleterre du XIIIe siècle avec le "mouvement des enclosures" à propos de la propriété privée agraire, pour disparaître au XIXe siècle, période à partir de laquelle c'est la propriété étatique qui sera opposée à la propriété privée. Les (biens) communs sont différents des biens publics, différents des biens collectifs et ne sont pas non plus des biens en libre-accès [cf. les théories économiques d'E. Ostrom vs G. Hardin]. Qu'ils soient des communs naturels (forêt, eau...), culturels ou informationnels, les communs sont notamment caractérisés par le fait qu'ils sont gérés par une communauté qui les gouverne selon des règles codifiées, dans une perspective d'usage -et non d'appropriation- assorti d'une obligation de restitution. Les années 1980-1990 voient la ré-émergence des communs notamment avec les recherches de l'économiste néo-institutionnaliste Elinor Ostrom, avec le deuxième mouvement d'enclosure autour des nouveaux droits de propriété intellectuelle sur les découvertes, avec la crise de la globalisation économique et financière et avec la crise écologique. Le débat autour des communs et de leur gestion concerne aujourd'hui autant la recherche universitaire, que les ONG et les mouvements sociaux qui s'en emparent, comme en a témoigné le sommet Rio+20 en 2012.
Mot(s) clés libre(s) : propriété du vivant, propriété foncière, biens communs, Elinor Ostrom (1933-2012), communs naturels
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais, Marc Lavastrou

/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail / 13-10-2014 / Canal-u.fr
LANGLAIS Pierre-Carl, LAVASTROU Marc
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Réflexions théoriques sur l'application de la notion de bien commun à l'activité scientifique / Pierre-Carl Langlais et Marc Lavastrou. In Journée d'études "Generation Open : Open Science", organisée dans le cadre de l'Open Access Week par Françoise Gouzi (Direction en Appui à la Recherche-DAR) et Marc Lavastrou (Centre de Recherches et d'Études Germaniques-CREG), avec le soutien de Foster (Facilitate Open Science Training for European Research) et le consortium Couperin. Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 13 octobre 2014.Tour à tour, Marc Lavastrou et Pierre Carl Langlais retracent les notions de bien commun et d’activité scientifique et éditoriale à travers les époques. Au milieu du XVIIe siècle, deux communautés scientifiques -française et anglaise- se constituent autour de revues créées par des sociétés savantes (Royal Society notamment), les auteurs ne sont pas rémunérés et il existe une grande liberté de pensée, une incitation forte à publier et à partager la production intellectuelle sans souci du droit d’auteur. La diffusion du savoir est alors prioritaire sur les logiques propriétaires et marchandes. Nous sommes alors clairement en dehors de toute logique de marché mais aussi en dehors de toute logique d’évaluation de la recherche. Ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que les grandes maisons d’éditions telles que Elsevier et Springer, spécialisées dans la littérature scientifique, vont parvenir à imposer peu à peu leurs conditions à la communauté des chercheurs en rachetant progressivement des petits éditeurs français. Depuis les années 1970, quatre gros éditeurs commerciaux ont le monopole et les inégalités entre les pays en voie de développement s’accentuent. Marc Lavastrou définit la notion de bien commun comme étant associé à une ressource, une communauté et un ensemble de règles sociales (Internet est une ressource immatérielle, les logiciels libres reposent sur des pratiques collaboratives), puis propose un éclairage sur les travaux d’Elinor Ostrom (première femme à recevoir le prix Nobel d’économie en 2009) et David Bollier (auteur de La renaissance des communs et cofondateur de https://www.publicknowledge.org/), qui réaffirment que les biens communs doivent être gérés de manière raisonnée comme des ressources naturelles et finies (eau, forêt), mais également immatérielles comme Internet ou la connaissance. Grâce à l’ouvrage dirigé par Elinor Ostrom et Charlotte Hess, Understanding Knowledge as a Commons (The MIT Press, 2011), la recherche scientifique est alors étudiée sous l’angle d’un commun pour lequel il est nécessaire d’établir des règles sociales afin de la société puisse se réapproprier ce bien qui est actuellement accaparé et contrôlé par des intérêts privés. Ce phénomène d’enclosure est néfaste tant pour la recherche que pour la société en générale.
Mot(s) clés libre(s) : archives ouvertes, libre accès à l'information scientifique et technique, biens communs informationnels, archives institutionnelles, open access, diffusion des résultats de la recherche
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Faire la ville en biens communs

/ Jacques DELAYE / Canal-u.fr
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Retransmission de la table ronde "Faire la ville en (biens) communs" du 10 octobre 2015 à l'Ecole Nationale Supérieure d'Architecture de Lyon (Vaulx-en-Velin), dans le cadre du festival 2015 "Le temps des communs" et du laboratoire de recherche Laure-EVS.Une rencontre avec Christian Laval - sociologue, Alberto Maganghi - architecte et urbaniste, et Bruno Charles - élu à la Métropole de Lyon, afin de mieux comprendre la notion de communs et d'aborder les alternatives que sous‐tendent les expériences des communs en matière de gestion des ressources et de gouvernance des territoires.La notion de « communs » a connu ces dernières années un regain d'intérêt, parallèlement au développent des initiatives visant à générer, gérer et partager des ressources et à répondre aux aspirations de collectifs souvent issus de l'économie collaborative, du numérique et de l'écologie : jardins partagés, habitat participatif, cartographie et semences libres, tiers lieux, fablab, monnaies locales, communautés de défense du patrimoine, mobilités ou énergie partagées, sciences et contenus éducatifs ouverts, échanges de savoirs…Les communs ont jusqu'ici surtout été abordés sous des aspects économiques et juridiques et commencent seulement à questionner la dimension territoriale, notamment parce que les formes de citoyenneté qui sous‐tendent l’action des collectifs autour des communs renouvellent les fondements de la démocratie participative et le sens de la référence au territoire.- présentation de la table ronde : - table-ronde - questions du public
Mot(s) clés libre(s) : sociologie, citoyenneté, gouvernance, biens communs
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