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« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Introduction
/ Canal-u.fr
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Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencièreFrance Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
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« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Gestion des corpus de peu lettrès à l'ère des d'humanités digitales (2)
/ Canal-u.fr
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Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
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« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Écrits de peu lettrés dans l'espace social - Introduction
/ Canal-u.fr
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La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
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« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Documenter hier et aujourd'hui : diachronie et géographie
/ Canal-u.fr
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Conférence présentée par France Martineau au séminaire du laboratoire PRAXILING (UMR 5267), le 23 février 2015, à l’invitation de l’équipe « Corpus 14 » (http://www.univ-montp3.fr/corpus14/).La conférencière
France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
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« Les voix de papier : écrits de peu-lettrés en Amérique française » Gestion des corpus de peu lettrès à l'ère des d'humanités digitales (1)
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France Martineau est professeur titulaire à l’Université d’Ottawa (Chaire Frontières, réseaux et contacts en Amérique française). Chercheuse de renommée internationale, elle dirige le projet Polyphonies du français (http://polyphonies.uottawa.ca/).
Les
écrits ordinaires, correspondance et journaux personnels, permettent de jeter
un éclairage sur la langue, à travers les traces d’oralité qui percent l’écrit.
Ils ouvrent également une fenêtre sur les pratiques linguistiques et les
réseaux et alliances qui se tissent entre locuteurs d’une même communauté,
notamment en contexte de bilinguisme.Après une brève description du Corpus de français
familier ancien
(http://polyphonies.uottawa.ca/fr/corpus/i-corpus-de-francais-familier-ancien/)
constitué d’écrits de scripteurs de France et d’Amérique française, du 17e
siècle jusqu’au début du 20e siècle, nous nous attarderons aux
écrits de deux familles de condition modeste, écrivant aux 18e et 19e
siècles au Canada français. Nous discutons des stratégies d’écriture des
peu-lettrés et de ce que peut révéler l’écrit sur les usages de l’époque, à un
moment où le Canada français est isolé de la France, suite à la Conquête
britannique, et où le contact avec l’anglais s’accroît. Nous montrons également
comment certaines pratiques linguistiques s’éclairent quand on examine les
réseaux et le capital symbolique que représente la langue pour les locuteurs. Mot(s) clés libre(s) : francophonie, sociolinguistique, littératie, corpus linguistique, Ecrits
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