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Séminaire exceptionnel avec Erik Olin Wright
/ Thomas GUIFFARD
/ Canal-u.fr
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Présenté par Laurent Jeanpierre, Professeur des Universités en science politique au Département de
science politique à l’Université Paris 8-Saint-Denis/Vincennes, Directeur du LabTop.Erik Olin Wright est un sociologue américain qui est connu depuis
plusieurs décennies pour avoir pris part au courant du marxisme
analytique et démontré la pertinence contemporaine d’une analyse des
classes sociales qui reste inspirée du marxisme. Parallèlement à des
recherches théoriques sur les conceptions de la structure sociale et de
l’exploitation, ses travaux empiriques ont porté sur les inégalités, la
pauvreté ou l’emploi. Depuis deux décennies, le travail de Wright s’est
concentré sur les possibilités contemporaines de transformation
historique du capitalisme et sur les voies effectives pouvant conduire à
une société plus égalitaire et plus épanouissante pour tous. Un des
enjeux de cette recherche menée collectivement est de penser à nouveau
l’articulation potentielle, quoique rare, entre démarches scientifiques
des sciences sociales et pratiques politiques de constitution de formes
de vie alternatives au capitalisme. Après avoir conduit des enquêtes sur
les expérimentations actuelles en matière de production et surtout de
démocratie, Wright a proposé il y a trois ans un cadre général pour
penser la sortie du capitalisme par l’anticipation puis le déploiement
de ce qu’il appelle des « utopies réelles ». Envisioning Real Utopias (2010,
traduction française en cours) propose ainsi un diagnostic critique du
capitalisme, une redéfinition du socialisme et de ses voies de
progression potentielle et une théorie générale de la transformation
sociale. Mot(s) clés libre(s) : marxisme analytique, inégalités, possibilités contemporaines de transformation historique du capitalisme, démarches scientifiques des sciences sociales, pratiques politiques de constitution de formes de vie alternatives au capitalisme, utopies réelles
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3 – L’expérience doctorale
/ Canal-u.fr
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?Symposium 3 – L’expérience doctorale- L’initiation à la recherche – Annick Louis (U. de Reims).- Networking in the digital age?! Le parcours doctoral vu par deux jeunes chercheurs en histoire du droit et des institutions – Nicolas Simon et Quentin Verreycken (U. Saint-Louis, Bruxelles).- Le discours universitaire-scientifique et le malaise subjectif : ce qui ne va pas de soi – Marluza Da Rosa (U. de Campinas, Brésil).
- Déconstruction de l’activité scientifique du doctorant : la construction d’un éthos d’enseignant-chercheur en devenir – Marion Rollandin (U. de Paris 4)
Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?
Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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2 – Interférences entre vie privée et vie professionnelle
/ Canal-u.fr
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?- Parentalité et recherche : quelques éléments à partir d’une enquête auprès de jeunes chercheurs en Belgique – Pascal Barbier (U. de Paris-1).- Espace privé, espace caché. Constituer l’environnement privé des chercheur-es en questionnement épistémologique – Paul Cormier (U. de Lausanne/IEP Bordeaux).Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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1- Régulation et recherche
/ Canal-u.fr
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Être jeune chercheur ou chercheure aujourd’hui : quelles réalités ?Ouverture- Engagement et distanciation: à propos de l'expérience des chercheur(e)s. Bernard Fusulier (FNRS-U. de Louvain)Symposium 1 – Régulation et recherche- Qualité de l’emploi et perception d’écart entre les besoins individuels et les caractéristiques de l’emploi chez les doctorants : impact sur l’intention de quitter – Fabrice Travaglianti (U. de Liège)- Les jeunes chercheur(e)s aux prises des mutationsde nos sociétés - Thomas Pierre (U. de Lorraine)- Être jeune chercheur en SHS et boursier CIFRE : quelles motivations, quelle satisfaction, quelle insertion ? – Dagmara Gut (U. de Lille-3)- Précarité à l’université en Allemagne aujourd’hui – Clara Pacquet (U. de Paris-1)Journée d’études - 10-11 mars 2015 / Paris - École des hautes études en sciences sociales
Ce colloque propose de réfléchir à ce que l’université, en tant qu’institution et lieu de carrières scientifiques, fait à celles et ceux qu’elle forme et qui en font un horizon professionnel désiré. Cette réflexion participe d’une analyse de la place et du rôle de la recherche et de l’université dans notre société. Mais elle porte moins le regard sur la « Science » que sur celles et ceux qui la produisent au quotidien. Elle s’impose aujourd’hui car l’université est traversée depuis plusieurs années par diverses transformations touchant son fonctionnement, son rôle, mais aussi ses membres : démocratisation de l’accès à l’université, augmentation du nombre de doctorants et de doctorantes, concurrence élevée dans l’accès à un poste scientifique et/ou universitaire stable, précarisation des emplois scientifiques, nouvelles régulations des politiques scientifiques (financements par appels d’offre, principe d’accountability dans l’allocation des fonds, mesures de la productivité, etc.), internationalisation des activités scientifiques, etc.
L’objectif de ce colloque est d’offrir un espace d’échange et de cumul des savoirs sur l’expérience contemporaine de l’engagement dans la carrière de chercheur ou chercheure, c’est-à-dire l’expérience de jeunes scientifiques en début de socialisation (doctorat), en attente d’une stabilisation (en post-doctorat) ou récemment stabilisés. Cette expérience de l’engagement dans une carrière scientifique sera étudiée dans une perspective pluri-disciplinaire.
Axes du colloque
Les contributions pourront explorer diverses dimensions de la situation des « jeunes » chercheurs et chercheures, quel que soit leur champ disciplinaire. Elles pourront porter sur différents niveaux d’analyse – institutionnel, organisationnel, expérientiel (le vécu) – et sous des angles disciplinaires variés (psychologie, médecine, sociologie, histoire, droit, économie, etc.). Quelles sont les transformations des politiques scientifiques ? Quels effets ont-elles sur le travail, l’emploi et les carrières scientifiques ? Comment l’expérience de la recherche (ses contraintes matérielles, ses gratifications, ses pénibilités) sont-elles vécues et impactent-elles la santé (physique et mentale) des chercheurs et chercheures ? Inversement, comment des problèmes de santé affectent-ils le rapport au travail et à la carrière ? Quels sont les effets de l’organisation universitaire sur les trajectoires et expériences ordinaires ainsi que sur les relations entre l’activité professionnelle et la vie privée ? En quoi l’interférence travail/famille intervient-elle dans le déploiement des carrières ? Quels sont les effets du genre, mais aussi d’autres types de propriétés sociales, dans l’expérience du travail scientifique et dans la dynamique des carrières professionnelles ? Dans une perspective socio-historique, que nous apprend la comparaison entre la socialisation des jeunes chercheur et chercheures d’hier et d’aujourd’hui ? etc.
Les questions explorées pourront s’inscrire dans les thématiques suivantes (liste non exhaustive) :
la régulation des universités et du champ scientifique ;
la santé physique et mentale (bien-être et mal-être) des jeunes scientifiques ;
les facteurs sociaux (genre, origine sociale, ethnicité, âge, etc.) qui influencent l’expérience professionnelle et les carrières des jeunes chercheurs et chercheures ;
l’analyse de l’activité scientifique (conditions de travail et d’emploi, socialisation professionnelle, stress, relations hiérarchiques, etc.) ;
l’interférence entre la vie professionnelle et la vie privée. Mot(s) clés libre(s) : jeunes chercheurs, démarches scientifiques des sciences sociales
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