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Siraiki: The Language-Dialect Debate and the influences from Sindh
/ Serge BLERALD
/ Canal-u.fr
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Nukhbah Langah, Forman Christian College (Lahore)-CEIAS Mot(s) clés libre(s) : dialecte, hindou, punjabi
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Quelles maths faut-il apprendre pour répondre aux questions des élèves et traiter leurs erreurs ?
/ Christian Bailly, ENS de Lyon, IFÉ - Institut Français de l'Éducation, Luc Trouche
/ 15-06-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Mercier Alain
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Les travaux sur les erreurs des élèves ont montré que leur forme est constante, indépendante des enseignements, et qu'elles apparaissent longtemps encore après les commencements, de manière quasi aléatoire (Bardini 2003, Abou Raad 2004). Les ingénieries didactiques permettent en revanche de les faire apparaître au fur et à mesure des problèmes auxquelles elles sont des réponses non consistantes, et donc d'identifier les manières de penser qui les produisent. Il faut que les élèves de chaque génération puissent affronter et résoudre certains des problèmes que les mathématiciens ont résolus : le professeur ou plutôt la profession des enseignants de mathématiques toute entière doit, pour se préparer à enseigner, connaître ces problèmes. Et la profession doit donc disposer d’au moins un des chemins de l’étude d’une œuvre incontournable dans toute formation scientifique : l’écriture symbolique mathématique, et ses usages en sciences, pour analyser la position des élèves sur ce chemin et les conduire sûrement. Mot(s) clés libre(s) : algébrique, collège, dialectique action/formulation., didactique, enseignement par ostension, équations, jeux de langage, Mathématiques, systèmes sémiotiques, systèmes symboliques
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Schnaps theater
/ Luc MEICHLER, Gisèle MEICHLER, Les Films de l'Observatoire, Université Paul Verlaine - Metz (UPV-M), LGM, Images Plus
/ 31-10-1997
/ Canal-U - OAI Archive
MEICHLER Luc, MEICHLER Gisèle
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En compagnie de Jean-Michel Clavey, acteur et metteur en scène du Théâtre Alsacien de Guebwiller, travailleur frontalier à Bâle, nous traversons les coulisses d’une certaine qualité de vie dans le Haut-Rhin.Les bouilleurs de cru constituent une espèce en voie de disparition. Le théâtre alsacien subit le recul du dialecte. Mais leurs pratiques font encore bel et bien partie de la réalité villageoise de l’Alsace d’aujourd’hui.De distillation en répétition théâtrale, nous approchons ses paradoxes, son histoire, sa culture populaire, son petit théâtre quotidien… Mot(s) clés libre(s) : Alsace, amateur, art, bouilleur de cru, changements culturels, culture, dialecte, distillation, eau de vie, héritage culturel, identité, populaire, savoir-faire, schnaps, spectacle, théâtre, tradition, travail
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Histoire sociolinguistique de Paris
/ UTLS - la suite
/ 04-11-2003
/ Canal-U - OAI Archive
LODGE Anthony
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Le "Français de Paris" s'identifie traditionnellement avec le français 'officiel' ou 'standard'. Ce français aurait évolué, à partir du latin, suivant des lois émanant de sa structure interne, secondée de temps à autre par l'intervention de gens cultivés hantant la capitale. Les écarts de la norme perpétrés par la population parisienne s'expliqueraient en général par la paresse ou par l'ignorance. La sociolinguistique historique offre une vision assez différente des choses. Elle soutient d'abord que la langue des villes est caractérisée, à toutes les époques, par une grande variabilité et que les variétés linguistiques en présence évoluent de manière symbiotique. Elle soutient ensuite que c'est la communauté des locuteurs qui fait évoluer la structure des langues et non pas l'inverse. Une histoire sociolinguistique de Paris se doit donc d'être multidimensionnelle et d'enchâsser l'évolution linguistique de cette très grande ville dans une analyse crédible de son évolution démographique et sociale. Ce beau programme bute néanmoins contre un problème fondamental, que certains jugent insurmontable - celui des preuves. Paris possède une documentation linguistique vraisemblablement plus riche que les autres villes d'Europe, mais même là les sources historiques restent inadéquates. L'historien sociolinguistique se trouve ainsi en situation de paradoxe: construire des systèmes hypothétiques est toujours dangereux, mais faire de l'histoire sans faire d'hypothèses est impossible. Dans cette conférence je propose un rapide survol de l'histoire sociolinguistique de Paris depuis le XIIe s. jusqu'au milieu du XXe s. Je vais rapprocher deux ordres d'idées, le premier tiré de la théorie de l'urbanisation proposée par Hohenberg et Lees (1985), et le second inspiré des travaux sur le contact de dialectes menés par Peter Trudgill (1986). Les premiers offrent une périodisation du développement urbain en Europe en trois phases : la période pré-industrielle (XIe-XIVe s.), la période proto-industrielle (XVe-XVIIIe s.) et la période industrielle (XIX-XXe s.). Peter Trudgill, part du principe que si les communautés linguistiques vivant en autarcie ne sont pas inconnues, elles sont rares à l'époque moderne, et tout à fait inconnues dans les grandes villes, les villes étant les endroits privilégiés de contacts de dialectes, de mélanges dialectaux. Trudgill isole trois processus qui entrent en jeu lorsque les locuteurs de dialectes différents se trouvent en situation d'interaction fréquente: 'koinéisation', ''réallocation' et 'nivellement'. Nous chercherons à établir des corrélations entre les trois phases de l'urbanisation, identifiées par Hohenberg & Lees, et les principaux processus observés dans les cas de contact dialectal analysés par Trudgill. Mot(s) clés libre(s) : attitudes linguistiques, dialectes urbains, français, langues en contact, sociolinguistique, variation linguistique
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Le monde et la diversité des langues / Claude Hagège
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 05-05-2010
/ Canal-U - OAI Archive
HAGÈGE Claude
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Le monde et la diversité des langues. Claude HAGÈGE (chercheur en linguistique, professeur au Collège de France). Conférence organisée par l'Institut de Recherche Pluridisciplinaire en Arts, Lettres et Langues (IRPALL), l'UFR des langues et le Conseil Scientifique de l'Université Toulouse II-Le Mirail, dans le cadre du programme "Les mercredis de la connaissance". Université Toulouse II-Le Mirail, 5 mai 2010. [Suivi d'un débat avec l'auditoire, animé par Solange Hibbs, Jean-Louis Breteau et François-Charles Gaudard, professeurs à l'Université Toulouse II-Le Mirail].Selon les estimations, on compte, dans le monde contemporain, entre cinq mille et sept mille langues différentes, compte non tenu des dialectes et usages régionaux. Ces langues sont rangées en un certain nombre de familles, de l’indo-européenne à la sino-tibétaine, en passant par l’ouralienne, la sémitique, l’africaine, l’amérindienne, etc. Les langues appartenant à une même famille peuvent, néanmoins, être typologiquement très différentes. Certains esprits, hier comme aujourd’hui, prônent une unité linguistique, qui se réaliserait autour d’une langue unique, réputée faciliter les échanges à travers le monde. En réalité, aucune langue n’a jamais eu de diffusion mondiale, qui soit de nature à faire qu’elle supplante toutes les autres, et il ne semble pas, malgré ce qui est déclaré ici ou là, que l’anglais ait aujourd’hui cette vocation. En effet, face à sa présence sur les cinq continents, on voit s’affirmer des langues fortement promues par les pays où elles se parlent, de l’allemand au portugais, de l’espagnol au chinois, et de l’arabe au français, lequel prend tout naturellement sa place dans ce concert en faveur de la diversité linguistique du monde. Mot(s) clés libre(s) : compétence linguistique (perte), dialectes, diffusion des langues, féminisation (linguistique), francophonie, hébreu (langue), idiotismes, langues (acquisition), langues (origines), langues mortes, politique linguistique
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (2/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 10-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Seconde journée du Colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté » - se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français. Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la « première » partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre (1/2)
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-05-2008
/ Canal-U - OAI Archive
Département de Philosophie et ANR
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Lectures croisées de la Critique de la raison dialectique (1960-1985) de J.-P. Sartre. Première journée du colloque organisé le Département de Philosophie de l'Université Toulouse II - Le Mirail dans le cadre du programme ANR « Subjectivité et aliénation ». Université Toulouse II-Le Mirail, Maison de la Recherche, 9-10 mai 2008.Diversement canonisé en 2005 lors du centenaire de sa naissance, un pan majeur de l’œuvre philosophique de Sartre est cependant resté le parent pauvre des commémorations : la Critique de la raison dialectique (1960, et dont le tome II fut publié à titre posthume en 1985). Cette œuvre dont l’ambition explicite est de « réintroduire l’homme au cœur du marxisme » - ce marxisme qui s’est alors « arrêté »- se présente comme les « prolégomènes » à une anthropologie structurelle et historique à même de totaliser les différents savoirs disponibles sur l’homme socialisé. Que ce soit la continuité problématique avec ses œuvres antérieures, notamment L’être et le néant (1943), les difficultés intrinsèques, méthodologiques et stylistiques, de l’ouvrage, ses premières réceptions idéologiquement surdéterminées, les prises de position complexes qui s’y trament par rapport aux enjeux épistémologiques soulevés (par rapport au structuralisme, à la sociologie, à la psychanalyse, etc.) comme aux traductions politiques sulfureuses qui en furent autant les moteurs que les échos, l’ensemble manque encore de mises en perspective sérieuses dans l’espace philosophique français.Aujourd’hui, un demi-siècle après la publication en 1957 de la "première" partie de la Critique, Questions de méthode, il est donc tout à fait essentiel de rendre possible la rumination collective de cette œuvre à multiples visages et à multiples entrées. L’objet de colloque est, contre les crispations traditionnelles, de rendre possible de telles lectures croisées : qu’elles s’intéressent prioritairement à la conceptualité et aux enjeux propres déployés par l’œuvre, qu’elle la fassent parler par rapport à ses sources et influences possibles ou ses héritages, ou bien encore, qu’elles mettent en relief la fécondité et les difficultés qui la caractérisent au travers de l’étude des œuvres corrélatives de Sartre (par exemple L’idiot de la famille).L’objectif assumé est de voir combien cet ouvrage de « philosophie pure » fut et est bien toujours l’incarnation de la « philosophie vivante », totalisante et conflictuelle, éminemment concrète, que Sartre souhaitait à la hauteur de son temps, et de montrer autant que possible qu’elle constitue un jalon théorique incontournable de notre action et de notre réflexion sur un nouveau siècle qui ne s’annonce décidément pas moins catastrophique que les précédents. Le programme et l’affiche sont également disponibles sur le site Europhilosophie Mot(s) clés libre(s) : Critique de la raison dialectique (appréciation), Jean-Paul Sartre (1905-1980), phénoménologie, philosophie politique, philosophie sociale
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07 : La progressivité des apprentissages
/ Canal-u.fr
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Didactique des mathématiques : les fondamentaux
Année 2014-2015
Dr. Ruben
Rodriguez Herrera
Agrégé en
Mathématiques
ruben.rodriguez@unicaen.fr
IREM, ESPE,
Ifé, CEMU
Université de
Caen Basse-Normandie France
Les modules proposés cette
année sont les suivants :
- 1 Les univers
et les psychomorphismes
- 2 Les
transpositions didactiques et les variables didactiques
- 3 Les situations-problèmes, les obstacles : épistémologiques, didactiques, ontogénétiques et psychomorphiques
- 4 Les
situations a-didactiques
- 5 Le contrat
didactique : transmissif, comportementaliste, socio-constructiviste
- 6 La
dialectique outil-objet
- 7 La
progressivité des apprentissages Mot(s) clés libre(s) : univers, progressivité des apprentissages, dialectique outil-objet, contrat didactique, situations a-didactiques, obstacles didactiques, obstacles épistémologiques, situations-problèmes, variables didactiques, transpositions didactiques, psychomorphismes, irem
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06 : Jeux de cadres et dialectique outil-objet
/ Canal-u.fr
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Didactique des mathématiques : les fondamentaux
Année 2014-2015
Dr. Ruben
Rodriguez Herrera
Agrégé en
Mathématiques
ruben.rodriguez@unicaen.fr
IREM, ESPE,
Ifé, CEMU
Université de
Caen Basse-Normandie France
Les modules proposés cette
année sont les suivants :
- 1 Les univers
et les psychomorphismes
- 2 Les
transpositions didactiques et les variables didactiques
- 3 Les situations-problèmes, les obstacles : épistémologiques, didactiques, ontogénétiques et psychomorphiques
- 4 Les
situations a-didactiques
- 5 Le contrat
didactique : transmissif, comportementaliste, socio-constructiviste
- 6 La
dialectique outil-objet
- 7 La
progressivité des apprentissages Mot(s) clés libre(s) : univers, dialectique outil-objet, contrat didactique, situations a-didactiques, obstacles didactiques, obstacles épistémologiques, situations-problèmes, variables didactiques, transpositions didactiques, psychomorphismes, progressivité des apprentissages
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04 : Les « situations a-didactiques » et l'apprentissage par le jeu
/ Canal-u.fr
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Didactique des mathématiques : les fondamentaux
Année 2014-2015
Dr. Ruben
Rodriguez Herrera
Agrégé en
Mathématiques
ruben.rodriguez@unicaen.fr
IREM, ESPE,
Ifé, CEMU
Université de
Caen Basse-Normandie France
Les modules proposés cette
année sont les suivants :
- 1 Les univers
et les psychomorphismes
- 2 Les
transpositions didactiques et les variables didactiques
- 3 Les situations-problèmes, les obstacles : épistémologiques, didactiques, ontogénétiques et psychomorphiques
- 4 Les
situations a-didactiques
- 5 Le contrat
didactique : transmissif, comportementaliste, socio-constructiviste
- 6 La
dialectique outil-objet
- 7 La
progressivité des apprentissages Mot(s) clés libre(s) : univers, dialectique outil-objet, contrat didactique, situations a-didactiques, obstacles didactiques, obstacles épistémologiques, situations-problèmes, variables didactiques, transpositions didactiques, psychomorphismes, progressivité des apprentissages
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