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"Filiation, origine, parentalité" : Comment le rapport ministériel fut-il rendu public à l'EHESS?
/ 05-05-2015
/ Canal-u.fr
THERY Irène
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La sociologue Irène Théry, qui présidait le groupe de travail "Filiation, origines, parentalité" réuni à la demande de la ministre déléguée à la Famille, revient sur les difficultés politiques rencontrées pour la remise du rapport. Mot(s) clés libre(s) : filiation, Débat scientifique et politique, PMA, parenté, couple de même sexe
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Famille, droit et filiation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 11-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LABRUSSE Catherine
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Le droit civil ne définit pas la famille mais il détermine précisément la création, la destruction et les effets des liens qui unissent les membres d'une famille. La filiation est un des noyaux durs du droit de la famille. Élément essentiel de l'identité de tout individu, la filiation inscrit ce dernier dans une place généalogique au sein du réseau de relations, à géométrie variable, qu'institue le système de la parenté et de l'alliance. Ces liens, riches d'effets personnels et patrimoniaux et chargés de sens multiples, sont construits par le droit à partir de faits originaires naturels (et aujourd'hui technologiques) et ils rattachent la personne humaine à une double lignée maternelle et paternelle, articulant ainsi la différence des sexes comme celle des générations. Si le système peut obéir à des modèles variés, il répond aussi à des invariants que révèle et analyse l'anthropologie. Le principe de cette construction sociale, aussi vieille que l'humanité, se transforme sous des influences multiples qui tiennent autant à la diversité des sources normatives passées et présentes qu'aux évolutions sociologiques que traduisent les moeurs ou qui affectent les idéaux et les représentations de la famille et de ce qui la constitue, maternité, paternité, couple, ascendance, descendance, fratries, etc. Mot(s) clés libre(s) : adoption, clonage, concubinage, droit, famille, filiation, mariage, PACS, paternité, procréation artificielle
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Comment la culture influence notre évolution biologique
/ 07-02-2013
/ Canal-u.fr
HEYER Evelyne
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Une des spécificités de notre espèce est sa très
grande diversité culturelle. Ces différences culturelles interagissent avec la
diversité biologique de notre espèce. Ainsi, certains traits culturels limitent
les échanges entre populations humaines ce qui permet l’existence de
différences génétiques entre ces populations. La langue, la
religion, l’organisation sociale dans des populations d’Asie Centrale seront évoqués. Les
effets de la culture sur notre diversité génétique ne se limitent pas à ces
aspects : en créant de nouvelle « niche écologique», la
sélection naturelle est modifiée : certains variants de gènes deviennent
avantageux et permettent de s’adapter à ce nouvel environnement crée par
l’Homme. A partir de plusieurs exemples, nous montrerons comment culture et
biologie interagissent dans l’évolution génétique de notre espèce.
Dernier volet du cycle de conférences "Evolution et diversité de l'Homme".
Pour voir les deux volets précédents :
1. L'émergence de notre espèce, la rencontre avec Néandertal
2. Le peuplement de la planète et la diversité génétique de notre planète Mot(s) clés libre(s) : adaptation, évolution biologique, selection naturelle, alimentation, filiation, diversité génétique
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Le conflit des créateurs : fictions juridiques et réalités biologiques
/ DCAM - Département Conception et Assistance Multimédia - Université Bordeaux Segalen, Service Culturel - Université Victor Segalen Bordeaux 2
/ 15-01-2003
/ Canal-U - OAI Archive
HAUSER Jean
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Science et droit doivent-ils agir de concert ? Les réalités biologiques sont-elles compatibles à un bon usage du droit ? La tension dialectique entre les sciences, plus particulièrement biologiques, et le droit, pose de réelles interrogations. Pour apporter une réponse à ces questionnements, Jean Hauser revient sur les problèmes juridiques qu’ont posés dans les années 70 la nécessité de redéfinir la filiation ainsi que la question du transsexualisme. Il démontre, par l’exemple, que droit et vérité scientifique ne sont pas toujours compatibles. Trop souvent, les réponses apportées par la biologie aux questions de droit déstabilisent davantage la situation qu’elles ne la pacifient, or le rôle des juristes est avant tout d’assurer la paix sociale. De ce fait, les réponses apportées par ces derniers à travers les lois qu’ils édictent sont parfois très éloignées, voire en contradiction absolue, avec les données biologiques. Ainsi, tout juriste possède et use d’un véritable pouvoir de création lui permettant d’assurer le maintien de l’ordre social.Colloque organisé par les services culturels des universités de Bordeaux dans le cadre de l'exposition du capcMusée d'art contemporain: "Les années '70: l'art en cause" (2003) Mot(s) clés libre(s) : droit, droit et biologie, filiation, preuve biologique, procréation médicalement assistée, sciences et droit, tourisme procréatif, transsexuels
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Mathématique sociale : Entretien avec Georges Théodule Guilbaud
/ Pierre GAUGE, Marc FERRO
/ 04-05-1993
/ Canal-u.fr
GUILBAUD Georges Théodule, COUMET Ernest, ROSENSTIEHL Pierre, OSSONA DE MENDEZ Patrice
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Georges Théodule Guilbaud ouvre le débat audacieux d'une "mathématique sociale" selon Condorcet. Il est interpellé par Ernest Coumet sur ses travaux de filiation des idées mathématiques, et par Pierre Rosenstielh sur ses modèles algébriques et probabilistes. Un jeune thésard Patrice Ossona de Mendez marque l'évolution du langage sur un demi siècle de mathématiques. La mathématique sociale tantôt jette un éclair structurant sur les manifestations du social, démographiques, linguistiques ou praxéologiques, tantôt y puise pour elle des problématiques nouvelles.
Une mathématique vivante est sociale. Mot(s) clés libre(s) : filiation, modèles, mathématique
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"De la nature « quand même ». Dénaturalisation ou retour du biologique ?", semi-plénière avec la participation de Jeanette Edwards, Corinne Fortier et Dominique Memmi
/ 01-07-2015
/ Canal-u.fr
EDWARDS Jeanette, FORTIER Corinne, MEMMI Dominique
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De la nature « quand même ». Dénaturalisation ou retour dubiologique ?
Coordination : Dominique Memmi (CNRS - CSU), Gilles Raveneau (Université de Paris OuestNanterre, LESC, Cersm), Emmanuel Taïeb (Sciences Po Lyon, TRIANGLE)
Intervenants :
- Jeanette Edwards, professeur d’anthropologie sociale à l’Université de Manchester. Sontravail de terrain sur les milieux modestes du nord de l’Angleterre lui a permis de mettre à jour la façon, notamment, dont est pensée la filiation et dont sont appropriées les technologies de procréation assistées. Elle s’intéresse actuellement à « l’imagination généalogique » (y compris la passion contemporaine pour l’histoire de la famille et la recherche généalogique).
- Corinne Fortier, anthropologue au CNRS. Membre du Laboratoire d’anthropologie sociale (CNRS-EHESS-Collège de France), elle travaille sur les thématiques du corps, de la sexualité, du genre et de la filiation. Elle a mené une longue recherche de terrain sur les procréations médicalement assistées où se pose avec acuité la problématique du rapport à lanature et où se révèlent des représentations implicites profondes et largement partagées sur la procréation,la différence des sexes et la parenté.
- Dominique Memmi, directrice de recherche au CNRS. Ses thèmes de recherche sont : l’administration sociale de la naissance et de la mort au seinde la biopolitique contemporaine ; la naturalisation des questions sociales et politiques et le rôle qu’y jouele corps aujourd’hui ; le «corps» comme objet des sciences sociales.
Un débat récurrent en sciences sociales oppose constructivisme et naturalisme. Sous le poids d’enjeux politiques très actuels (la question du mariage pour tous, par exemple), il tend à se raviver aujourd’hui, et à radicaliser cette opposition. Or les faits la rendent en partie artificielle et obligent à la poser en d’autres termes.
Car, aux deux extrémités de l’existence, un bouleversement anthropologique majeur a affecté un certain nombre de pratiques sociales traditionnelles depuis le milieu du XXe siècle : désaffection exponentielle de l’inhumation au profit de la crémation, expansion simultanée du don d’organes, sacrifice d’enfants in utero à la faveur d’interruptions « volontaires » et « médicales » de grossesse (1975 en France), expansion des procréations artificielles… Au total, artificialisation de la procréation, dissociation radicale entre engendrement et activité sexuelle (fivette), voire entre engendrement et grossesse (GPA), et plus généralement maîtrise radicale par les individus de leur donné corporel (crémation, don d’organes, IVG) : à partir de la fin des années 70, le corps, comme donné de nature, semble devoir cesser d’être un destin.
Mais tout se passe alors comme si partout dans le monde social apparaissaient des agents acharnés à préserver « de la nature quand même » dans les pratiques sociales. C’est particulièrement net à propos de la reproduction, et tout particulièrement chez les professionnels, dans le cas de l’insémination avec donneur dans le monde, par exemple, comme en témoignera ici Corinne Fortier. Mais cela se vérifie aussi chez les profanes eux-mêmes, c’est-à-dire les usagers des nouvelles techniques comme des nouvelles formes de filiation, y compris dans les classes populaires, comme en témoignera Jeanette Edwards. Et ce phénomène touche autant la fin de vie que son début, l’administration du corps mourant et mort que celle du corps procréateur, comme en témoignera Dominique Memmi.
L’observation des pratiques sociales nous apprend donc que l’administration de l’antinomie nature/social aujourd’hui sécrète, plus que jamais, une inventivité sociale considérable, au coeur même des filiations les plus artificielles et des innovations biomédicales les plus sophistiquées. Le flot de l’histoire ne repassant jamais deux fois sous le même pont, on se refusera à parler de « retour ». Quels sont donc au total les types de « naturalité » qui ont droit de cité, chez les professionnels et profanes de nos sociétés occidentales contemporaines ? Au regard de l’observateur attentif, entre naturalisme et constructivisme ordinaires, et à travers des pratiques sociales concrètes, c’est un nouveau compromis idéologique et social qui se dessine. Quel est-t-il? Le décrire désormais avec finesse, et pour cela, rompre tant avec l’abstraction du débat « purement » épistémologique qu’avec les simplifications trop généralistes du débat politique, nous paraît aujourd’hui une des tâches prioritaires des sciences sociales. Mot(s) clés libre(s) : corps, filiation, idéologie, dénaturalisation, nature, biologique, procréation
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Cafés des Sciences Nancy 2008 - ADN, code génétique : science, éthique ou politique ?
/ Canal-U/Sciences de la Santé et du Sport, SPI-EAO
/ 15-01-2008
/ Canal-U - OAI Archive
DUPLESSIS Sébastien, PY Bruno, JONVEAUX Philippe
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Organisés par les universités de Lorraine en collaboration avec l’INSERM, le CNRS, l’INRIA et l’INRARésumé : De l'utilisation des cellules souches au contrôle génétique de l'immigration, jusqu'où peut-on aller ? Accroître la connaissance scientifique, mais à quel prix ? Un débat qui dépasse largement la science. Intervenants : Duplessis Sébastien, Py Bruno, Jonveaux Philippe.SCD Médecine. Mot(s) clés libre(s) : acide aminé, ADN, biologie moléculaire, Cafés des Sciences Nancy Université, cellule souche, codon, filiation, génome, protéine
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Crise du Droit, crise de la famille
/ 31-03-2015
/ Canal-u.fr
DIONISI-PEYRUSSE Amélie
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La famille est la cellule de base de la société, elle est le reflet de ses valeurs. Le droit de la famille a longtemps été utilisé comme un moyen d’imposer un modèle : le couple hétérosexuel, monogame, fidèle et durable procréant et élevant des enfants. Progressivement, la préoccupation a changé : les droits et libertés individuels sont passés au premier plan, entraînant une prise en compte par le droit de la diversité des aspirations de chacun. C’est d’abord le couple qui a connu d’importantes évolutions : adoption du PACS, reconnaissance du concubinage, ouverture du mariage aux couples de même sexe…Aujourd’hui, les questions tendent à se cristalliser sur l’enfant : on s’interroge sur les fondements de la filiation, sur la parentalité... Cette profonde mutation du droit de la famille est parfois considérée comme révélant une crise de la famille. Mot(s) clés libre(s) : droit, parentalité, filiation, concubinage, couple, PACS, liberté, famille, société, valeur, enfant
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Le droit de la famille
/ UTLS - la suite
/ 14-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
DEKEUWER-DEFOSSEZ Françoise
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Après avoir tenté de cerner les divers sens du mot "famille", et l'avoir en particulier distingué de la notion de couple, l'exposé se propose de mettre en lumière les grandes tendances d'évolution actuelles du droit de la famille, qui sont l'égalité et la liberté. L'égalité se présente sous les deux formes de l'égalité des sexes, et de l'égalité des filiations. Ni l'une ni l'autre ne vont de soi. L'égalité des sexes se heurte aux rôles irréductiblement différents du père et de la mère dans la procréation. L'égalité des filiations bute, quant à elle, sur la diversité des situations parentales. Même si les droits théoriques des enfants sont identiques, leur situation de fait est fort différente selon le mode de vie des parents (mariage, concubinage, divorce, séparation plus ou moins conflictuelle). Quant à la liberté, celle des couples est grande, tout au moins tant qu'ils ne deviennent pas parents. Car la société surveille étroitement, voire de plus en plus étroitement, la procréation et l'éducation des générations futures. Que ces contraintes soient ,le plus souvent , intériorisées au point de ne plus être perçues ne les empêche pas d'exister, et d'apparaître parfois insupportables, en particulier lorsqu'elles s'opposent aux conceptions éducatives des parents, ou heurtent de front leurs revendications , par exemple celle d'un "droit à l'enfant". Mot(s) clés libre(s) : couple, droit, égalité des sexes, famille, filiation, parentalité
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Une certaine idée du père en Europe
/ Canal U/Tice Médecine Santé
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BONNEL M.
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Ce film illustre l'évolution fondamentale du rôle du père au sein de la famille et dans la société européenne moderne. Aujourd'hui le père doit construire son propre role, alors qu'il y a encore quelques années, la société le construisait pour lui. Les rapports hommes femmes ont changé aujourd'hui. Les intervenants, psychanalystes, pédiatres, sociologues, juristes ou même fonctionnaires, évoquent les fonctions naturelles du père, indispensables pour une relation durable avec ses enfants. Le passage du conjugal au parental est difficile. Aussi la médiation familiale est importante. Dans les cas de divorce, l'enfant a plusieurs pères. En Suède, la politique familiale grâce au congé parental a rapproché les pères de leurs enfants.
Origine
FILMED 1995 - 96 5401 087
Générique
FILMED : 96 5401 087 SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : autorité parentale, droit germanique, famille, filiation, législation, médiation familiale, pédiatrie, père, société
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