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L'énergie nucléaire
/ UTLS au lycée
/ 31-03-2011
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au LycéeL'énergie nucléaire par Francis Sorin (directeur du Pôle Information de la Société française d'Energie Nucléaire)Lycée Jean Cocteau (13 Miramas) Mot(s) clés libre(s) : atome d'uranium, énergie, fission, fusion, radioactivité, réacteur, réaction nucléaire
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Approches alternatives pour la fusion par confinement inertiel - Guy SCHURTZ
/ Société Française de Physique
/ 06-07-2011
/ Canal-U - OAI Archive
Société Française de Physique
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Congrès Général de la SFP Bordeaux-2011• Approches alternatives pour la fusion par confinement inertiel Guy SCHURTZCEA-CESTA et Université Bordeaux 1, coordonnateur scientifique du projet européen HIPER Mot(s) clés libre(s) : fusion
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La fusion nucléaire et le projet ITER
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 03-12-2009
/ Unisciel
Simand Catherine
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Une série de ressources sur le réacteur expérimental ITER, un prototype de
réacteur nucléaire à fusion, actuellement en construction à Cadarache en Provence et destiné à vérifier, techniquement et scientifiquement,
que la fusion nucléaire pourrait devenir une source d'énergie à l'horizon 2050, en utilisant un tokamak pour confiner un plasma. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, Cadarache, énergie nucléaire, réacteur nucléaire
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin
/ Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 25-05-2012
/ Canal-u.fr
MUSSELIN Christine
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Nouveaux modes de gouvernance des universités. Quand la fusion s'impose : la (re)naissance de l'université de Strasbourg / Christine Musselin. In Séminaire 2011-2012 du Centre d’Étude et de Recherche Travail, Organisation, Pouvoir (CERTOP) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 25 mai 2012.
Dans le cadre d'une enquête pour le projet ANR Mutorg, Christine Musselin a étudié le processus de mise en oeuvre de la première fusion d'universités en France, en 2009, celle des trois universités de Strasbourg, Université Strasbourg 1-Louis Pasteur, Strasbourg 3- Robert Schumann, et Strasbourg 3-Marc Bloch. A la lumière des théories des sociologues néo-institutionnels (Meyer, Ramirez, Roanne, Kitchener...), elle présente les étapes de la fusion, les discours qui ont été produits pour la légitimer, la stratégie des acteurs qui l'ont portée, dans un environnement qui n'y était ni enclin ni profondément réfractaire.Strasbourg est pôle européen d'excellence depuis 1991, quand Jean-Yves Mérindol, alors président de Strasbourg 1-Louis Pasteur, lance, en 2001, l'idée d'une fusion qui sera progressivement mise en œuvre à partir de 2003, à la faveur de la mise en place du processus de Bologne au niveau européen. Après une période de projets inter-universitaires, les trois conseils choisiront, en 2008, directement la fusion plutôt que la constitution en PRES (Pôle de recherche et d'enseignement supérieur).En se basant sur les discours, les entretiens et les documents recueillis lors de l'enquête, Christine Musselin dégage une sorte de mythologie ayant servi à justifier la fusion : le mythe d'une université universelle, "complète", toutes disciplines confondues ; l'idée d'un modèle historique d'avant 1968 et la tradition humboldtienne de l'université de Strasbourg ; enfin, le mythe de la visibilité d'une université de taille internationale ainsi qu'une labellisation par un ancrage régional. Dans le cas strasbourgeois, les préoccupations d'efficience et de performance ainsi que les questions de l'organisation de la nouvelle université (mythe managérial) n'ont été des critères énoncés que postérieurement au vote pour la fusion en 2008.Dans un troisième temps, est exposé le rôle des acteurs qui ont construit ces mythes tout en véhiculant des "scripts transnationaux" au niveau national, surtout le rôle primordial des présidents d'universités qui, en véritables "entrepreneurs institutionnels", ont initié le projet de fusion de manière très coordonnée, relayés par des successeurs convaincus à l'université Louis Pasteur et, pour des raisons un peu différentes, par les deux autres universités.Le quatrième chapitre expose les conditions qui ont rendu la fusion possible : un environnement local (municipalité et région) qui, bien qu'adhérant peu au projet, ne s'y est cependant pas montré totalement hostile, un ministère circonspect mais pas opposé, une fusion qui n'a pas été imposée par le haut comme cela a été le cas dans certains pays européens (en Norvège, au Danemark ou en Allemagne), des institutions de recherche déjà préparées aux méta-structures et
assez désireuses d'accéder aux classements internationaux (celui de
Shanghai, notamment), etc.Au travers de l'exemple atypique de la fusion des universités de Strasbourg, la communication de Christine Musselin propose une observation des modes opératoires des changements institutionnels de l'enseignement supérieur français les plus importants de ces dernières années. Mot(s) clés libre(s) : réforme de l'université (France), administration universitaire (21e siècle), France (21e siècle), université de Strasbourg, fusion d'universités, sociologie des institutions, politique universitaire
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La fusion thermonucléaire et le projet ITER
/ Académie de Lyon - Journée "Milieux extrêmes", ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 05-02-2009
/ Unisciel
Monier-Garbet Pascale
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Une conférence de Pascale Monier-Garbet, chercheuse à l'Institut
de recherches sur la fusion magnétique au CEA de Cadarache, présentée dans le cadre
de la journée académique enseignement-recherche sur les "Milieux extrêmes", à Lyon. La fusion nucléaire, avantages et difficultés.
Le projet ITER, dimensionnement, avancées et défis. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, tore, Cadarache
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Cristallisation sous pression
/ Université Denis Diderot - Paris VII
/ 01-04-1994
/ Canal-U - OAI Archive
MAURY Jean-Pierre, DUFAUX Jacques
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La glace ordinaire ou glace I est la seule qui existe à pression atmosphérique. Mais en augmentant la pression on peut obtenir d'autres variétés de glace. L'expérience présentée dans ce film décrit un dispositif permettant d'augmenter considérablement la pression dans une cellule remplie d'un liquide tout en observant sa cristallisation au moyen d'une caméra video. Ce système permet d'observer diverse formes de cristallisation de l'eau ainsi que du tétrachlorure de carbone.GénériqueExpériences réalisées par René Le Toullec Equipe Gaz denses - URA 782 - Université Pierre et Marie Curie Auteurs : Jean-Pierre Maury et Jacques Dufaux Réalisation technique : Jean-Louis Berdot, François Chantereau, Jean-Paul Flourat et Jean-Pierre Kempf (c) Université Paris 7 - 1994 Mot(s) clés libre(s) : cristallisation de l'eau, glace, pression, surfusion, température de fusion
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Territoires de l'innovation et de la compétitivité en région PACA : le
projet ITER, de l'international au local
/ Sylviane Tabarly, ENS Lyon CultureSciences-Physique, Catherine Simand
/ 26-01-2009
/ Unisciel
Languillon-Aussel Raphëlle
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Un lien vers un article du site Géoconfluences consacré à l'impact du
projet ITER (International tokamak experimental reactor) sur la région de Manosque et de
façon plus large sur la région PACA. Le point de vue de géographes sur un projet qui n'est
pas seulement une aventure scientifique et technique. Mot(s) clés libre(s) : fusion, fusion nucléaire, fusion thermonucléaire, iter, fusion magnétique, tokamak, tritium, deutérium, tore magnétique, Manosque, Cadarache
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L'impact de la mondialisation sur l'entreprise
/ Mission 2000 en France
/ 21-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUCHESNE Yann
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"Face à la mondialisation qui s'accélère, les "" actifs immatériels "" constituent une source clé d'avantage concurrentiel. Dans une économie mondialisée où les opportunités de marché sont quasi-pléthoriques, où les capitaux sont de moins en moins une ressource rare, où les technologies sont de plus en plus accessibles et où le coût des interactions baisse de façon vertigineuse, les entreprises doivent s'assurer le contrôle d'avantages compétitifs immatériels. Ce sont les savoir-faire spécifiques et exemplaires, la marque (réputation), les réseaux de relations privilégiées, qui constituent les nouveaux avantages comparatifs. L'importance des ressources immatérielles n'est certes pas nouvelle. Mais elle est intensifiée par la mondialisation : l'ouverture des marchés, dont celui des capitaux, rend moins durables les avantages comparatifs liés à la possession d'actifs physiques ou à l'existence de barrières d'entrée. L'exploitation de ces atouts immatériels dépend de la mise en oeuvre de l'intelligence et de la créativité humaines, donc, plus que jamais, de la qualité des individus que les entreprises sont capables d'attirer. Cela explique la guerre des "" talents "" managériaux engagée par les grandes entreprises : leur aptitude à anticiper et à exploiter les opportunités de la mondialisation, mais aussi à en déjouer les risques, repose largement sur leur capacité à attirer et développer ces talents. Ainsi, parce qu'ils permettent d'exploiter au mieux les actifs matériels, ces avantages comparatifs immatériels constituent les accélérateurs de la performance économique et boursière de l'entreprise. Les investisseurs attendent d'un "" entrepreneur "" qu'il utilise ses atouts dans tous les pays et dans tous les métiers où ils apportent de la valeur. D'où aussi le phénomène de ""course à la taille"" boursière en cours à l'échelle planétaire." Mot(s) clés libre(s) : bourse, entreprise, fusion entreprisen globalisation, internet, mondialisation, privatisation
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Le Soleil et ses neutrinos
/ ENS Lyon CultureSciences-Physique, Gabrielle Bonnet
/ 28-04-2004
/ Unisciel
De Bellefon Alain
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Le Soleil et les neutrinos solaires : origine de l'énergie
rayonnée, mécanisme de production des neutrinos solaires, détection. Mot(s) clés libre(s) : neutrinos solaires, neutrino solaire, neutrino, électron, oscillation des neutrinos, Soleil, fusion nucléaire, détection des neutrinos
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Quelles sources d'énergie d'ici à 2050 ?
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2005
/ Canal-U - OAI Archive
DAVID Sylvain
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La production d'énergie mondiale atteint 10 milliards de tonnes équivalent pétrole (tep) chaque année. Elle est assurée essentiellement par du pétrole, du gaz et du charbon, de façon très inégalitaire au niveau de la planète. Si les pays riches gaspillent, de nombreux pays en voie de développement et très peuplés tendent légitimement à augmenter massivement leur consommation dans les décennies à venir. Les scénarios énergétiques prévoient une augmentation de 50 à 300% de la production mondiale d'énergie d'ici 2050. Il est d'ores et déjà évident qu'une telle augmentation ne pourra se faire sur le modèle actuel, basé sur les énergies fossiles, dont les réserves sont limitées, et dont l'utilisation conduit à des émissions massives de CO2 responsable d'un changement climatique de grande ampleur. Le développement de nouvelles sources d'énergie est aujourd'hui incontournable, quelques soient les efforts que nous pourrons faire dans la maîtrise de la demande. Ces sources alternatives sont bien connues et relativement bien quantifiées. Le nucléaire apparaît comme la seule source disponible rapidement à grande échelle, mais nécessite une mobilisation importante de capitaux et une acceptation publique. L'énergie solaire est un gisement important, mais sa mise en oeuvre reste extrêmement chère et complexe. Elle est cependant déjà compétitive dans des zones dépourvues de réseaux électriques. L'énergie éolienne représente un gisement limité et ne pourra sans doute dépasser 10% de la production électrique, et toujours de façon intermittente et aléatoire. La biomasse est une voie intéressante, mais difficile de développer à grande échelle. Les autres sources (géothermie, vagues, marées,
) semblent incapables de répondre à une demande forte. Le stockage de l'énergie (hydrogène notamment) est loin d'être maîtrisé. Il représente un défi technologique important, et pourrait rendre les énergies intermittentes plus intéressantes dans l'avenir. Enfin, la fusion thermonucléaire représente une source massive, mais risque de ne pas être disponible avant la fin du siècle. Si le développement de l'électro-nucléaire au niveau mondial est sans doute la façon la plus rapide pour lutter contre l'effet de serre, cela ne sera en aucun cas suffisant. Le défi énergétique et climatique auquel nous sommes confrontés, nécessite la mise en place de la capture du CO2 émis par les centrales utilisant des combustibles fossiles et un développement soutenu des énergies renouvelables. Les alternatives aux énergies fossiles présentent leurs propres inconvénients, mais il n'est pas certain que nous ayons encore le choix. Mot(s) clés libre(s) : biomasse, combustible fossile, consommation énergétique, effet de serre, éolien, fission nucléaire, fusion thermonucléaire, géothermie, hydraulique, hydrogène, radioactivité, solaire, source d'énergie
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