Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
Les maladies du globule rouge. Programme court. 5 mn
/ BioTV, Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale (INSERM)
/ Canal-U - OAI Archive
Voir le résumé
Voir le résumé
La drépanocytose est due au remplacement d'un acide glutamique par une valine en une position bien précise de la molécule d'hémoglobine. Cette hémoglobine mutée, appelée HbS, n'entraîne aucun trouble chez le porteur hétérozygote et lui assure même un certain degré de protection contre le paludisme, ce qui a favorisé la diffusion du gène dans les pays tropicaux. Par contre, une anémie hémolytique chronique, risquant d'être émaillée d'une variété de complications, s'installe chez les sujets dont les globules rouges contiennent majoritairement de l'HbS. Pour éviter l'apparition de ces complications qui font toute la gravité de ce syndrome il est essentiel de faire le diagnostic de cette maladie dès la naissance afin de prendre immédiatement en charge les sujets atteints pour prévenir toute infection, désaturation en oxygène ou déshydratation qui déclencherait une crise drépanocytaire douloureuse ou des atteintes organiques. L'évolution de la population des grandes métropoles occidentales fait qu'aujourd'hui le syndrome drépanocytaire majeur est la plus fréquente des maladies génétiques en région parisienne, et en France. Il s'agit maintenant d'un problème de santé publique. Mot(s) clés libre(s) : drépanocytose, globules rouges, maladies génétiques, Mots clés: hémoglobine, paludisme, thalassémies
|
Accéder à la ressource
|
|
Patrick Touron - L’identité : point de vue d’un criminaliste
/ Samia SERRI
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Pour un criminaliste, l'identification repose sur une expertise d'une qualité à la fois hautement technique, résolument éthique et indépendante. C'est à ces conditions que l'expertise garantit le respect de l'individu et du droit, et qu'elle permet de redonner une identité à des victimes, d'identifier des coupables et d'innocenter des personnes incriminées à tort.Le colonel de gendarmerie Patrick TOURON est directeur adjoint de l'Institut de Recherche Criminelle de la Gendarmerie Nationale (IRCGN). Mot(s) clés libre(s) : ADN, ethique, anthropomorphisme, empreinte digitale, odontologie légale, Alphonse Bertillon, Dessins papillaires, affaire judiciaire, signature chimique corporelle, criminaliste, anthroplogie, pérennisation, experts, photographie, génétique, unicité, identité, identification, justice, spécificités, algorythme, procédure, recherche de la vérité
|
Accéder à la ressource
|
|
A la rencontre des chercheurs du Musée de l'Homme - Paul Verdu
/ Muséum national d'Histoire naturelle
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Paul Verdu, généticien des populations humaines au Musée de l'Homme,
rêve-t-il de double hélice de molécule d'ADN la nuit ? En tous cas il
les multiplie dans son labo du Musée. En fait il amplifie les brins
d'ADN collectés aux quatre coins de la planète, dans différentes
populations humaines, pour en mesurer les variations. Les gènes sont
alors plus visibles, avec des supers machines, pour étudier l'évolution
et l'histoire du peuplement. Avec des supers calculs.
Mais dans quel sens l'hélice tourne-t-elle ? Mot(s) clés libre(s) : ADN, génétique, Musée de l'Homme, populations humaines
|
Accéder à la ressource
|
|
2015 - Sexe, diversité, innovation
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
Conférence du Professeur Pierre-Henri
Gouyon qui a eu lieu le 2 décembre à 18h à la Faculté des sciences
juridiques, politiques et sociales, et qui entre dans le cadre du cycle :
" Quand les scientifiques observent le sexe ".
Généticien ayant aussi fait des études de philosophie, Pierre-Henri
Gouyon est Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle, à
l’AgroParisTech, à l’ENS et à Sciences Po.
Il est aussi responsable
de l’Équipe de recherche en Botanique au sein du Laboratoire ISYEB
(Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité).
Il étudie actuellement les mécanismes de l’Évolution en allant de la génétique à l’Écologie.
Auteur de nombreuses publications scientifiques qui lui ont notamment valu un
prix
de la Société Américaine d’Écologie et d’avoir été élu à l’Academia
Europea de Londres, il a aussi publié plusieurs ouvrages ou CD à visée
didactique, notamment :
- « Aux origines de la Sexualité » (2009),
- « La reproduction, ce que l’on ne sait pas encore »,
- « l’Évolution, 2014 » (qui a reçu le Prix « Lire dans le Noir » de Radio-France).
Il
appartient ou a appartenu à plusieurs comités nationaux en lien avec
les questions de Science dans la Société, ainsi qu’aux comités d’Éthique
de l’INSERM et du Département des Sciences de la Vie du CNRS. Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexualité, hormones, Darwin, géne, parthénogénèse, Hermaphrodisme
|
Accéder à la ressource
|
|
2015 - L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
« L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques ? ».
Conférence du Professeur Jacques
Balthazart qui a eu lieu le 9 décembre à 18h à la Faculté des sciences
juridiques, politiques et sociales (amphithéâtre René CASSIN) dans le
cadre du cycle : " Quand les scientifiques observent le sexe ".
Jacques Balthazart est Professeur Émérite au Grappe Interdisciplinaire de Génoprotéomique Appliquée (GIGA) Neurosciences de l’Université de Liège.
Il étudie depuis plus de 40 ans les mécanismes neuroendocriniens et neurochimiques de contrôle du comportement sexuel.
Il
s’intéresse spécialement à la différenciation sexuelle, c’est à
dire aux mécanismes qui pendant le développement déterminent les
différences comportementales, neuroanatomiques et neurochimiques entre
mâles et femelles.
Il a dans ce cadre publié plus de 400 articles scientifiques dans des revues internationales.
Il
a organisé de nombreuses conférences internationales sur ces thèmes,
fait partie du comité de rédaction de plusieurs journaux scientifiques
et est actuellement co-éditeur en chef de la revue Frontiers in
Neuroendocrinology.
Sa conférence a pour but d’exposer les
résultats de recherches en biologie indiquant que les effets des
hormones embryonnaires, eux-mêmes sous le contrôle partiel de facteurs
génétiques, jouent probablement un rôle prépondérant dans le
déterminisme de l’orientation sexuelle. Il passera tout d’abord en
revue les études animales qui démontrent formellement que de
nombreuses différences entre mâles et femelles sont le résultat de
l’action des hormones testiculaires pendant la vie embryonnaire.
Dans
un deuxième stade, il montrera que ces mêmes hormones sont toujours
bien présentes et actives dans l’espèce humaine et déterminent
les différences sexuelles morphologiques ainsi que certaines
différences comportementales entre hommes et femmes.
Enfin une
troisième partie passera en revue les Études cliniques et diverses
Études épidémiologiques qui suggèrent très fortement que ces mécanismes
hormonaux jouent également un rôle important dans le déterminisme de
l’orientation sexuelle. Mot(s) clés libre(s) : génétique, homosexualité, sexualité, hormones, géne
|
Accéder à la ressource
|
|
2015 - Fille ou Garçon, un gène à l’aiguillage
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
« Fille ou Garçon, un gène à l’aiguillage » par le Professeur Philippe Berta
Conférence du Professeur Philippe
Berta qui a eu lieu le 17 octobre à 10h à la Faculté des sciences
juridiques, politiques et sociales, et qui entre dans le cadre du cycle :
" Quand les scientifiques observent le sexe ".
Philippe Berta, Professeur des universités, est fondateur et
président du conseil scientifique de l’École de l’ADN, secrétaire
général du pôle de compétitivité santé Eurobiomed, codécouvreur du gène
de la masculinité SRY, directeur du master régional de biotechnologie
BIOTIN et concepteur de PatentShaker.
On lui doit aussi la mise en place de l’Université de Nîmes.
On vient de célébrer le 25ème anniversaire de la découverte du gène de la masculinité, SRY.
Cette
découverte a, tout à la fois, mis fin à des siècles d’hypothèses sur
l’origine des deux sexes au profit de l’hypothèse génétique.
Elle a
aussi permis, depuis, de décrypter en grande partie les mécanismes
moléculaires conduisant à la mise en place de la gonade mâle/femelle.
Enfin,
ce gène si particulier a conduit à la description d’une grande famille
de gènes, les gènes SOX (SRY box), qui font régulièrement l’actualité
par leurs implications dans de grandes voies de développement ou, par
exemple,
dans l’établissement d’un profil cellule souche à nos cellules différenciées. Mot(s) clés libre(s) : génétique, sexualité, sry, sox, géne
|
Accéder à la ressource
|
|
2012- Evolution : l'adaptation et ses alternatives
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
Voir le résumé
Voir le résumé
• 23 mai 2012 à 18h30
Evolution : l’adaptation et ses alternatives
Guillaume Lecointre est Professeur au Muséum National d’Histoire Naturelle et Directeur du Département Systématique et Evolution.
Sa recherche concerne les relations évolutives entre les êtres vivants. En d’autres termes, elle consiste à préciser, dans le « grand arbre de la vie », les relations d’apparentement entre les espèces.
Il est l’auteur de nombreux livres, notamment la Classification Phylogénétique du Vivant (en collaboration avec Hervé Le Guyader) qui a été traduit en plusieurs langues.
L’évolution est souvent vue comme une adaptation des êtres vivants à leur milieu, ce qui n’est pas faux, mais incomplet. Dans cette conférence, Guillaume Lecointre explorera d’autres explications possibles de la forme de nos organes. Mot(s) clés libre(s) : variabilité génétique, Charles Darwin, adaptation biologique, evolution
|
Accéder à la ressource
|
|
Le cancer
/ Mission 2000 en France
/ 10-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
YANIV Moshe
Voir le résumé
Voir le résumé
"Le cancer et les maladies cardiovasculaires sont les deux premières causes de mortalité dans les pays développés. Les études expérimentales faites sur les virus capables d'induire le cancer et l'analyse des bases génétiques et moléculaires du développement du cancer ont permis un grand pas en avant dans la compréhension du développement du cancer chez l'homme. La conversion d'une cellule saine en une cellule tumorale est un processus à étapes multiples qui est conditionné par la modification du fonctionnement d'au moins quatre de nos gènes. Cela explique pourquoi la formation du cancer est un processus progressif qui touche le plus souvent les personnes âgées. Des mutations dans un certain nombre de gènes appelés ""protooncogènes"" les convertissent en oncogènes qui stimulent la prolifération cellulaire et inhibent leur différenciation terminale. La perte, par mutations ou délétions, d'une autre classe de gènes appelés ""gène suppresseurs de tumeurs"" ou ""antioncogènes"" permet à la cellule tumorale d'échapper à des verrous de contrôle de la multiplication cellulaire. D'autre gènes concernés, comme la télomérase, rendent les cellules tumorales immortelles. Certains cancers (moins de 10 %) sont d'origine familiale, tandis que d'autres sont associés à des infections avec certains virus comme le virus de l'hépatite B, des virus de papillome etc. " Mot(s) clés libre(s) : cancer, génétique, système immunitaire, translocation, virus
|
Accéder à la ressource
|
|
Vivant et information
/ UTLS - la suite
/ 05-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
WEISSENBACH Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
pas de résumé Mot(s) clés libre(s) : ADN, ARN, catalyseur, enzyme, évolution, génétique, génome, histoire des sciences de la vie, information biologique, mutation, protéine, vie, vivant
|
Accéder à la ressource
|
|
Le séquençage du génome : comment et pourquoi ?
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 27-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
WEISSENBACH Jean
Voir le résumé
Voir le résumé
Courant 2000 nous disposerons d'une première ébauche de la séquence de notre génome. Il n'y a pas de bouleversements immédiats à attendre d'une telle avancée, mais elle marque le début d'une nouvelle ère de découvertes dont certaines seront suivies d'applications majeures dans le domaine de la santé humaine, de l'agriculture et de l'environnement. La simple connaissance du génome n'apportera pas de réponses aux questions scientifiques majeures de la fin de ce siècle, mais elle permettra de les aborder d'une nouvelle manière avec des chances de succès considérablement accrues. On peut aussi prévoir que tout un ensemble de nouvelles questions apparaîtront au cours de l'analyse du contenu du génome : comme souvent en de pareils cas, des observations parfaitement inattendues se produiront. Mot(s) clés libre(s) : ADN, chromosome, code génétique, génétique moléculaire, génome humain, génomique, instruction biologique, maladie génétique, médecine, séquençage, séquence de gènes
|
Accéder à la ressource
|
|