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La diversité humaine
/ UTLS au lycée, UTLS - la suite
/ 03-04-2007
/ Canal-U - OAI Archive
RADMAN Miroslav
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Une conférence de l'UTLS au lycéeavec Miroslav RadmanLycée Jean Lurçat Paris Mot(s) clés libre(s) : adaptation, culture, diversité génétique, diversité humaine, gène, génétique, génome, hérédité, reproduction
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Origines et position de l'homme dans l'évolution : la connexion chromosomique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DUTRILLAUX Bernard
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Il est possible de montrer que l'homme partage ses chromosomes, support de l'hérédité, avec l'ensemble des mammifères, et d'utiliser les différences, d'espèce à espèce, pour reconstruire leur phylogénie, c'est-à-dire leurs positions respectives dans l'arbre de l'évolution. L'étude qui sera basée sur des approches de cytogénétique classique et moléculaire, utilisant des sondes spécifiques de chromosomes humains, appliquées à une centaine de primates et une centaine de mammifères appartenant à d'autres ordres comme les carnivores, les rongeurs, les artiodactyles etc. Aujourd'hui, il n'est pas exagéré de dire que l'on connaît, de notre grand ancêtre mammalien, beaucoup mieux les chromosomes que la morphologie. Cette reconstitution d'une centaine de millions d'années d'évolution des chromosomes amène à poser des questions sur les mécanismes de la spéciation, l'origine des ordres de mammifères et celle de l'homme, l'origine de certaines pathologies, séquelles de notre propre évolution et à proposer des règles montrant que l'évolution n'est pas aléatoire. Mot(s) clés libre(s) : chromosome, cytogénétique, évolution, génétique, hérédité, mammifère, mutation, phylogenèse, phylogénie, primate, spéciation, translocation
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Origines et position de l'homme dans l'évolution : la connexion chromosomique
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 05-01-2000
/ Canal-u.fr
DUTRILLAUX Bernard
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Il est possible de montrer que l'homme partage ses chromosomes, support de l'hérédité, avec l'ensemble des mammifères, et d'utiliser les différences, d'espèce à espèce, pour reconstruire leur phylogénie, c'est-à-dire leurs positions respectives dans l'arbre de l'évolution. L'étude qui sera basée sur des approches de cytogénétique classique et moléculaire, utilisant des sondes spécifiques de chromosomes humains, appliquées à une centaine de primates et une centaine de mammifères appartenant à d'autres ordres comme les carnivores, les rongeurs, les artiodactyles etc. Aujourd'hui, il n'est pas exagéré de dire que l'on connaît, de notre grand ancêtre mammalien, beaucoup mieux les chromosomes que la morphologie. Cette reconstitution d'une centaine de millions d'années d'évolution des chromosomes amène à poser des questions sur les mécanismes de la spéciation, l'origine des ordres de mammifères et celle de l'homme, l'origine de certaines pathologies, séquelles de notre propre évolution et à proposer des règles montrant que l'évolution n'est pas aléatoire. Mot(s) clés libre(s) : évolution, spéciation, primate, phylogénie, phylogenèse, mammifère, hérédité, cytogénétique, chromosome, mutation, génétique, translocation
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Encéphalopathies subaiguës spongiformes transmissibles : le risque pour la santé
/ Mission 2000 en France
/ 12-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DORMONT Dominique
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Les encéphalopathies spongiformes subaiguës transmissibles (ESST) ont été décrites chez l'homme et les animaux : Kuru, maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ), insomnie fatale familiale, chez l'homme ; tremblante du mouton et de la chèvre, encéphalopathie du vison, maladie du dépérissement chronique des ruminants sauvages, encéphalopathies spongiforme du chat et encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) chez l'animal. Toutes ces maladies ont des lésions histopathologiques très proches constituées d'une mort neuronale, d'une gliose et d'une spongiose, et elles sont transmissibles au sein de la même espèce, et expérimentalement d'une espèce à l'autre. Ces maladies humaines et animales sont induites par des agents transmissibles non conventionnels (ATNC), appelés "prions" ou "virinos". Ces agents restent inconnus à ce jour. S.B. Prusiner et ses collaborateurs ont décrit, à la fin des années 70, la principale caractéristique moléculaire de ces maladies : il s'agit d'une accumulation d'une protéine de l'hôte sous une forme modifiée. Les deux formes diffèrent seulement dans leurs propriétés physico-chimiques qui seraient la conséquence d'une modification de la structure secondaire ou organisation en trois dimensions. L'hypothèse la plus couramment admise en 1998 est que l'agent infectieux est composé de la protéine sous sa forme pathologique ; la propagation de la conformation pathologique s'effectuerait par l'acquisition, par la protéine normale, de la conformation anomale de la protéine infectieuse avec laquelle elle est associée. Récemment, une nouvelle forme de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (nvMCJ) est apparue en Grande Bretagne (48 cas) et, à un moindre degré, en France (2 cas) et en République d'Irlande (1 cas). Cette nouvelle variante touche des individus jeunes, sans facteurs de risques génétiques ou iatrogènes et se traduit par une clinique particulière et une neuropathologie tout à fait spécifique, inconnue dans les autres formes de MCJ. L'implication de l'agent de l'encéphalopathie bovine spongiforme dans l'émergence du nvMCJ est maintenant démontrée ; les conséquences en termes de santé publique du passage de l'agent bovin à l'homme ne sont pas encore totalement évaluées. Mot(s) clés libre(s) : cannibalisme, cerveau, encéphalopathie subaïgue spongiforme, farine animale, hérédité, hormone de croissance, Kuru, maladie de Creutzfeld-Jacob, prion, santé, système nerveux central
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Les maladies cardio-vasculaires (le risque vasculaire)
/ Mission 2000 en France
/ 11-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
CORVOL Pierre
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Les maladies cardiovasculaires sont toujours la première cause de mort chez l'adulte. Toutefois, la fréquence des accidents vasculaires cérébraux, à l'origine de handicaps redoutables, a spectaculairement régressé. En l'espace d'une centaine d'années, les différents facteurs responsables du risque cardiovasculaire ont été individualisés, leur rôle respectif soupesé, leur traitement rigoureusement évalué et codifié. Le traitement des facteurs du risque vasculaire a bouleversé les maladies cardiovasculaires. L'objectif médical n'est plus tant de définir la normalité d'une tension artérielle, d'un chiffre de cholestérolémie ou de glycémie, que d'amener le patient à un risque cardiovasculaire minime. Cette démarche médicale est nouvelle dans le cadre des maladies dégénératives chroniques. Elle s'oppose, en quelque sorte, à l'approche habituelle, curative, du médecin. Elle suppose l'éducation du patient et sa prise en charge par lui-même de certains facteurs de risque (tabagisme, alimentation, mode de vie, etc.). Mot(s) clés libre(s) : alcool, cholestérol, hérédité, hypertension, sécurité sociale, tabac
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Au-delà de 120 ans avec Jeanne Calment
/ 14-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
BONNEL M.
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Depuis le 16 octobre 1995 Jeanne Calment est devenue la doyenne de l'humanité. Née le 21 février 1875 en Arles. Jeanne Calment bat ainsi le japonais Shigechiyo Izumi né le 29 juin 1865 à Asan, sur la petite île de Tokuno-Shima au sud du Japon, et décédé le 21 février 1986 à l'âge de 120 ans 7 mois et 23 jours. Seule personne dont l'âge a été validé scientifiquement, elle fait régulièrement la une de la presse et des télévisions . Même s'il est indéniable que la longévité de Jeanne Calment est due à des facteurs génétiques (sa généalogie en témoigne), tous s'accordent sur l'extraordinaire caractère de cette femme moderne avant l'heure, qui a su goûter à tous les plaisirs avec tact et modération. Elle a connu Vincent Van Gogh avant qu'il ne soit célèbre, aimait le sport et détestait la sédentarité. Elle boit encore son petit porto régulièrement. Elle a perdu sa fille unique à l'âge de 36 ans, perdu la vue, n'entend que d'une oreille mais peut encore poursuivre sa vie.
Origine
FILMED 1995 - 96 4604 086
Générique
FILMED : 96 4604 086 SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : âge, généalogie, gérontologie, hérédité, vieillissement
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Les maladies neurodégénératives
/ Mission 2000 en France
/ 15-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
BENABID Alim-Louis
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Avec les tumeurs cérébrales et les maladies vasculaires, les maladies dégénératives constituent les affections les plus fréquentes du système nerveux central. Leur relative fréquence, la sévérité de leurs atteintes, les infirmités qu'elles engendrent les ont rendues tristement célèbres et connues du grand public : maladie d'Alzheimer, de Parkinson, chorée de Huntington, sclérose latérale amyotrophique, sclérose en plaques, dystonie de l'enfant, sont autant de termes appartenant au langage courant tant elles font partie de la vie courante. Leur gravité, souvent liée à l'absence de thérapeutique, en fait un fléau redoutable qui, de part leur diversité peut atteindre l'enfant comme l'adulte, la moelle comme l'encéphale, la motricité comme les fonctions supérieures. Elles peuvent toucher les neurones comme les constituants de la substance blanche tels que la myéline, se limiter à des structures très précises, ou s'étendre à l'ensemble du système nerveux, concerner l'enfant et l'adulte jeune ou au contraire faire partie de ce que l'on nomme les maladies liées au vieillissement. Leur mécanisme aussi est très variable et ce qui fait finalement leur unité, le trait commun qui les caractérise, est l'existence d'une dégénérescence progressive et souvent inéluctable de tout ou partie du système nerveux, d'où leur appellation de maladies neurodégénératives. Mot(s) clés libre(s) : cancer, hérédité, maladie d'Alzheimer, maladie de Creutzfeld Jacob, maladie de Parkinson, neurodégénérescence, neurotransmetteur, prion, sclérose en plaque, toxicité
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