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2015 - L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques
/ Icare Multimédia - Faculté de Médecine Lille 2
/ Canal-u.fr
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« L’homosexualité a-t-elle des bases biologiques ? ».
Conférence du Professeur Jacques
Balthazart qui a eu lieu le 9 décembre à 18h à la Faculté des sciences
juridiques, politiques et sociales (amphithéâtre René CASSIN) dans le
cadre du cycle : " Quand les scientifiques observent le sexe ".
Jacques Balthazart est Professeur Émérite au Grappe Interdisciplinaire de Génoprotéomique Appliquée (GIGA) Neurosciences de l’Université de Liège.
Il étudie depuis plus de 40 ans les mécanismes neuroendocriniens et neurochimiques de contrôle du comportement sexuel.
Il
s’intéresse spécialement à la différenciation sexuelle, c’est à
dire aux mécanismes qui pendant le développement déterminent les
différences comportementales, neuroanatomiques et neurochimiques entre
mâles et femelles.
Il a dans ce cadre publié plus de 400 articles scientifiques dans des revues internationales.
Il
a organisé de nombreuses conférences internationales sur ces thèmes,
fait partie du comité de rédaction de plusieurs journaux scientifiques
et est actuellement co-éditeur en chef de la revue Frontiers in
Neuroendocrinology.
Sa conférence a pour but d’exposer les
résultats de recherches en biologie indiquant que les effets des
hormones embryonnaires, eux-mêmes sous le contrôle partiel de facteurs
génétiques, jouent probablement un rôle prépondérant dans le
déterminisme de l’orientation sexuelle. Il passera tout d’abord en
revue les études animales qui démontrent formellement que de
nombreuses différences entre mâles et femelles sont le résultat de
l’action des hormones testiculaires pendant la vie embryonnaire.
Dans
un deuxième stade, il montrera que ces mêmes hormones sont toujours
bien présentes et actives dans l’espèce humaine et déterminent
les différences sexuelles morphologiques ainsi que certaines
différences comportementales entre hommes et femmes.
Enfin une
troisième partie passera en revue les Études cliniques et diverses
Études épidémiologiques qui suggèrent très fortement que ces mécanismes
hormonaux jouent également un rôle important dans le déterminisme de
l’orientation sexuelle. Mot(s) clés libre(s) : génétique, homosexualité, sexualité, hormones, géne
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Y-a-t-il un âge pour les relations sexuelles ? - Jean-Yves Hayez
/ UTLS au lycée
/ 12-02-2009
/ Canal-U - OAI Archive
UTLS au lycée
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Une conférence de l'UTLS au Lycée : Y-a-t-il un âge pour les relations sexuelles ?Avec Jean-Yves Hayez (pédopsychiatre)Partenaire de cette conférence pour l’émission « la tête au carré » de Mathieu VidardBruxellesLycée Français Jean Monnet Mot(s) clés libre(s) : adolescents, éducation sexuelle, exclusion, homosexualité, sexualité
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Anthropologie de la famille
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 09-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
HERITIER Françoise
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"Parler de l'anthropologie de la famille nous confronte immédiatement au difficile problème de sa définition, ce qui peut paraître surprenant au commun des mortels que nous sommes, car comme le temps pour Saint-Augustin ; nous croyons tous savoir, d'expérience intime, ce que c'est. Il n'a pas été possible à ce jour d'en établir une définition qui ait valeur universelle alors même que la réalité de ce que ce terme recouvre se rencontre dans toutes les sociétés présentes et passées. Il est même avéré que le mode conjugal et monogamique que nous avons en tête, dans la mesure où il correspond à l'expérience vécue des sociétés occidentales, est le plus répandu. Mais il n'est pas le seul. L'expérience des sociétés qui non seulement admettent mais sont construites sur un principe de polygamie, polygynie ou polyandrie, montrent que la monogamie n'est pas un fait qui découle d'un ordre naturel. " Mot(s) clés libre(s) : clonage, contraception, exogamie, homosexualité, inceste, mariage, monogamie, PACS, procréation artificielle, religion musulmane, sexe
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Homosexualité, mariage et famille
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
FASSIN Eric
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En France, la politique de l'homosexualité semblait devoir s'arrêter avec la fin des discriminations légales, au début des années 1980. L'idéologie républicaine se voulait certes tolérante. Mais, construite en miroir d'une Amérique, elle interdisait toute politisation de la vie privée, censée conduire à la guerre des sexes, en même temps que toute politique minoritaire, supposée nécessairement communautariste. Pourtant, le pacs fait basculer le débat de la tolérance à la reconnaissance : c'est ainsi qu'il entraîne dès 1997 une réflexion publique au-delà du pacs, qui conduit à poser la double question du mariage et de la filiation. Ce mouvement dépasse bien sûr la France. C'est ainsi qu'en 2003 le débat sur le mariage nous est revenu en référence aux états-Unis, avec pour formes d'action la désobéissance civile et la bataille juridique. Toutefois, la comparaison transatlantique permet de souligner d'importantes différences dans la construction du débat public. Sans doute de part et d'autre pourrait-on dire que l'enjeu est le même la place de l'homosexualité, et de l'homophobie, dans la société. Mais ce qui fait problème aux états-Unis, c'est surtout le mariage, tandis qu'en France, c'est davantage la filiation. C'est un écart qu'il convient d'interroger. Ces différences ne doivent pourtant pas nous aveugler : par delà les spécificités nationales, c'est un mouvement de fond qui traverse également les Pays-Bas, la Belgique ou l'Espagne, le Canada et l'Afrique du Sud. Pourquoi cet enjeu minoritaire est-il devenu si important dans de nombreuses sociétés ? Sans doute en va-t-il de l'ordre symbolique, de l'ordre sexuel qui organise la hiérarchie des sexes et des sexualités, qui s'avère historique. Mais surtout, le fondement même des normes sociales ne relève plus d'une transcendance (Dieu, nature ou science). Leur justification est immanente : c'est la société qui les (re)définit, et la délibération démocratique qui les fonde. Mot(s) clés libre(s) : homoparentalité, homosexualité, mariage homosexuel
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"Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?", semi-plénière avec la participation de Louise Dejeans, Éric Fassin et Irène Théry
/ 02-07-2015
/ Canal-u.fr
FASSIN Eric, THERY Irène
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Vers une dénaturalisation du genre, de la sexualité et de la famille ?
Coordination : Salima Amari (RT24, université Paris 8, CRESPPA-GTM) et Gilda Charrier (RT33, Université de Bretagne Occidentale, LABERS)
Intervenant.e.s :
- Louise Dejeans, Université Paris Descartes, CERLIS.
- Éric Fassin, Professeur, Université de Paris 8, LEGS : « Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre. Du PaCS au "mariage pour tous" »
- Irène Théry, directrice d’Études à l’EHESS, Centre Norbert Elias : « Les métamorphoses de l’institution de la parenté face aux deux formes de naturalisation de la famille »
Cette table ronde se propose d’interroger les conceptions de la famille aujourd’hui en France en termes de rapports sociaux de sexe et de genre à l’aune des débats publics lors du vote de la loi relative à l’ouverture du mariage aux couples de même sexe. Dans quelle mesure le débat autour du mariage pour tous remet-il en cause la place constitutive de la différence des sexes dans le fondement de la famille ? Comment une telle conception redessine-t-elle le lien entre mariage et droits reproductifs ? Il paraît pertinent de porter une attention particulière à la diversité des modèles familiaux qu’auraient révélés et ramenés sur le devant de la scène publique les débats qui ont eu lieu. Il s’agira en outre de rendre compte des types de résistance, de dérogation à la norme dominante, dont relèvent ces modèles familiaux, ainsi que de la redéfinition de la famille qu’ils impliquent. Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, sexualité, famille, genre, rapports sociaux de sexe (genre), dénaturalisation
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Journée d'études - Table ronde
Sujets déviants, sujets pervers
Pathologie mentale, sexualité et expérience de l'autre
/ FMSH Production
/ 17-11-2015
/ Canal-u.fr
De Eugenio Guillermo, González Quijano Lola, Paz Rodríguez Diéguez Mari, Mazaleigue-Labaste Julie, Malivin Amandine, Yampolsky Eva, SCARFONE Marianna, GIARD Agnès
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Journée d'étude organisée par Guillermo de Eugenio Pérez et Marianna Scarfone
Cette journée entend
développer une réflexion critique par rapport à la problématique du
processus de formation des subjectivités divergentes. Le but est de
rassembler un groupe de chercheur.e.s à caractère interdisciplinaire
pour discuter des recherches en cours à partir de trois perspectives
différentes : celle de l'expérience de l'autre (l'anormal, le pervers,
le déviant) correspondant à la construction d'un type de subjectivité,
celle de la sexualité comme élément fondamental pour la constitution de
l'identité contemporaine, et celle du champ épistémologique des sciences
psy.
Les sujets déviants ou
pervers sont ceux qui, par leur conduite ou leur apparence, ne
s'adaptent pas à ce que la société dans laquelle ils évoluent considère
comme normal, comme adéquat. Ils sont donc des « anormaux », des «
autres ». Par l'expérience qu'ils ont de leur propre subjectivité, de
leur désir, de leur corps, de leur vie, ce sont des sujets; mais ils
sont souvent aussi l'objet d'un savoir scientifique et d'un processus de
pathologisation mis en œuvre par ce même savoir scientifique.
Cependant, les sujets ne peuvent être considérés exclusivement comme des
objets passifs. On retrouve partout, de la part des individus, des
formes d'action qui modifient les contextes où ils subissent la
normalisation : des pratiques de résistance, provocation, négociation,
adaptation ou assimilation. Nous partons de la prémisse selon laquelle
la déviation morale et la perversion mentale ne sont pas des catégories
anhistoriques, mais des objets contingents dont il est possible et même
nécessaire d'examiner les itinéraires.
Cette activité est
organisée dans le cadre de l'EHESS, avec la collaboration de la
Fondation Maison des Sciences de l'Homme et du Centre Alexandre Koyré.
Programme :
MARDI 17 NOVEMBRE
190-198 Avenue de France (salle 318)
9:30-10:00 ACCUEIL DES PARTICIPANT.E.S
10:00-10:30
Ouverture
Antonella Romano, directrice du Centre Alexandre Koyré (CAK- EHESS-CNRS)
Introduction
Guillermo de Eugenio et Marianna Scarfone (CAK- Braudel-IFER- FMSH)
10:30-11:45
Julie Mazaleigue-Labaste (Univ. de Picardie Jules Verne, CHSSC)
Les limites de l’acceptable : petites et grandes « perversions »
Amandine Malivin (Univ. Paris 7, ICT)
Le nécrophile, pervers insaisissable (France, XIXe siècle)
12:00-13:15
Guillermo de Eugenio Pérez (CAK- Braudel-IFER-FMSH)
Le parcours du masochiste: de la Perversion à la Transgression
Mari Paz Rodríguez Diéguez (Univ. Paris 8 - Hôpital Ville-Evrard)
La psychanalyse, est-elle homophobe?
15:00-16:15
Marianna Scarfone (CAK- Braudel-IFER-FMSH)
L’incorporation de l’ordre colonial : lois raciales, psychiatrie, sexualité
Agnès Giard (Sophiapol EA3932)
La fille en boîte : naissance d’une perversion au Japon
17:00-18:15
Lola González Quijano (EHESS-CRH-LaDéHis-GENRE)
Performer un mauvais genre : la demi-mondaine au XIXe siècle
Eva Yampolsky (CAK - Univ. Lausanne IUHMSP)
Le suicide, entre perversion de l’instinct et perversion morale
18:15-19:00
Table Ronde Remarques finales Mot(s) clés libre(s) : homosexualité, psychologie, perversion (psychanalyse), sexualité et genre
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