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Les transferts de technologies
/ Mission 2000 en France
/ 28-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
ROUX Didier
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"Le but de cette conférence est d'illustrer à partir d'exemples concrets et vécus par l'auteur la complexité du mécanisme permettant de transférer dans le domaine industriel des découvertes ou des connaissances fondamentales. La thèse principale développée est que le processus de transfert de technologie n'est pas linéaire et ne suit en aucune façon un schéma "" classique "" où la science fondamentale serait en amont suivie d'une recherche technologique pour à la fin donner lieu à un développement technologique. Au contraire, nous argumenterons, sur la base des exemples présentés, que le caractère interconnecté des différentes étapes et leur inter relation nécessite une vision nouvelle du processus de transfert de technologie, à la fois plus dynamique et impliquant l'ensemble des scientifiques y compris et surtout les meilleurs fondamentalistes. Les exemples décrits correspondent d'un point de vue scientifique à la physico-chimie et d'un point de vue industriel à la galénique et à la formulation de produits chimiques. Nous traiterons : - La mise au point de vecteurs non viraux pour la thérapie génique. - Les micro-émulsions et leurs applications. - L'effet de l'écoulement sur des structures organisées et les découvertes qui en découlent. Alors que les deux premiers sujets concernent, d'un point de vue industriel, des grands groupes de l'industrie pharmaceutique et chimique, le dernier exemple nous permettra de montrer comment des travaux, à priori très fondamentaux, ont débouché sur la création de deux entreprises de haute technologie dans des domaines aussi variés que la micro-encapsulation et les biotechnologies ainsi que l'instrumentation. " Mot(s) clés libre(s) : ingénierie industrielle, innovation, recherche fondamentale, recherche technologique, transfert de technologie
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La construction d'une usine : du virtuel au réel
/ UTLS - la suite
/ 11-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
POULIQUEN Anne
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Les projets d'usines pétrochimiques et de plateformes actuellement en cours de développement dans le monde sollicitent de façon de plus en plus exigeante les capacités des sociétés d'ingénierie. Comment réaliser, dans des délais raccourcis, (afin d'assurer rapidement la mise en production !) des mastodontes, qui seront nos usines de demain ? Nous aborderons les différents défis de l'ingénierie et les moyens mis en oeuvre pour y répondre : notamment, les simulations et le virtuel. Comment, ces dix dernières années, le développement des technologies de l'information, des outils de calcul, des techniques de communication, des outils de conception, a permis de tenir les délais d'études, des cycles d'approvisionnement et de construction impliquant des centaines d'intervenants répartis sur l'ensemble de la planète
Les Ingénieur Chimistes de l'usine, le Procédé, déploient des outils de calcul et de simulation pour définir d'une puissance toujours accrue pour définir les étapes de transformation des fluides et leurs contraintes, et optimiser les appareils critiques. Les Ingénieur Equipements traduisent ces contraintes, afin de définir, par leurs propres logiciels, les caractéristiques des appareils. Les Acheteurs lancent leurs appels d'offres dans le monde entier, via une plateforme d'échanges internet. Les Ingénieurs de Bureau d'Etudes développent les données Procédé et Mécanique, afin de réaliser la maquette virtuelle et dimensionnée de l'usine, maquette intelligente qui sera le support des revues avec le Client. Cette maquette est également la source de tous les plans utilisés sur le chantier
pour construction, voire la formation des Opérateurs
Ces différentes activités, souvent menées en parallèle, seront développées sous l'angle de leurs moyens numériques et outils de communication. Mot(s) clés libre(s) : CFD, Computational fluid dynamics, construction d'usine, flexibilité des tuyauteries, ingénierie des procédés, ingénierie industrielle, logiciel de calcul, modèle 3D, modélisation, réalité virtuelle, usine pétrochimique
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20 000 liens sous les mers : pipeline, acheminement du pétrole, sécurité des installations
/ UTLS - la suite
/ 15-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
MARION Alain
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Avec l'essor des développements pétroliers offshore en grande profondeur, les conduites sous-marines ont pris une importance technologique considérable. Ces conduites servent non seulement à transporter les hydrocarbures produits des têtes de puits sous-marines vers les plates-formes de production, mais également à véhiculer les fluides d'injection, eau ou gaz, en direction du réservoir. Des ombilicaux, assemblés hélicoïdaux de composants électro-hydrauliques, sont utilisés pour le contrôle et l'opération des équipements sous-marins - têtes de puits, collecteurs, vannes, pompes sous-marines, ... Les principales méthodes d'installation de ces conduites sous-marines seront brièvement décrites, pose en S, en J, en déroulé ou pose par remorquage. Leurs domaines d'application privilégiés seront également mentionnés. Parmi les technologies de conduites sous-marines, on retiendra les conduites rigides traditionnelles, en simple ou double enveloppe, ou bien assemblées en faisceau, ainsi que les conduites flexibles. Ces dernières, création originale de l'institut Français du Pétrole, sont un assemblage de couches indépendantes constituées de gaines thermoplastiques extrudées et de nappes de fils d'acier enroulés en hélice. Comme pour les conduites rigides classiques, le dimensionnement de ces conduites flexibles repose sur les conditions opératoires requises, en particulier relatives aux fluides transportés - pression, température, composition chimique. Les difficultés spécifiques introduites par l'utilisation de ces produits en mer ultra profonde seront ensuite évoquées, en insistant particulièrement sur les aspects mécaniques liés à la pression hydrostatique ainsi que les aspects thermodynamiques liés à la gestion de la veine fluide sans oublier les contraintes associées à la méthode de pose. Le cas particulier des liaisons fond-surface permettant de relier la canalisation sous-marine au support de production flottant sera étudié. L'influence de la nature du support de production sur le choix des configurations, le comportement dynamique des conduites dans la tranche d'eau sous les sollicitations environnementales, la fatigue des installations et des équipements associés seront évoqués. De nouvelles technologies liées à l'utilisation de fibres optiques permettent désormais d'apporter aux opérateurs pétroliers la faculté de surveiller leurs installations en temps réel. Cependant, les schémas de développement ou concepts d'architecture sous-marine varient selon les zones géographiques et l'expérience spécifique des opérateurs pétroliers, ce qui explique la grande diversité des solutions technologiques utilisées. Enfin, nous conclurons ce bref panorama par une présentation rapide de systèmes de conduites sous-marines installés dernièrement dans les principales zones du globe. La mise en production de champs dans des profondeurs entre 1 500m et 2 000m de profondeur d'eau fait désormais partie de notre quotidien et nous développons déjà les solutions qui nous permettront d'atteindre la tranche 2 500 à 3 000 m, dans laquelle les opérations de forage ont déjà lieu. Mot(s) clés libre(s) : canalisation, champ pétrolifère, conduite sous-marine, connection sous-marine, hydrocarbure, ingénierie industrielle, liaison fond-surface, mer profonde, plateforme pétrolière, riser, robot télécommandé
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Méga usine, méga défi : l'usine de gaz naturel liquéfié
/ UTLS - la suite
/ 12-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
DUVAL Marc
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Les avancées technologiques, la mise en valeur du développement durable, la prise en compte d'un contenu local, la forte demande mondiale en énergie par rapport aux capacités de production ainsi que les regroupements récents des grands donneurs d'ordre sont autant d'éléments qui font que les nouvelles usines sont de plus en plus grandes, intégrées et complexes. Ainsi la méga usine, qui était une exception il y a dix ans, est devenue monnaie courante. Pour relever ces nouveaux défis, l'ingénierie industrielle s'est adaptée, a grandi en taille, s'est internationalisée. Et il est maintenant fréquent que plusieurs grandes entreprises internationales s'associent entre elles pour exécuter ces méga projets dont l'ingénierie est réalisée aux quatre coins du monde. En même temps, la protection de l'environnement, la sécurité, le contrôle des risques, la maîtrise des délais de plus en plus courts sont devenus omniprésents dans toutes les phases du projet, que ce soit pendant l'avant-projet, la phase d'ingénierie ou celle de construction. A travers l'exemple d'une usine de liquéfaction de gaz naturel, énergie propre par excellence, nous expliquerons au cours de cette conférence en quoi consiste ce type d'usine, quels en sont les défis majeurs et surtout comment les femmes et les hommes qui composent les équipes de réalisation d'une telle usine sont organisés pour réussir ces méga projets et se préparent ainsi aux nouveaux défis qui les attendent demain. Mot(s) clés libre(s) : coentreprise, construction d'usine, développement durable, gaz naturel liquéfié, ingénierie industrielle, méga usine, pétrole
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