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Table ronde
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ Canal-u.fr
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès.
Participants
>> Michèle Delaunay
>> Martine Bungener
>> Michèle Leduc
>> Robert Kerger
>> Michelle Bergadaà Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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Ouverture du colloque
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
TUNON de LARA Manuel, SALZMANN Jean-Loup, JOUZEL Jean
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
MÉTAILIÉ Jean-Paul
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Wilderness et sanctuarisation au regard de l'histoire de l'environnement : de la sacralisation du patrimoine naturel à la révélation du patrimoine culturel / Jean-Paul Métailié, in Journée d'études "Espaces sanctuarisés aux États-Unis - Visions of American Sanctuaries", organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paléoenvironnement, archéologie du paysage, écologie du paysage, paysages agricoles (Amérique du Sud), intégrité écologique
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Les années 2010 : Guide des pratiques intègres et responsables et charte nationale de déontologie
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
LEDUC Michèle
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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L'intégrité scientifique en Europe
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
KERGER Robert
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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Actualités sur l'intégrité scientifique
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
HURIET Claude
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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Espaces sanctuarisés aux États-Unis : introduction / Aurélie Guillain
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
GUILLAIN Aurélie
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Espaces sanctuarisés aux États-Unis : introduction / Aurélie Guillain, in Journée d'étude organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paysage dans la littérature, environnement (protection), protection des espaces naturels (Etats-Unis), parcs nationaux (Etats-Unis), philosophie de la nature, intégrité écologique, nature (esthétique)
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Réflexions et recommandations, synthèse et propositions
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
DEGOS Laurent
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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Conclusion
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
DEGOS Laurent
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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La naissance de l'intégrité scientifique en France : pourquoi ? comment ?
/ Université de Bordeaux - Service Audiovisuel et Multimédia
/ 29-01-2016
/ Canal-u.fr
BUNGENER Martine
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L'intégrité scientifique : parlons-en !
L’intégrité
scientifique est une valeur fondamentale dont
la défense nécessite vigilance et exigence de la part de l’ensemble des acteurs
de la recherche.
En janvier 2015, la Conférence des Présidents d'Université (CPU) et les grands
organismes de recherche publique (CNRS, CIRAD, INSERM, INRA, INRIA, INED,
Institut PASTEUR, Institut CURIE) ont signé une charte nationale de déontologie
des métiers de la recherche. Cet engagement des institutions, doit se traduire
par une mobilisation de la communauté et
conduire à des actions de sensibilisation à tous les niveaux de la formation
universitaire.
Pour accompagner ce
mouvement, le MURS-IS (Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique –
Intégrité Scientifique), la CPU et l’université de Bordeaux ont co-organisé un
premier colloque universitaire sur l’intégrité scientifique en France, qui
s’est tenu à Bordeaux le 29 janvier 2016.
Ce colloque s’adressait
à l’ensemble des acteurs de la recherche y compris les étudiants et à tous
ceux qui contribuent à la diffusion des nouvelles connaissances
scientifiques.
Le programme de la journée comportait d’une part des conférences et d’autre part des ateliers consacrés à l’analyse de situations réelles dont
l’objectif était d'élaborer des recommandations pour prévenir les manquements à
l’Intégrité scientifique.
La culture de
l’intégrité scientifique doit être respectée et diffusée par
toutes les institutions de recherche à tous les stades de la vie
professionnelle des chercheurs. C’est à ce prix que la société pourra préserver
la confiance qu‘elle accorde à la recherche, et que les chercheurs, assumant
pleinement leurs responsabilités, continueront d'être fiers de leur rôle moteur
au service du progrès. Mot(s) clés libre(s) : Recherche scienfique, intégrité, Mouvement Universel de la Responsabilité Scientifique
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