|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
Tri :
Date
Editeur
Auteur
Titre
|
|
L'internationalisation du droit pénal
/ Mission 2000 en France
/ 07-11-2000
/ Canal-U - OAI Archive
KOERING-JOULIN Renée
Voir le résumé
Voir le résumé
1919 : le Traité de Versailles prévoit la mise en accusation (qui n'aura jamais lieu) de l'ex-empereur d'Allemagne, Guillaume II, devant un tribunal international " pour offense suprême contre la morale internationale et l'autorité sacrée des traités ". 1998 : la Convention de Rome instaure une cour pénale internationale permanente compétente pour juger tous auteurs et complices, y compris les chefs d'État et de gouvernement, qui se seraient rendus coupables de génocide, crimes contre l'humanité, crimes de guerre ou agression. Le pas ainsi accompli, considérable, est sans aucun doute l'expression la plus emblématique du phénomène d'internationalisation du droit pénal. Néanmoins, il ne saurait faire oublier les manifestations moins spectaculaires, parfois même quotidiennes, et pour certaines en pleine mutation, de collaboration répressive des Etats contre le crime, telles l'entraide policière, l'entraide judiciaire, l'extradition... Or, si les instruments de cette internationalisation du droit pénal sont les plus divers, leur diversité n'est rien face à la multiplicité, à l'hétérogénéité et à l'infinie complexité des textes, notamment conventionnels, qui les encadrent et assurent, non sans difficultés, leur mise en oeuvre. Mot(s) clés libre(s) : droit, droit pénal, internationalisation, juridiction internationale
|
Accéder à la ressource
|
|
L’histoire par le bas
/ L'équipe technique des auditoriums de la BnF, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 17-06-2016
/ Canal-u.fr
CERUTTI Simona, BLUM A., CALAFAT Guillaume, ANHEIM Étienne, BARBOT Michela
Voir le résumé
Voir le résumé
L’histoire de l’Europe moderne constitue l’un des terrains privilégiés du dialogue entre l’histoire et les sciences sociales. Ces sociétés qui à la fois se trouvent à distance de ce que nous considérons comme contemporain et en forment le creuset ont permis l’élaboration d’œuvres intellectuelles de grande ampleur, comme celle d’E. P. Thompson (1924-1993), dont le travail sur la classe ouvrière ou l’économie morale a marqué l’historiographie internationale. À l’occasion de la récente traduction en français par Jean Boutier et Arundhati Virmani des Usages de la coutume, l’historienne Simona Cerutti s’est livrée à une relecture de la notion essentielle d’« histoire par le bas » (history from below), une approche qui désigne à la fois une méthode et un objet historiographiques, tout en prêtant attention à des pratiques sociales qui demeurent souvent dans l’ombre de l’histoire traditionnelle. Nous proposons de revenir sur cette notion, ce qui permettra de confronter les approches d’E. P. Thompson et de S. Cerutti et, plus largement, d’aborder des questions méthodologiques qui concernent l’ensemble de l’histoire et des sciences sociales.
Pour en savoir plus Mot(s) clés libre(s) : histoire sociale, identité, pauvreté, relations sociales, couches populaires, juridiction, monde soviétique, société russe
|
Accéder à la ressource
|
|
|<
<< Page précédente
1
Page suivante >>
>|
|
documents par page
|
|