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Ce que la phénoménologie peut apprendre de la danse
/ Estelle COLL
/ Canal-u.fr
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A propos de la
répétition dans (re)place de Wendy Woodson
Le succès théorique de la phénoménologie est grandissant dans les études en danse – la raison en est
sans nul doute qu’au moins depuis Merleau-Ponty, elle se distingue par sa manière d’aborder la
question du corps et de «l’incarnation», questions qui traversent à l’évidence le champ
chorégraphique. Pourtant, la tradition phénoménologique a peu thématisé la danse comme telle, et
même les phénoménologues les plus récents s’y confrontent rarement.
C’est cette voie que nous voudrions tracer, non pas en tentant de voir ce que les concepts des
phénoménologues peuvent apporter à la compréhension de la danse, mais plutôt en essayant de penser
« chorégraphiquement » les problématiques phénoménologiques. De ce point de vue, c’est la
prévalence du concept merleau-pontyen de corps propre qu’il s’agira de contester, en lui substituant
une approche plus dynamique où le corps apparaîtra comme déposé par le mouvement, comme la
première « chose » que le mouvement s’approprie.
Agrégé de philosophie, ancien étudiant à l’ENS-Ulm, Romain Bigé prépare une thèse de philosophie
dirigée par Renaud Barbaras (doctorat SACRe de PSL*, Archives Husserl et CNSMDP).
Parallèlement à ses recherches au croisement des études en danse et de la phénoménologie, il
poursuit une formation en danse-contact.
COLLOQUE INTERNATIONAL
La recherche en danse entre France et Italie : approches, méthodes et objets
Nice, 2-4 avril 2014 Torino, 5-6 aprile 2014 Mot(s) clés libre(s) : danse, mouvement, phénoménologie, Maurice Merleau-Ponty, repetition
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Phénoménologie et politique : Arendt et Merleau-Ponty
/ ENS-LSH/SCAM
/ 14-11-2001
/ Canal-U - OAI Archive
REVAULT D'ALLONNES Myriam
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéMyriam Revault d'Allones étudie ici le rapport problématique qu'entretiennent la philosophie et la politique à partir de l'oeuvre d'Hanna Arendt et de Merleau Ponty. La rencontre de la philosophie et du monde ne va pas de soi. Merleau Ponty se demande si la politique peut jamais s'énoncer dans la prose du vrai. Anna Harendt, qui radicalise ce propos, insiste sur le caractère foncièrement anti-politique de la philosophie, y compris de la philosophie politique, attachée avant tout à se défaire du monde. La philosophie politique a un statut problématique parce qu'elle se trouve précisément à l'intersection de la philosophie et de la non-philosophie, de la spéculation et de l'expérience. Cette relation problématique est incarnée de façon emblématique par Socrate dans son rapport à la cité. Sa figure est longuement évoquée par Merleau Ponty dans sa leçon inaugurale au collège de France, "Eloge de la philosophie". Arendt et Merleau Ponty récusent tous deux la position légiférante de la philosophie sur la politique.Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : Hanna Arendt, Maurice Merleau-Ponty, phénoménologie, philosophie, politique
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