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Dermatologie du voyageur : nuisances en Guyane française
/ P. GILLET, DECAS - Faculté de Médecine - Université de Nantes, Faculté de Médecine - Université de Nantes
/ 18-02-1993
/ Canal-U - OAI Archive
PINTAS C., GILLET P.
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Nuisances cutanées (gale, tungose, myiases, larva migrans, thrombidiose, papillonite) présentes en Guyane française et dans de nombreux pays d'Amérique du Sud, fréquemment rencontrées chez les voyageurs, et dont le diagnostic est établi sur la clinique seule permettant un traitement immédiat et simple.
Objectifs - Inventaire des nuisances cutanées et leur traitement.
[Programme mis en ligne dans le cadre du partenariat UMVF / Médiathèque centrale de la CIDMEF]
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Origine
[n° catalogue CIDMEF : V290] Mot(s) clés libre(s) : parasite
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Basta de gusanos !
/ 18-10-2005
/ Canal-u.fr
PAYS Jean-François
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Basta de Gusanos ! est un film de 20 minutes, conçu, écrit et réalisé par Jean-François Pays, à la demande du Pr C.E. Borda, directeur du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes, Argentine, pour sensibiliser les enfants des écoles rurales de cette province et de l’ensemble du pays aux infections par les géohelminthes dont la prévalence reste encore élevée dans de nombreuses régions. Le sujet est abordé sous l’angle d’une « tragi-comédie entérique » mettant en scène, sous forme de marionnettes, un ascaris, un ankylostome, une anguillule et un trichocéphale vivant dans le ventre d’un jeune garçon et présentés comme une joyeuse bande de petits malfrats cyniques, fiers d’être des parasites, jaloux de leurs prérogatives et de leur savoir faire, rivaux prêts à s’entretuer pour leur territoire ou une goutte de sang, mais prêts aussi à s’unir pour s’empiffrer et faire les 400 coups. Basta de gusanos ! sera distribué gratuitement sous forme de CD ou de DVD dans les écoles rurales argentines, accompagné d’un petit livret permettant aux enseignants d’expliquer plus complètement aux enfants le mécanisme des infections par les géohelminthes, les moyens de les éviter et la nécessité de se traiter régulièrement. Mise à part la taille des marionnettes, le film s’est efforcé de ne prendre aucune liberté vis à vis des données parasitologiques.Basta de gusanos ! a été réalisé dans le cadre d’une convention inter-universitaire entre l’Université Paris-V René Descartes et l’Université del Nordeste, avec l’appui financier de la faculté de médecine de Corrientes,le concours d’ Alexandro Maurino dit Chaque (dessin des marionnettes) de Carlos Ramos (fabrication des marionnettes), de la Compagnie El Asunto (animation des marionnettes), des membres du Centre National de Parasitologie et des Maladies Tropicales de Corrientes (CENPETROP) (Pr CE Borda (régie générale), Pr Maria Josefa F. Rea, Cristina Mercedes Gené (dessins), Miguel Angel Sandoval, Luis Armando Mosqueda, Osvaldo David Benitez, Sara Maria Quatrocchio (commentaire), des élèves et professeurs des écoles Général Manuel Belgrano de Corrientes et Para Costa Grande de San Luis de Palma.Scénario, dialogues, images, montage et réalisation de Jean-François Pays Mot(s) clés libre(s) : chaleur, nourriture, rural, pédagogie, matières fécales, excrements, vers, ascaris, eau, geohelmynthes, toilettes, bouillir, marionettes, chaussure, pathologie exotique, mesures sanitaires, campagne de prévention, lavage de mains, médecine tropicale, épidémie, bactérie, virus, hygiène, maladie, médicament, Amérique, école, insectes, enfant, vidéo, Parasites, éducation sanitaire, assainissement, contamination, larve, oeufs, Argentine
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Le Criocère du lis
/ Maurice GUILLON, SFRS-CERIMES
/ 01-01-1966
/ Canal-U - OAI Archive
GUILLON Maurice
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Le lis est souvent attaqué par la larve du criocère du lis. La biologie de ce petit coléoptère de la famille des chrysomélidés est étudiée de l'accouplement à la naissance et au développement des larves, qui peuvent être parasitées par un hyménoptère. Crioceris lilii est ensuite comparé avec le criocère de l'asperge et le criocère à 12 points. Mot(s) clés libre(s) : insecte nuisible, parasite
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Les mathématiques de l'évolution
/ UTLS - la suite
/ 09-07-2002
/ Canal-U - OAI Archive
FERRIERE Régis
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L'évolution du vivant, triomphe de la diversité et de la complexité, aux antipodes, semble-t-il, de l'architecture épurée d'un édifice mathématique. Pourtant, de l'origine des gènes à l'émergence des sociétés humaines, les grandes transitions de l'histoire de la vie inspirent et renouvellent la théorie mathématique des jeux. On découvre des caractéristiques mathématiques universelles au sein de populations dont les organismes au comportement aléatoire interagissent selon des règles simples. Des classes d'équations inédites surgissent de l'étude du partage des ressources par des espèces concurrentes; leurs solutions présentent des propriétés mathématiques nouvelles, qui vont jusqu'à remettre en question notre conception même de la pratique expérimentale. Nous montrerons ainsi comment l'étude de l'évolution du vivant fait naître de nouvelles métaphores mathématiques, et comment le progrès mathématique qui en résulte peut nous aider à mieux comprendre la réalité biologique. Mot(s) clés libre(s) : complexification du vivant, évolution du vivant, modèle d'interactions, modélisation mathématique, parasitisme, sélection naturelle, système biologique, systèmes coopératifs, théorie des jeux, théorie des transitions majeures
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Les thérapies géniques : espoirs et réalité - Olivier DANOS
/ Mission 2000 en France
/ 18-03-2000
/ Canal-U - OAI Archive
DANOS Olivier
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La thérapie génique désigne un ensemble d'hypothèses où des gènes sont utilisés pour soigner. L'idée a été formulée dès les années 1960, comme une solution possible pour les maladies génétiques rares et incurables causées par le mauvais fonctionnement d'un seul gène. A l'évidence, si l'on pouvait introduire dans une cellule malade une version du gène en état de marche, il devrait être possible de la guérir. L'ADN devient ici médicament. Le traitement s'attaque directement à la cause de la maladie et non pas à ses symptômes. Les études sur le génome sont aujourd'hui un passage obligé pour notre compréhension des maladies. Par rebond, on évalue à l'aune de la thérapie génique, le traitement de maladies de plus en plus nombreuses. Il ne s'agit plus uniquement d'affections simples comme les myopathies, la mucoviscidose ou l'hémophilie, mais aussi des grandes pathologies : cancers, sida, diabète, atteintes cardiovasculaires. Il est aujourd'hui courant de reprogrammer des cellules en laboratoire, et dans les cas les plus favorables, on montre l'efficacité des approches de thérapie génique dans des modèles animaux. Près de 400 essais cliniques de thérapie génique, sur plus de 3 000 patients ont déjà été réalisés. Les indicateurs positifs abondent, mais la prudence reste de mise. Évalue-t-on correctement les risques liés à ces thérapeutiques nouvelles ? Quel sera leur champ d'application exact : révolution de l'ensemble de la pratique médicale ou solutions ingénieuses pour des cas rares et désespérés ? Mot(s) clés libre(s) : ADN, gène, information génétique, parasite, thérapie génique, vecteur, virus
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La coévolution
/ Mission 2000 en France
/ 07-01-2000
/ Canal-U - OAI Archive
COMBES Claude
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Les virus informatiques sont de plus en plus élaborés. Les anti-virus sont de plus en plus complexes. Telle est l'image moderne que l'on peut donner de la coévolution. La coévolution, c'est le processus sans fin dans lequel deux adversaires construisent sans cesse de nouvelles armes pour ne pas être distancé par "l'autre". Des exemples typiques de coévolution en biologie se trouvent dans les relations entre les agents pathogènes et leurs hôtes. La coévolution existe aussi dans les systèmes mutualistes, où chacun exploite l'autre. L'illustration la plus belle est celle des orchidées de Madagascar et de leurs papillons pollinisateurs. Les premières ont des tubes nectarifères de 30 cm de longueur et les seconds ont des trompes de 25 cm. L'allongement démesuré des nectaires et des trompes au cours de l'évolution s'explique seulement par un processus coévolutif qui avait été déjà entrevu par Charles Darwin. La question cruciale est celle du rôle de la coévolution dans le phénomène grandiose de l'évolution elle-même. N'est-elle qu'une anecdote, ou au contraire un mécanisme fondamental ? L'hypothèse dite de ""la Reine Rouge"" propose qu'elle est la base même de l'aventure de la vie. Avec l'homme apparaît une forme entièrement nouvelle de coévolution, non plus entre des objets vivants mais entre deux processus : le génome et la culture. Par leurs traditions culturelles, transmises de génération en génération, les hommes influencent de plus en plus fortement les processus de la sélection naturelle. Par exemple, les progrès de la médecine contrarient certainement la sélection des gènes de résistance aux maladies. Quant aux interventions directes sur le génome, elles relègueront les processus naturels au rang d'accessoires obsolètes. Mot(s) clés libre(s) : biodiversité, biologie animale, biologie des populations, coévolution, évolution, génétique, interaction durable, mutualisme, organisme hôte, parasite, parasitisme, symbiose
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La coévolution
/ Mission 2000 en France
/ 07-01-2000
/ Canal-u.fr
COMBES Claude
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Les virus informatiques sont de plus en plus élaborés. Les anti-virus sont de plus en plus complexes. Telle est l'image moderne que l'on peut donner de la coévolution. La coévolution, c'est le processus sans fin dans lequel deux adversaires construisent sans cesse de nouvelles armes pour ne pas être distancé par "l'autre". Des exemples typiques de coévolution en biologie se trouvent dans les relations entre les agents pathogènes et leurs hôtes. La coévolution existe aussi dans les systèmes mutualistes, où chacun exploite l'autre. L'illustration la plus belle est celle des orchidées de Madagascar et de leurs papillons pollinisateurs. Les premières ont des tubes nectarifères de 30 cm de longueur et les seconds ont des trompes de 25 cm. L'allongement démesuré des nectaires et des trompes au cours de l'évolution s'explique seulement par un processus coévolutif qui avait été déjà entrevu par Charles Darwin. La question cruciale est celle du rôle de la coévolution dans le phénomène grandiose de l'évolution elle-même. N'est-elle qu'une anecdote, ou au contraire un mécanisme fondamental ? L'hypothèse dite de ""la Reine Rouge"" propose qu'elle est la base même de l'aventure de la vie. Avec l'homme apparaît une forme entièrement nouvelle de coévolution, non plus entre des objets vivants mais entre deux processus : le génome et la culture. Par leurs traditions culturelles, transmises de génération en génération, les hommes influencent de plus en plus fortement les processus de la sélection naturelle. Par exemple, les progrès de la médecine contrarient certainement la sélection des gènes de résistance aux maladies. Quant aux interventions directes sur le génome, elles relègueront les processus naturels au rang d'accessoires obsolètes. Mot(s) clés libre(s) : évolution, parasitisme, parasite, organisme hôte, mutualisme, interaction durable, coévolution, biologie des populations, biologie animale, biodiversité, génétique, symbiose
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Darwin, dessine-moi
les parasites
/ 11-05-2007
/ Canal-U - OAI Archive
COMBES Claude
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En 2009, il y aura exactement 150 ans que Charles Darwin publiait le livre le plus influent de toute l'histoire de la biologie « On the Origin of Species by Means of Natural Selection or the Preservation of Favoured races in the Struggle for Life ». Un paradoxe maintes fois souligné est que l'ouvrage-phare de Darwin ne traite guère de la manière dont s'individualisent les espèces, comme le titre porterait à le croire, mais plutôt de l'adaptation, c'est à dire de la manière dont les êtres vivants occupent et exploitent leur environnement. D'autre part, les parasites sont quasi-absents de « L'Origine des Espèces ». Lorsqu'on feuillette les 604 pages de la plus récente édition française de poche, on ne rencontre le parasitisme que de la page 271 à la page 278. Encore n'est-il question que des coucous, puis des abeilles voleuses et des fourmis esclavagistes. Pas la moindre mention des bactéries, grégarines, coccidies, trématodes, cestodes, ni évidemment des champignons parasites. Bien sûr, l'explication est que les connaissances sur ces groupes étaient extrêmement réduites à l'époque de Darwin et que celui-ci ne pouvait disserter avec profit sur les adaptations à la vie parasitaire. Le parasitisme est universel. Si la vie a pris naissance il y a quelques 4 milliards d'années dans les environnements liquides de notre planète, elle n'a été capable de s'adapter à des environnements terrestres qu'il y a environ 420 millions d'années mais il est infiniment probable que, dès le début, des êtres vivants ont fait la conquête d'un troisième type d'environnement : le milieu vivant lui-même. Le succès du mode de vie parasitaire n'allait jamais se démentir pendant toute la durée de l'évolution car un hôte offre, à tout organisme qui sait l'exploiter, non seulement habitat et nourriture mais aussi un moyen efficace de dispersion. Maints travaux récents montrent que, dans les écosystèmes, chaque espèce a davantage de « natural enemies » parasites que de « natural enemies » prédateurs, quelle que soit sa position fonctionnelle dans la chaîne alimentaire.
Origine
CERIMES - SPI-EAO Canal-U Sciences de la Santé et du Sport
Générique
Auteur : Professeur Claude Combes (Perpignan) SCD médecine Mot(s) clés libre(s) : adaptation, adaptation graduelle, agression immunitaire, évasion immunitaire, évolution des espèces, exaptation, macromutation, Parasites, parasitisme, sélection naturelle
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