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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 23-03-2010
/ Canal-u.fr
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In "Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or", colloque international organisé par l'Équipe de recherche Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.
Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).
La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte.
La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), paternité littéraire
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La question des origines dans "Don Quichotte" / Michel Moner
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 23-03-2010
/ Canal-U - OAI Archive
MONER Michel
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La question des origines dans Don Quichotte. Michel MONER. In Dire, taire, masquer les origines dans la péninsule ibérique, du Moyen Age au Siècle d'Or, colloque international organisé par l'Équipe de recherche "Littérature Espagnole Médiévale et du Siècle d'Or" (LEMSO) du laboratoire France méridionale et Espagne : histoire des sociétés du moyen age à l'époque contemporaine (FRAMESPA) en collaboration avec le département d'études hispaniques et hispano-américaines. Toulouse : Université Toulouse II-Le Mirail (UTM), Médiathèque José Cabanis, 22-24 mars 2010.Thème 3 : Les textes et les codes, partie I (23 mars 2010).La question des origines se pose, dans Don Quichotte, depuis le prologue à la première partie, où l’on met en question la « paternité » de l’auteur, et les premiers chapitres où l’on développe un long excursus sur les « origines » du livre et l’identification de ses sources. Le propos de cette communication est d’étudier les variations du traitement de cette thématique qui affleure de manière récurrente, aussi bien dans la première, que dans la seconde partie de Don Quichotte.La cuestión de los orígenes se plantea, en El Quijote, desde el prólogo de la Primera parte, en la que se cuestiona la misma « paternidad » del autor, y los primeros capítulos donde se desarrolla un largo excursus acerca de los « principios » del libro y de la identificación de sus fuentes. El propósito de esta comunicación consiste en estudiar las variaciones del tratamiento de este tema que aflora de manera recurrente, tanto en la Primera como en la Segunda parte del Quijote. Mot(s) clés libre(s) : littérature espagnole (17e siècle), littératures (sources), Miguel de Cervantes (Don Quichotte), Miguel de Cervantes (Don Quijote de la Mancha), Miguel de Cervantes Saavedra (1547-1616), paternité littéraire
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Famille, droit et filiation
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 11-05-2000
/ Canal-U - OAI Archive
LABRUSSE Catherine
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Le droit civil ne définit pas la famille mais il détermine précisément la création, la destruction et les effets des liens qui unissent les membres d'une famille. La filiation est un des noyaux durs du droit de la famille. Élément essentiel de l'identité de tout individu, la filiation inscrit ce dernier dans une place généalogique au sein du réseau de relations, à géométrie variable, qu'institue le système de la parenté et de l'alliance. Ces liens, riches d'effets personnels et patrimoniaux et chargés de sens multiples, sont construits par le droit à partir de faits originaires naturels (et aujourd'hui technologiques) et ils rattachent la personne humaine à une double lignée maternelle et paternelle, articulant ainsi la différence des sexes comme celle des générations. Si le système peut obéir à des modèles variés, il répond aussi à des invariants que révèle et analyse l'anthropologie. Le principe de cette construction sociale, aussi vieille que l'humanité, se transforme sous des influences multiples qui tiennent autant à la diversité des sources normatives passées et présentes qu'aux évolutions sociologiques que traduisent les moeurs ou qui affectent les idéaux et les représentations de la famille et de ce qui la constitue, maternité, paternité, couple, ascendance, descendance, fratries, etc. Mot(s) clés libre(s) : adoption, clonage, concubinage, droit, famille, filiation, mariage, PACS, paternité, procréation artificielle
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Les illusions de la famille
/ UTLS - la suite
/ 06-01-2005
/ Canal-U - OAI Archive
IACUB Marcela
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L'histoire de la famille des dernières décennies se raconte comme celle d'une épopée ayant libéré femmes et enfants du joug du mariage napoléonien. Egalité entre les époux et entre les enfants, banalisation du concubinage, reconnaissance des couples homosexuels, explosion des familles recomposées et des nouvelles techniques médicales de procréation ; bref, tout un monde débarrassé des injustices et des rigueurs anciennes, permettant à chacun d'organiser son existence selon son désir et ses sentiments. C'est sur ce ton triomphant que l'on vient de fêter le bicentenaire du Code civil, sorte de carcan dans lequel on avait enfermé l'amour, la liberté et l'égalité. Pourtant, lorsqu'on examine ces transformations on s'aperçoit qu'elles sont moins évidentes qu'elles apparaissent sous les dehors de ces discours apologétiques. Les inégalités et les injustices loin de disparaître, n'ont fait que se déplacer. Aux écarts entre les enfants légitimes et naturels se sont substitués ceux qui séparent les enfants biologiques des adoptifs, aux contraintes posés par le mariage, celles qui posent les rigueurs infranchissables de la nature. Les inégalités entre les hommes et les femmes ont changé de contenu créant toujours les conditions pour que ce soient les dernières qui prennent en charge la reproduction au détriment de leur investissement dans les activités productives. Mot(s) clés libre(s) : famille, inégalités hommes-femmes, maternité, paternité, sexualité
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