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Le manioc en pays gbaya
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Ce
film consacré au manioc témoigne de la sagesse traditionnelle d’une
culture, les Gbaya de République Centrafricaine, qui utilise au mieux
les moyens de son milieu naturel, sans souci de productivité ni de
rentabilité, et dispose ainsi d’une variété d’aliments lui assurant une
nourriture abondante.
Les habitants de l’Afrique Centrale ont su s’approprier ce manioc si
souvent décrié et lui ont donné une place centrale dans leur
alimentation. Ils ont ce faisant innové en le traitant par rouissage et
en en consommant les feuilles, deux pratiques inconnues en Amérique,
son pays d’origine.
Le manioc combine ainsi plusieurs atouts : une culture simple, une
disponibilité sur toute l’année, une préparation rapide qui laisse du
temps aux femmes et une conservation facile. C’est un élément
glucidique très nourrissant constituant une excellente base de repas
s’il est accompagné d’un véritable plat d’accompagnement ce qui est le
cas en pays gbaya. A l’heure où l’on dénonce la faim dans le monde
qu’on se propose de résoudre par une assistance alimentaire, l’auteur
veut montrer qu’en Afrique Centrale, des cultures traditionnelles
entretiennent un rapport harmonieux avec leur environnement. De cette
manière, elles respectent la biodiversité qu’elles exploitent – pour
leur nourriture quotidienne – tout en la préservant.
Les images de ce film ont été tournées par Paulette Roulon-Doko entre
1980 et 1996 et constituent donc un document d’archives dont la
conservation n’a pas toujours été parfaite mais dont l’intérêt
ethnographique justifie leur utilisation. Mot(s) clés libre(s) : agriculture, République Centrafricaine
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La parole du soufflet de forge en pays Gbaya
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Au cœur de l’Afrique centrale, en
République Centrafricaine, vivent les Gbaya 'bodoe, qui sont des villageois
vivant, à 900 mètres d’altitude, dans une savane arborée où ils s’adonnent à la
chasse, à la cueillette et aussi aux cultures vivrières. Culture de tradition
orale, ils accordent une très grande importance à la parole dont le maniement
constitue un savoir très valorisé.
Dans cette culture, un certain nombre
de bruits, quelle qu’en soit l’origine, sont interprétés en terme de paroles.
Souvent, lorsqu’un bruit est traduit en parole, il y a dans l’onomatopée même
qui permet d’imiter ce bruit, un rythme qui fait croire à un énoncé. Il ne
s’agit pas là d’une interprétation individuelle. Il y a consensus sur
l’interprétation donnée. Ainsi les feux allumés pour les grandes chasse font
entendre gɛ̀lɛ̀m báà qui signifie
« promptement attrape [les herbes] » et est compris comme un
encouragement que s’envoient entre elles les flammes qui brûlent les herbes
sèches. Quant au bruit de la toux il est
toujours rendu par ʔám tɛ́ ʔɔ́ hɛ̰̀
qui signifie « je vais dormir ici ». Il
en va de même pour la simple reproduction des bruits sous forme d’onomatopées
dont la forme, parfaitement figée,
renvoie toujours à la même référence. Ainsi la musique du balafon ou la
sanza est exprimée par une suite de ʔílɛ́ŋ
ʔílɛ́ŋ et celle du tambour par gìɗɛ̰̀ gìɗɛ̰̀.
De même, le bruit des soufflets de forge qu’on peut entendre dans l’extrait
suivant est rendu par une suite rythmée de tìkpìrí
ou de tùkpùrú.
Dans ce conte pour décrire l’activité
de la forge, c’est la mention du bruit fort et régulier du soufflet tùkpùrú tùkpùrú qui est systématiquement utilisée. Mot(s) clés libre(s) : conte, forges, République Centrafricaine
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Cassava in the Gbaya Region
/ Paulette Roulon-Doko
/ Canal-u.fr
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Version anglaise du film "Le manioc en pays Gbaya" Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine
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Comment étudier une langue orale ?
/ Céline Ferlita
/ Canal-u.fr
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Comment éudier une langue qui n'a ni dictionnaire, ni grammaire, ni traces écrites ? Ce sont les défis que relèvent les linguistes de terrain. Ce 4ème épisodes nous expliquent leurs méthodes, leurs difficultés rencontrées mais pas seulement : les bonnes surprises sont aussi au rendez-vous.Avec : Paulette Roulon-Doko, ethno-linguiste au LLACAN (Langage, langues et cultures d'afrique noire), CNRS /INALCOIsabelle Bril, linguiste au LACITO (Laboratoire
de Langues & Civilisations à Tradition Orale) CNRS, université Paris 3, UNIVERSITE
PARIS-SORBONNE PARIS 4 Mot(s) clés libre(s) : République Centrafricaine, Nouvelle calédonie
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Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-U - OAI Archive
YABA MAMBOU Martin
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« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : anthropologie de la santé, Congo (République), guerre (aspect médical), personnel médical, politique sanitaire, services de santé
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Mobilité des populations en situation de guerre et structures de santé au Congo / Martin Yaba Mambou
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 16-09-2009
/ Canal-u.fr
YABA MAMBOU Martin
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« Mobilité des populations en situation de guerre et conséquences des conflits armés sur les infrastructures de santé, les recours thérapeutiques et la santé des populations : cas du Congo Brazzaville », Martin YABA (Union Pour l’étude et la Recherche sur la Population et le Développement (UERPOD, Congo Brazzaville). Colloque international "Santé et mobilités au Nord et au Sud : circulations des acteurs, évolutions des pratiques". Toulouse : 'Université de Toulouse II-Le Mirail, Institut d'Etudes Politiques (IEP), AMADES : 16-18 septembre 2009. [Intervention suivie d'un échange avec l'auditoire].Session A : Ajustements des systèmes, des politiques de santé et des pratiques de soins aux migrants malades et/ou vulnérables. Atelier A1 : Dynamiques des systèmes de santé face aux mobilités.La plupart des pays qui sortent des conflits armés sont confrontés à des nombreux défis, parmi lesquels, l’assistance humanitaire, la sécurisation, la consolidation de la paix, la reconstruction, la prise en charge médicale (en termes d'offre et de demande), la relance duprocessus du développement socio-économique, l’assistance aux groupes vulnérables et la prise en charge des populations victimes de guerre. Au Congo Brazzaville, alors que les guerres de 1993 et 1997 n’ont touché principalement que les quartiers de Brazzaville, celle de 1998-1999 s’est étendue dans les quatre régions sud-ouest du pays : Pool, Bouenza, Niari et Lékoumou. De plus, le Congo a été particulièrement meurtri par un conflit socio-politique à plusieurs rebondissements, d’abord en 1993, ensuite en 1997 et enfin en 1998/1999. Ce conflit socio-politique a non seulement généré des combats militaires, mais également conduit à la destruction du tissu socio-économiquenational. Ont été affectés, aussi bien les rapports communautaires et sociaux, que les services de bases (éducation et santé) avec pour conséquence la détérioration des conditions sociales et l’émergence des pathologies au sein des populations déjà meurtries par les effets de la crise socioéconomique que traversait le pays depuis la deuxième moitié des années 80.La présente communication s’appuie sur les résultats de l’étude sur le bilan social au Congo réalisée dans les quatre régions du 29 mars au 30 avril 2001. Cette étude porte sur l’Etude du bilan social au Congo réalisée par l’UERPOD à la demande du gouvernement, appuyée financièrement par la Banque Mondiale et l’Agence Française de Développement. L’objectif assigné à cette communication vise à « fournir une base d’informations sur la mobilité des populations en situation de conflits armés, d’évaluer les conséquences sociales des conflits armés sur la santé des populations. Cette communication doit permettre de : (i) décrire les infrastructures sanitaires ; (ii) les recours thérapeutiques utilisés par ces dernières ; (iii) les types de pathologies ; (ix) les causes de morbidité des populations victimes de conflits socio politiques, les attentes de ces dernières et les stratégies adaptées au contexte de conflits ».Combinant des techniques de la recherche documentaire (registres médicaux, fiches de soins), d’entretien semi-directif avec l’aide d’un questionnaire et de l’observation directe, l’étude s’est focalisée sur les structures de santé, les responsables ou gestionnaires desdites structures, les populations victimes de conflits armés, les femmes, les hommes adultes, des chefs de ménage et des chefs de quartier ou de village. Au total, vingt (20) localités reparties dans les quatre régions ont été couvertes. Le choix de ces localités a été fait de façon raisonnée en tenant compte des critères d’accessibilité géographique et de sécurité. Mot(s) clés libre(s) : politique sanitaire, services de santé, anthropologie de la santé, personnel médical, Congo (République), guerre (aspect médical)
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Des masques pour le président
/ 09-09-2015
/ Canal-u.fr
TAÏEB Jean Marc
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Amadou Toumani Touré dit ATT, président de la République du Mali venait inaugurer les voiries de la ville de Bandiagara. C’était l’occasion pour prés de 200 masques dogon de « sortir » accompagnés de nombreux chasseurs, tous venus des villages de la falaise de Bandiagara. Prétexte à une immense fête populaire. Mot(s) clés libre(s) : masque, voierie, président de la République, cloche, dogon, tambour, ethnomusicologie, bandiagara, Afrique, film ethnographique, inauguration, chant, Mali, cérémonie, vidéo, musique, danse, fête populaire
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Le jugement entre Gnongoro et Sofine
/ Arghyro PAOURI
/ 29-06-2007
/ Canal-u.fr
Roulon-Doko Paulette
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Il s'agit de la présentation d'un jugement
traditionnel chez les Gbaya 'bodoé, population d'Afrique Centrale. Suivant le
déroulement en temps réel du jugement, le film montre les spécificités du
traitement de la parole dans cette culture de l'oralité. Société sans hiérarchie,
on peut apprécier la libre circulation des paroles entre les femmes et les
hommes de tout âge. Le film souligne les points forts de l'argumentation des
intervenants rapprochant pour ce faire des temps de parole distants. L'argument
de la nourriture est celui qui caractérise ce jugement particulier tandis que
les arguments concernant la mère et l'enfant, le rapport aux ancêtres et la
sorcellerie sont régulièrement attestés dans tout jugement traditionnel. L'enregistrement
vidéo a été tourné en août 1992 au village de Ndongué (R.C.A.) par
l'ethnolinguiste Paulette Roulon-Doko, spécialiste de la langue et de la
culture gbaya.. Mot(s) clés libre(s) : rupture, République Centrafricaine, parole
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Une citoyenneté jurisprudentielle est-elle possible ?
/ ENS-LSH/SCAM
/ 15-11-2009
/ Canal-U - OAI Archive
RAULET Gérard
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Les discours du politique : Ecole thématique Violence, consensus, sécuritéGérard Raulet, qui s'appuie largement sur son ouvrage intitulé "Apologie de la citoyenneté",interroge ici la notion de citoyenneté et s'intéresse au modèle républicain français, confronté au défi de l'intégration, modèle qu'il oppose au communautarisme américain. Il aborde la question de l'articulation entre les droits de l'homme et les droits du citoyen, s'interroge sur le conflit entre une conception morale et juridique des droits de l'homme et se demande s'il peut y avoir une construction téléologique du droit à partir de faits de jurisprudence issus d'une citoyenneté éclatée. Equipe technique Directeur de la production: Christophe Porlier, Responsable des moyens techniques: Francis Ouedraogo, Réalisation : Service commun audiovisuel et multimédia Captation vidéo : Sebastien Boudin, Julien Lopez, Mathias Chassagneux, Son: Samuel Bazin, Montage-Encodage-Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : citoyenneté, république
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L'engagement portugais dans la Première Guerre mondiale vu de France / Viviane Ramond
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 07-11-2014
/ Canal-u.fr
RAMOND Viviane
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L'engagement portugais dans la Première Guerre mondiale vu de France / Viviane Ramond, in Journée d'études "Le Portugal dans la 1ère Guerre mondiale" organisée par la section de Portugais de l'UFR Langues, Littératures et Civilisations étrangères, par le CADIST Langues, littératures et civilisations de la Péninsule ibérique et par l'Institut de Recherche et d'Études Culturelles (IRIEC) de l'Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 7 novembre 2014.Après avoir expliqué les raisons et le contexte de la participation du Portugal à la Première Guerre mondiale aux côtés des
Alliés, Viviane Ramond se propose d’étudier les répercussions de l’engagement militaire
portugais dans la célèbre revue française, l’Illustration. Les premières références datent de mars 1916, mais c’est surtout au cours de 1917 que les Portugais sont distingués par leurs grands hommes politiques, ainsi que par le courage des troupes du contingent.
Une image positive se dégage des articles, ainsi qu’une profonde considération à l’égard de la jeune République portugaise pendant la guerre. Mot(s) clés libre(s) : Première Guerre Mondiale, Portugal (1914-1918), Portugal (Première République), Portugal dans la presse, gouvernement et politique (Portugal)
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