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Sign@l
/ Franck Guillemain
/ Canal-u.fr
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VO - Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture
/ Philippe KERGRAISSE, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 03-04-2015
/ Canal-u.fr
TURNER Fred, CARDON Dominique
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Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture
Conférence (version Originale) donnée par Fred TURNER (Stanford University)
et animée par
Monique Dagnaud, Dominique Cardon et Olivier Alexandre
Interprête : Laurent Vannini
Au début des années 1990, de nombreux experts ont vu dans la création du Web l’acte de naissance d’une communauté virtuelle. Les ordinateurs en réseau rendaient possible le dépassement des frontières physiques et ouvraient une ère de communion électronique. Cette utopie à portée de main trouve son origine dans la contre-culture nord-américaine. Dans cette conférence, Fred Turner remontera le fil reliant le Whole Earth Catalog, journal emblématique des communautés hippies, à Wired, magazine fanion des technologies numériques. Cette remontée dans le temps éclaire la généalogie d’un projet de société, né dans les entreprises de retour à la terre des années 1960 et systématisé à partir des années 1990 en une conception néolibertaire et technophile du social.
Fred Turner est professeur associé au département de Communication de l’Université de Stanford. Il fut également journaliste, enseignant à Harvard et au MIT. Il est notamment l’auteur de The Democratic Surround (2013), Aux sources de l'utopie numérique (C&F Editions, 2012) et Echoes of Combat (1996).
Conférence organisée avec le soutien de Terra Foundation for American Art et C&F Éditionshttp://cems.ehess.fr/index.php Mot(s) clés libre(s) : réseau, Web
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VF - Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture
/ Philippe KERGRAISSE, Laurent VANNINI, Direction de l'Image et de l'Audiovisuel de l'EHESS
/ 03-04-2015
/ Canal-u.fr
TURNER Fred, DAGNAUD Monique, ALEXANDRE Olivier, CARDON Dominique
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Aux sources de l’utopie numérique. De la contre-culture à la cyberculture
Conférence (version française) donnée par Fred TURNER (Stanford University)
et animée parMonique Dagnaud, Dominique Cardon et Olivier AlexandreInterprête : Laurent Vannini
Au début des années 1990, de nombreux experts ont vu dans la création du Web l’acte de naissance d’une communauté virtuelle. Les ordinateurs en réseau rendaient possible le dépassement des frontières physiques et ouvraient une ère de communion électronique. Cette utopie à portée de main trouve son origine dans la contre-culture nord-américaine. Dans cette conférence, Fred Turner remontera le fil reliant le Whole Earth Catalog, journal emblématique des communautés hippies, à Wired, magazine fanion des technologies numériques. Cette remontée dans le temps éclaire la généalogie d’un projet de société, né dans les entreprises de retour à la terre des années 1960 et systématisé à partir des années 1990 en une conception néolibertaire et technophile du social.
Fred Turner est professeur associé au département de Communication de l’Université de Stanford. Il fut également journaliste, enseignant à Harvard et au MIT. Il est notamment l’auteur de The Democratic Surround (2013), Aux sources de l'utopie numérique (C&F Editions, 2012) et Echoes of Combat (1996).
Conférence organisée avec le soutien de Terra Foundation for American Art et C&F Éditionshttp://cems.ehess.fr/index.php Mot(s) clés libre(s) : réseau, Web
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Mobilité, évanescence du texte du lecteur / Annie Rouxel
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
ROUXEL Annie
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Mobilité, évanescence du texte du lecteur / Annie Rouxel. Si, comme l’écrit Iser, « Le texte n’existe que par l’acte de constitution d’une conscience qui le reçoit », la transposition du texte dans la conscience du lecteur suscite, à des degrés divers, la créativité et l’imagination de ce dernier. Ce que produit la lecture, c’est un texte singulier et mobile créé par le lecteur à partir des signes sur la page. Objet imaginaire (Bayard), texte inventé, produit par le commentaire qui s’efforce de le capturer et de l’immobiliser (Clément), le texte du lecteur se laisse difficilement appréhender. Que peut-on saisir de ce qui est par essence mobile et fluctuant ? Comment décrire cette confluence dans la pensée, entre soi et le monde qui jaillit des signes ? L’actualisation d’un texte par un lecteur est construction d’un objet immatériel et éphémère qui se dérobe à l’observation et tend à se dissoudre avec le temps, ou à se métamorphoser en « synthèses », schèmes et cristallisations sémantiques qui seuls subsistent en mémoire.A partir d’expérimentations menées par des étudiants de master, on essaiera d’approcher « la texture » du texte du lecteur, d’une part, en s’efforçant de capter sa formation dans ce qu’elle a de plus immédiat, d’autre part en confrontant, sinon les métamorphoses, du moins les variations entre les textes d’un même lecteur, appréhendés dans le temps. Dans les deux situations, l’attention «flottante » (Bellemin-Noël) des sujets lecteurs, l’écoute de soi lisant est sollicitée.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), littérature (appréciation), livres et lecture, réception des oeuvres
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Joueur-lecteur et autoconstruction du sens dans un environnement vidéoludique / Toviraaj Ramcharit
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
RAMCHARIT Toviraaj
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Le joueur/lecteur et l’autoconstruction du sens dans un environnement vidéoludique : le dirigisme comme constante / Toviraaj Ramcharit. Le dispositif « écranique » réfracte souvent les projecteurs loin du joueur, cet "acteur" devenu simple "spectateur" de la strate logicielle. En effet, pris entre le cognitif (i.e. ses émotions, sa subjectivité naturelle) -incarnée par la manette de jeu, les périphériques d’entrée et de contrôle et le volitif (i.e. une certaine objectivité)- l’implacable écran, l’homo ludens [1] voit sa lecture du jeu lui échapper. A ce titre, Émile Benveniste fut suffisamment lucide pour discerner le réel enjeu du « programme ». Quel que soit le jeu, activité ludique la plus banale ou le jeu vidéo « c’est le jeu qui détermine les joueurs, non l’inverse. Il crée ses acteurs, il leur confère place, rang, figure : il règle leur maintien, leur apparence physique, et les fait selon les cas morts ou vivants » [1]. D’une certaine manière, le jeu vidéo se définit avant tout par sa réception, par son principe de dévoilement, par sa reconnaissance, en d’autres mots, par l’affichage, par son portage à l’écran, par le déploiement final du dispositif producteur et véhicule de sens, de son et de lumière. L’écran et la navigation lectorielle, voilà les axes du dispositif. Nous éprouverons ainsi la structure dirigiste des modalités du jeu -ces mêmes modalités qui organisent, régissent et délimitent les actions ainsi que le plaisir tiré de l’expérience vidéoludique [2].[1] Benveniste, Émile, « Le jeu comme structure », in. Deucalion, n° 2, Paris, 1947, p. 162.[2] Cf. la définition proposée par Johan Huizinga dans Homo Ludens – Essai sur la fonction du jeu.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : interaction homme-ordinateur, jeux vidéo, réception des oeuvres
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Entre posture et imposture du lecteur : sur le fonctionnement symbolique / François Quet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
QUET François
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L’exemplification est l’un des symptômes de l’esthétique (Goodman, 1998) : appeler certaines propriétés de l’œuvre à fonctionner symboliquement, c’est inviter à extraire de la fable une thèse (Suleiman, 1983), des valeurs (Jouve, 2001 ; Dufays, 2004). La sélection des signes qui permet la lecture allégorique renvoie à une expertise et à un libre arbitre qui s’exercent de façon contradictoire au sein des communautés interprétatives (Fish, 2007). François Quet essaie de définir ici quelques enjeux de la situation didactique : - Quels partages entre discours d’experts et discours d’amateurs ? si la « pluralisation des signifiés » (Starobinski, 1970) appartient de fait à la doxa didactique, de fait qu’en est-il du statut, ou de la légitimité, des textes et des lectures dans l’enseignement ?- Qu’est-ce qui est enseignable du fonctionnement symbolique ? Puisque c’est ici que s’origine le discours interprétatif, comment faire la part du savoir, de la technique, ou du positionnement institutionnel et discursif ? - Quelle est la place enfin de la production « symbolique » dans le tissage évaluatif (Dufays, 2000) que chacun instaure au cours de la lecture ?Intervention de François Quet faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : littérature (didactique), livres et lecture, réception des oeuvres, situation pédagogique
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L'apprenti lecteur et ses autres / Agnès Perrin
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 20-06-2014
/ Canal-u.fr
PERRIN Agnès
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L'apprenti lecteur et ses autres / Agnès Perrin, in journée d'études "Le lecteurs et ses autres (2)" organisée, sous la responsabilité scientifique de Marie-Josée Fourtanier, par le laboratoire "Lettres, Langages et Arts : Création, Recherche, Émergence,
en Arts, Textes, Images, Spectacles" (LLA CREATIS) en collaboration avec l'Équipe de Recherche sur les Rationalités Philosophiques et les Savoirs (ERRAPHIS), Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 20 juin 2014. En s'appuyant, d'une part, sur les travaux en didactique (notamment le modèle de représentation du lecteur de Michel Picard et les formes modélisantes de l'activité fictionnalisante de Gérard Langlade et Nathalie Lacelle) et, d'autre part, sur des données d'observations en milieu scolaire, Agnès Perrin interroge la "fabrique" du jeune apprenti lecteur qui, selon elle, passe par les tous premiers apprentissages, par l'activité fantasmatique via la voix de l'adulte lisant. Elle cherche à démontrer comment se manifestent les autres de cet apprenti lecteur et comment la lecture littéraire peut précéder l'acquisition de l'autonomie de ce lecteur, voire la développer. Mot(s) clés libre(s) : lecture (subjectivité), lecture (apprentissage), enfant (livres et lectures), lecture et imagination
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Le sujet lecteur et scripteur : en quête d'identité / Sébastien Ouellet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
OUELLET Sébastien
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Le sujet lecteur et scripteur : en quête d'identité / Sébastien Ouellet. Les recherches ont montré que l’enseignement de la littérature ne considère qu’accessoirement les dimensions subjectives que pourraient mobiliser la lecture et l’écriture (Delacomptée, 2004; Fourtanier et Langlade 2000; Langlade, 2004a). En classe, les pratiques consacrées sont généralement objectivantes, en ce sens qu’elles visent surtout à mettre l’accent sur l’analyse des textes lus et sur la forme des textes à produire (Ouellet, 2005). Ainsi, la présentation porte sur des données recueillies dans le cadre d’une recherche au doctorat en France (lycée) et au Québec (cégep). De type recherche-développement, la démarche vise à concevoir un projet d’enseignement-apprentissage qui s’appuie sur les dimensions subjectives du sujet lecteur et scripteur . Un premier objectif consiste donc à cerner son identité et les réalisations effectives selon lesquelles il actualise le texte littéraire. Ensuite, la connaissance du sujet en tant que lecteur et scripteur met en évidence l’aspect personnel de son activité (Langlade, 2004b). Ici, les deux dimensions du langage humain, la compréhension et l’expression, sont intégrées par le sujet apprenant ; elles sont intimement liées dans ses représentations et dans son identité d’élève. Enfin, le profil du sujet réel fait apparaître de nombreux indices : son besoin d’apprendre dans l’activité, son désir de s’approprier la littérature contemporaine de même que son recours à l’image pour donner un sens à ce qu’il construit.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'équipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : compréhension du texte, lecture (apprentissage), lecture (pédagogie), lecture (subjectivité), lecture littéraire, livres et lecture
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Enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : l'élève lecteur / Mechior Ntahonkirye
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-10-2008
/ Canal-U - OAI Archive
NTAHONKIRIYE Melchior
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L’enseignement de la littérature au secondaire au Burundi : quelle place pour l’élève lecteur ? / Mechior Ntahonkirye. Nourris d’un imaginaire collectif plutôt raconté que graphisé, les enseignants et les élèves burundais de l’enseignement secondaire confrontés à la littérature écrite y voient davantage un apprentissage neutre, objectif et détaché plutôt qu’un espace de projection fictionnelle personnelle et intime. Dans un tel contexte, l’œuvre littéraire ne donne pas suffisamment lieu à ce que Langlade et Fourtanier (2007) appellent « l’activité fictionnalisante » du lecteur, mais à une exploration de nature référentielle de l’univers décrit par la fiction.Cette hypothèse est confortée par le fait que la tradition scolaire qui débute avec la colonisation du pays au 20ème siècle, les programmes de littérature ainsi que les méthodes d’enseignement ont toujours considéré le français comme une discipline comme les autres, la littérature apparaissant comme un simple support de l’apprentissage des formes de la langue. Chez l’élève, ce n’est pas l’univers fictionnel suscité par l’œuvre littéraire qui est sollicité, mais sa capacité à explorer passivement l’histoire racontée et à s’approprier, au meilleur des cas, les subtilités formelles induites par l’œuvre.Intervention faite dans le cadre du colloque international "Le texte du lecteur" organisé par l'equipe de recherche "Lettres, Langages et Arts (LLA). Université de Toulouse-Le Mirail, 22-24 octobre 2008. > > Une liste de références documentaires est accessible (format pdf) dans l'onglet "A télécharger" du programme d'ouverture du colloque. > Accéder au site dédié au colloque. Mot(s) clés libre(s) : écriture (méthode d'apprentissage), enseignement de la littérature (Burundi), français (langue), lecture (didactique), lecture (subjectivité)
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Que faire de nos traces numériques ?
/ 12-10-2015
/ Canal-u.fr
MERZEAU Louise
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En quelques années, le numérique a évolué dans le sens d’une personnalisation des interfaces et des contenus : chacun, aujourd’hui, peut prétendre à une information sur mesure. La contrepartie est un traçage systématique des préférences et des comportements des utilisateurs sur les réseaux. Traduite en traces, l’identité relève alors de plus en plus du calcul et de la documentation. Livrée aux algorithmes, la personne fait l’objet de traitements et de transactions.
Cette évolution pose la question de la dépossession et de la réappropriation de sa « présence numérique ». En termes de contrôle ou de protection bien sûr, mais aussi d’exercice individuel et collectif d’une liberté, d’une mémoire et d’une sociabilité. Car notre environnement numérique doit d’abord se penser comme un espace à habiter, à construire et à partager. Mot(s) clés libre(s) : protection, contrôle, liberté, identité, traces numériques, information, traçage, présence numérique, mémoire
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