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A conversation with A. S. Byatt
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette conversation avec A.
S. Byatt fut enregistrée au début de la conférence organisée par
ERIBIA les 26 et 27 mars 2015 à l'université de Caen autour de
l'œuvre de la romancière et à laquelle elle nous fit l'honneur de
participer. L'événement était dédié à la mémoire de Jean-Louis
Chevalier, premier traducteur français d'A. S. Byatt et professeur
de littérature anglophone à l'université de Caen. La conférence fut
organisée à l'occasion du 25ème anniversaire de la parution de
Possession, A Romance et les questions posées par Armelle
Parey (Université de Caen) portent donc essentiellement sur ce roman
qui reçut les prestigieux Irish Times/Aer Lingus International
Fiction Prize et Booker Prize en 1990. Au cours de la conversation,
qui inclut la lecture du post-script de Possession, la
romancière revient sur la réception initiale du roman, évoque sa
passion pour les mots, sa curiosité narrative et sa vie de lectrice.
This conversation with A.
S. Byatt was recorded at the onset of a conference organized by the
research team ERIBIA and devoted to the novelist at the Université
de Caen on March 26th and 27th, 2015. The
event was dedicated to the memory of Jean-Louis Chevalier, A. S.
Byatt's first French translator and Professor in English Literature
at the University of Caen.
Because the
conference was organized on the occasion of the 25th
anniversary of the publication of Possession,
A Romance, the questions devised by
Armelle Parey (Université de Caen) all focus on this novel for
which Byatt received the Irish Times/Aer Lingus International
Fiction Prize and the Booker Prize in 1990. The
novelist thus returns to the initial reception of Possession,
particularly in the USA. She notably evokes her love for words, her
narrative curiosity and her reading life. Following her reading of
the last section of Possession,
she answers questions on the
postscript. Mot(s) clés libre(s) : Ecrivains, Littérature
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
WHITWORTH Charles
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Mot(s) clés libre(s) : allégorie (littérature), Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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Ecopoetry and/as the 'ecological work' of language / Thomas Pughe
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Jean JIMENEZ, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 27-03-2015
/ Canal-u.fr
PUGHE Thomas
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Ecopoetry and/as the 'ecological work' of language / Thomas Pughe, in Journée d'études "Espaces sanctuarisés aux États-Unis - Visions of American Sanctuaries", organisée, sous la responsabilité d'Aurélie Guillain, par le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS, axe "Poéthiques") de l'Université Toulouse Jean Jaurès, 27 mars 2015.
* Illustration : "Jupiter terraces" (Mammoth Hot springs-Yellowstone), peinture de Thomas
Moran, 1893.
Cette
journée d'études se propose d'étudier les zones qui ont pu être désignées comme
des “espaces sanctuarisés” aux Etats-Unis, soit parce qu'elles ont fait l'objet
de certaines mesures de protection les soustrayant à la logique de la propriété
privée et de la libre exploitation des ressources naturelles (dans le cas des
parcs nationaux par exemple), soit parce qu'elles ont été considérées par des
écrivains nord-américains comme le lieu privilégié où peuvent s'exprimer des
valeurs religieuses ou spiritualistes. Le terme “sanctuarisé” connote ici une vision
sinon religieuse, du moins sacralisante, d'un espace où se manifeste une
hétérogénéité fondamentale : d'une part, l'espace profane, de l'autre, l'espace
sacré que des interdits spécifiques viennent protéger de l'espace profane et de
ses logiques propres.
Dans
la deuxième moitié du dix-neuvième siècle, l'expansion territoriale des
Etats-Unis s'est accompagnée de la création de parcs nationaux qui permettaient
d'empêcher la surexploitation des ressources naturelles du continent, mais
aussi de préserver la possibilité même, pour les citoyens des Etats-Unis, d'être
exposés à un environnement naturel perçu comme un espace peu modifié par l'être
humain – et ainsi de préserver une “relation originelle” avec le monde. Pour
certaines figures fondatrices telles que John Muir, la référence consciente à
la vision émersonienne de la “Surâme” se mêle à une version personnelle du
mysticisme chrétien et de la fonction sacramentelle de la rencontre avec la Nature.
Muir s'inspire également de l'exemple de Thoreau, qui prône non seulement la
création d'espaces protégés de la convoitise privée, mais aussi une certaine
attitude éthique et scripturaire devant le lieu naturel habité. Lorsque les écrivains nord-américains
contemporains décrivent tel lieu sous les espèces d'un espace sanctuarisé, il
n'est pas rare de percevoir des échos intertextuels avec les textes de Thoreau,
et le désir d'inscrire dans le langage l'expérience du numineux.
Cependant,
des débats récents ont mis en avant les diverses limites qui peuvent être
associées aux notions connexes d'“espace sanctuarisé”, de nature sauvage et de
“wilderness”. Certains auteurs ont suggéré que le terme de sanctuaire connotait
une vision européanocentrique des lieux qui tendrait à compartimenter l'espace
aussi bien que l'expérience (Hultkrantz, Hugues & Swan). Dans d'autres
débats récents, qui portent sur les stratégies de protection de la
biodiversité, la notion même d'espace sanctuarisé a pu être critiquée en faveur
d'une conception plus intégrée de la protection des espèces. Mais, avant tout,
c'est l'espace sauvage monumentalisé des parcs nationaux américains qui a pu
faire l'objet de critiques (Cronon) et même de traitements satiriques, dans la mesure
où l'image fabriquée d'une nature intacte peut revêtir une fonction rassurante
et anesthésiante dans le débat écologique et détourner l'attention des
géographies locales au profit de l'image mythifiée d'un paysage national
(Lopez).
L'objectif
de cette journée d'études est donc double : se pencher sur la manière
singulière dont l'expérience du numineux peut continuer de s'inscrire dans les
textes des écrivains nordaméricains, mais proposer également de faire le
point sur les réflexions philosophiques, historiques et géographiques qui
problématisent la notion même d'espace sauvage sacralisé. Mot(s) clés libre(s) : paysage dans la littérature, écocritique, nature (esthétique), nature (dans la poésie)
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Temps et Intériorité dans Mrs Dalloway de Virginia Woolf (par Xavier Le Brun)
/ Pascal CECCALDI, Lycée d’Etat Jean Zay - Internat de Paris
/ 10-02-2014
/ Canal-u.fr
LE BRUN Xavier
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En quel sens le temps est-il vécu dans Mrs Dalloway ? Quel est ce rapport qui se joue, dans le roman de Virginia Woolf, entre temps extérieur et individualité des consciences ? L'écriture de Woolf ne met pas tant en scène la réception passive et l'interprétation par chaque personnage d'un temps objectif qu'elle ne dessine les contours d'une annexion de l'extérieur. Autrement dit la représentation woolfienne du temps vécu semble être celle d'un empiètement progressif de l'intériorité et de l'intime des pensées sur le monde social et sa durée propre.Xavier Le Brun Mot(s) clés libre(s) : littérature anglaise, temps et espace (dans la littérature), analyse du discours littéraire, Virginia Woolf, Temps vécu, Mrs Dalloway
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LAWTON Lesley
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise (histoire et critique), mort (au théâtre), Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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2. Le Paradoxe du spectaculaire ou spectaculaire en (tant que) paradoxe / André Lascombes
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
LASCOMBES André
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"La Théâtralité de Everyman". Journée d'étude organisée par Wendy Harding et Lesley Lawton du Laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS) de l'Université de Toulouse II-Le Mirail en collaboration avec le Musée des Augustins. Toulouse, 9 janvier 2009.André Lascombes explore les ambiguïtés de la dimension spectaculaire de l’œuvre : il montre le paradoxe de cette pièce de théâtre qui refuse d’exploiter pleinement cette dimension spectaculaire. Mot(s) clés libre(s) : Everyman (étude littéraire), littérature anglaise, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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« Je le souhaite plutôt que je ne l’espère ». L’Utopie de Thomas More
/ 09-12-2015
/ Canal-u.fr
HERSANT Yves
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Yves Hersant, historien des arts et de la littérature à la Renaissance, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales
L’Utopie, ou Traité de la meilleure forme de gouvernement, est l’un des textes les plus énigmatiques et les plus audacieux de la Renaissance. Son auteur, l’éminent humaniste et homme politique Thomas More (décapité en 1535, canonisé quatre cents ans plus tard), se livre d’une part à une féroce dénonciation des mœurs du temps — intolérance religieuse, guerres, ambitions princières, injustices sociales...—, d’autre part à la minutieuse description d’un monde idéalisé, où la propriété privée serait inconnue et la prospérité générale. L’Île de Nulle Part qu’est étymologiquement l’ U-topie est aussi une Eu-topie, c’est-à-dire une Île du Bonheur : le voyage fictif s’effectue du réel au virtuel et semble appeler le mouvement inverse. Mais les ambiguïtés du texte, et notamment la dernière phrase, révèlent les complexités de ce « monde virtuel », premier d’une longue série d’utopies aussi aliénantes qu’émancipatrices.
Retrouvez l'ensemble des Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : utopie, Thomas More
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
HARDING Wendy
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), sacrements (au théâtre), théâtre anglais (Moyen Age)
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Mary Seacole : à qui profite le mythe ? / Shirley Doulière
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 15-10-2014
/ Canal-u.fr
DOULIÈRE Shirley
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Mary Seacole : à qui profite le mythe ? / Shirley Doulière, in colloque "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisé par le Pôle Sud-Ouest de l'Institut des Amériques, l'Institut de recherche et études culturelles (IRIEC), l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) et le laboratoire Cultures Anglo-Saxonnes (CAS), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 15-18 octobre 2014. Thématique 4 : Récits identitaires.Mary Seacole est jamaïcaine, fille d'une aubergiste créole et d'un officier écossais. Elle est l'auteur de "Wonderfull adventures of Mrs Seacole in Many Lands", publié en 1857, autobiographie dans laquelle elle relate son expérience d'aubergiste et d'infirmière auprès des officiers de la guerre de Crimée. En 2012, Michael Gove [journaliste britannique, secrétaire d'État à l'Éducation de 2010 à 2014] crée la polémique en proposant de retirer Mary Cole du programme scolaire d'histoire, arguant qu'elle n'y mérite pas sa place en tant qu'infirmière en Crimée. Non seulement il estime que Seacole a eu une participation infime à la guerre mais aussi et surtout, il jette le doute sur la véracité de ses propos. Cette communication explore les zones d'ombre et paradoxes du récit de Mary Seacole à travers, notamment, une comparaison entre des lettres d'officiers et le récit que Mary Seacole fait de ces mêmes relations. On notera ainsi un écart entre son identification comme « étrangère » de la part des officiers et son autoportrait en tant qu'écossaise à la peau légèrement foncée, voire en tant que « mère des soldats ». En un mot, une opposition entre une vision externe qui la définit comme une "autre" et une vision interne qui la montre en fusion identitaire vis-à-vis de groupe social qui, dans les faits, l'exclue. A travers son activité hôtelière elle a mis son savoir médical au service de riches officiers britanniques et n'a eu de cesse de se faire une place dans la haute société britannique blanche. On peut donc avoir des doutes quant à sa décision d'aller en Crimée : était-ce pour aider son pays ou pour saisir une opportunité mercatique ? Elle a aussi posé portant des médailles militaires alors qu'aucune ne lui avait été délivrée. Simple coquetterie ou imposture ? Mais surtout, dans quel but ? Mot(s) clés libre(s) : littérature anglaise (histoire et critique), Mary J. Grant Seacole (1805-1881)
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/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 09-01-2009
/ Canal-U - OAI Archive
DEBAX Jean-Paul
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Mot(s) clés libre(s) : Everyman (analyse littéraire), littérature anglaise-histoire et critique, moralités anglaises, Pieter van Diest (Elckerlijc), théâtre anglais (Moyen Age)
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