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Mégafaune marine de l’océan Indien
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Richard TOPCZYNSKI
/ Canal-u.fr
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- Etude - Protection - Valorisation -La mégafaune marine regroupe des espèces telles que les mammifères marins, les tortues et les oiseaux marins. Composantes spectaculaires de la biodiversité de l’océan Indien tropical, ces espèces sont cependant menacées.Face à ce constat des scientifiques de La Réunion ont décidé de collaborer avec des partenaires de la région sur l’étude, la conservation et la valeur socio-économique de la mégafaune marine tropicale.Prospections scientifiques, actions de formation et de sensibilisation, se succèdent en différents lieux de la zone : des îles Nosy Ve et Sainte-Marie à Madagascar, en passant par Mohéli aux Comores et à La Réunion.
En mutualisant les données recueillies par les différents partenaires le « programme mégafaune » aura permis de déterminer, dans l’océan Indien, les hots spots de migration indispensables à la survie et la reproduction de ces animaux emblématiques. Ces résultats, croisés aux pressions environnementales liées aux activités humaines, permettront de mieux les protéger. Mot(s) clés libre(s) : biologie marine, baleine à bosse, Mohéli, Nosy Ve, puffin, tortue marine, paille-en-queue, baleine, biodiversité des espèces, île de La Réunion, migration, espèces menacées, whale watching
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Aires marines protégées
/ Serge MONTAGNAN, Emmanuel PONS, Thierry PORTAFAIX, Jean-François FEVRIER
/ Canal-u.fr
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Ce documentaire nous emmène dans un voyage au long cours
vers les îles de l’Océan Indien occidental. Il met en lumière la mise en place
et le fonctionnement d’Aires Marines Protégées, un concept initié par la
COI depuis 2006.
De l’île Maurice à La Réunion, en passant par Madagascar,
les Comores ou encore les Seychelles, découvrez comment les populations locales
tentent de poursuivre leurs activités tout en préservant ces écosystèmes marins
menacés.Ce travail d’encadrement, d’éducation et de responsabilisation
auprès des acteurs et usagers de ces AMP devra perdurer pour fiabiliser la
ressource et permettre de s’engager sur la voie d’un développement durable.
C’est là l’enjeu du projet conduit par le World Wide Fund
(WWF), mandaté par la COI en collaboration avec les différents organismes des
pays de la zone. Mot(s) clés libre(s) : protection de l'environnement, COI, les Seychelles, les Comores, World Wide Fund, Madagascar, île de La Réunion, île Maurice, développement durable, conservation, aire marine protégée
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La huerta méditerranéenne, un modèle d'agriculture périurbaine ?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette communication a été enregistrée dans le cadre d'un colloque international organisé à l'université d'Oum El Bouaghi (Algérie) par le laboratoire Ressources Naturelles et Aménagement des Milieux
Sensibles, en collaboration avec l’INRA Écodéveloppement (Avignon,
France) les 15 et 16 avril 2015, colloque intitulé l’agriculture périurbaine, aux impacts du fait urbain, stratégies et jeux d’acteurs.Robert Hérin, géographe, est enseignant émérite de l'université de Caen-Basse-Normandie. Il fut notamment à l'initiative de la Maison de la Recherche en Sciences Humaines (Université de Caen), dont il assura le premier la direction, de 1995 à 2001.Résumé de la communicationÀ l’image de celle de Valencia plus au nord, ou des autres plaines méditerranéennes d’irrigation séculaire, voire millénaire, d’agriculture intensive enviée par les habitants des terres d’agriculture sèche ou des sierras inhospitalières, la huerta de Murcia est de plus en plus intégrée par la ville et dans la ville, avec laquelle elle a toujours été en symbiose forte. De voisinage agricole et rural elle est devenue banlieue en voie d’urbanisation plus ou moins avancée, jusqu’à sa disparition dans les secteurs les plus soumis aux pressions urbaines de tous types.Les problèmes qu’elle pose aujourd’hui ne relèvent plus que très secondairement de l’agriculture, souvent réduite à un complément secondaire de revenu, quand ce n’est pas à un rôle de loisirs en fin de journée de travail en ville. Désormais confrontée à des problèmes d'urbanisme, d'environnement et de préservation patrimoniale, n'est-ce pas la confirmation que la huerta appartient aujourd'hui à l'histoire ? Mot(s) clés libre(s) : agriculture, paysage, mutations, aménagement
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Au bord du Brahmapoutre
/ Emilie Crémin
/ Canal-u.fr
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Dans le nord-est de l’Inde, dès que commencent les averses
de la mousson, de mai à octobre, le Brahmapoutre s'engorge d'eau et déborde
dans sa plaine. Les crues rythment depuis toujours la vie des habitants du
fleuve, parmi eux les Mising, une tribu originaire des vallées Himalayennes.
Mais les habitants de la plaine connurent d’importants
changements à partir de 1950 : un séisme majeur bouleversa l'équilibre des
versants himalayens, le gouvernement étendit les digues derrière lesquelles,
les communautés devaient se sédentariser. Alors, quels sont les effets des
politiques publiques (aménagements fluviaux et cadre foncier) sur l'adaptation
des Mising aux aléas hydrologiques ?
Mot(s) clés libre(s) : inondation, Inde, fleuve, Adaptation des populations
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L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 03-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VELTZ Pierre
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Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales. Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, mondialisation, pôles de développement, relations économiques internationales
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Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-02-2004
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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Caféicultures. Venezuela. Le café malgré le pétrole / Jean-Christian Tulet
/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-12-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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La caféiculture du Venezuela est l'une des plus vieilles de l'Amérique du Sud. Elle a été aussi l'une des plus importantes, ce pays ayant été le deuxième producteur mondial à la fin du XIXème siècle. Depuis cette période, se sont construits une société et un paysage dont les caractéristiques se repèrent encore actuellement : terroirs caféicoles bien identifiés, haciendas aujourd'hui abandonnées, parfois transformées en musées, vieux villages caféicoles, traditions de consommation beaucoup plus élaborées qu'ailleurs. En privilégiant les activités et la consommation urbaine, le pétrole a ruiné la caféiculture comme bien d'autres activités agricoles. Dès lors, la plupart des plantations n'ont fait que végéter. Toutefois, depuis une dizaine d'années, une renaissance se manifeste avec le développement de plus en plus rapide de plantations nouvelles en variétés à haut rendement. Le Venezuela juxtapose ainsi, parfois dans un même terroir, des formes de production très anciennes et des plantations très technicisées. Il apparaît aujourd'hui à la fois comme un conservatoire et comme un champ d'expérimentation de techniques nouvelles.[Version française : commentaire en français, entretiens en espagnol sous-titrés en français]. Mot(s) clés libre(s) : caféiculture (Amérique latine), production agricole, caféiculture (aspect économique), Venezuela
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Caféicultures. Colombie, la fédération nationale des caféiculteurs : un empire menacé / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-02-2004
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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C'est au XXe siècle seulement que la Colombie a rejoint les grands pays producteurs de café. Cette montée en puissance provient de la mise en place d'un très important front de colonisation intérieure, principalement à partir de la région de Medellin, qui occupe progressivement les vastes et nombreux versants montagnards situés plus au sud. Fondamentalement animée par de petits producteurs, cette colonisation à créé une identité nouvelle qui perdure encore très fortement aujourd'hui, celle du "païsa", le petit caféiculteur indépendant. L'autre élément favorable au développement et à la permanence de cette puissante caféiculture tient sans nul doute à l'existence de la Fédération Nationale des Caféiculteurs Colombiens (Federación Nacional de Cafeteros de Colombia).Le fonctionnement de cet organisme privé à fonctions publiques, né en 1927, a souvent été critiqué mais son existence et ses fonctions n'ont jamais été véritablement été discutées. La Fédération conserve un rôle majeur dans l'économie colombienne. Elle contrôle toujours l'essentiel de la filière nationale et assure la promotion des régions productrices. Toutefois la grave crise actuelle [la baisse des cours du café entre 1990 et 2004] remet en cause une partie des garanties qu'elle apportait aux caféiculteurs, alors que l'importance de celles-ci lui conférait une originalité certaine dans le monde des organisations nationales de producteurs. Face à la diminution de leurs revenus tirés de la production de café, les petits producteurs ont accru et diversifié la culture vivrière (banane, manioc, haricots, guanabana, etc).[Documentaire en version française avec entretiens en espagnol sous-titrés en français.]- Visionner aussi : "La caféiculture en Amérique Latine" (entretien filmé avec Jean-Christian Tulet, diffusé sur Canal-Géo). Mot(s) clés libre(s) : caféiculteurs (Colombie), caféiculture (aspect économique), colonisation intérieure (Colombie), commercialisation (produits agricoles), politique agricole (Colombie)
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/ Jean JIMENEZ, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 08-10-2009
/ Canal-U - OAI Archive
STAGNO Anna-Maria, MOLINARI Chiara
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Mot(s) clés libre(s) : archéobotanique, géographie historique, géographie rurale, Italie (nord-ouest), paléoenvironnement, paléogéographie
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La géographie
/ UTLS - la suite, Mission 2000 en France
/ 06-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
RONCAYOLO Marcel
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Le paradigme de la géographie paraît évoluer entre deux termes depuis l'institutionnalisation de la discipline, à la fin du XIXè siècle. Enracinée dans la tradition, confortée par l'éclat des théories biologiques, la géographie privilégie, avec nuance et refus d'un déterminisme mécanique, la nature comme fixant les conditions de l'activité humaine. A la suite non d'une rupture mais d'un débat complexe, les espaces sont plutôt considérés comme des constructions humaines, sociales, même si on doit tenir compte des mécanismes individuels. Toute une série de changements se dessinent, se chevauchant les uns les autres : par exemple, les paysages agraires sont rapportés d'abord au milieu naturel, puis aux traditions ethniques, enfin à une évolution historique de plus en plus précise qui conduit de l'économie domaniale à l'individualisme agraire. En même temps que la géographie devient historicité, elle fait une place aux rythmes sociaux, aux mouvements, au temps. La géographie se place ainsi comme instance de réflexion par rapport aux changements techniques qui peuvent la dissoudre, mondialisation, individualisme et surtout, plus humblement, distance et temps, proche et lointain, vieilles contraintes rassurantes. Elle s'interroge sur ce que devient la territorialité, quand la mobilité des hommes et celle de l'information se conjuguent, vers les processus de construction des espaces (mémoire et projet) et sur l'ampleur des risques dans une société vulnérable, y compris dans son environnement naturel. Mot(s) clés libre(s) : géographie (histoire), géographie (philosophie), territoire
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