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Les palenqueros de Tabacal de la région de Carthagène des Indes au XVIIe siècle : une représentation de leur liberté / Hélène Vignaux
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
VIGNAUX Hélène
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Les palenqueros de Tabacal de la région de Carthagène des Indes au XVIIe siècle : une représentation de leur liberté / Hélène Vignaux. In journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations", organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail, 8 février 2013.Cette communication se propose de centrer l'attention sur le palenque de Tabacal (Montes de María, province de Cartagena, Colombie), fondé par Domingo de Padilla, afin de mettre en relief son organisation et les stratégies d'adaptation et de résistance des Noirs marrons (cimarrones) pour défendre leur liberté ainsi que la flagrante illégalité de certaines pratiques de pouvoir si fréquentes dans l'Amérique espagnole du XVIIe siècle. Les palenques, souvent fortifiés, hiérarchiquement structurés, étaient parvenus à tisser des relations d'échanges avec les fermes alentours où ils obtenaient des vivres, et parfois des armes, de façon à assurer leur autosuffisance tout en représentant une menace pour la autorités espagnoles.Craignant qu'un soulèvement ne se propage dans les propriétés terriennes ou dans la ville de Cartagène, les autorités, malgré les lois des Indes, une politique restrictive de contrôle des populations noires et malgré une cédule royale du 23 août 1691, qui rendait libres les noirs fugitifs des Monts de Maria, le palenque de Tabacal fut définitement décimé en mai 1693 sur ordre du gouverneur. Comme l'avait été précédement d'autres palenques, dont celui de Límon, en 1634. Mot(s) clés libre(s) : discrimination raciale, Colombie (17e siècle), Noirs esclaves, Noirs marrons, colonies espagnoles, Colombie (Nord), révoltes d'esclaves
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 01-01-1998
/ Canal-U - OAI Archive
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues... Aujourd'hui ces pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière, cependant, certains se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, mémoire collective, Pigüé (Argentine)
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Les émigrés de la pampa / Jean-Christian Tulet
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Bruno BASTARD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 01-01-1998
/ Canal-u.fr
TULET Jean-Christian
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En 1884, une quarantaine de familles aveyronnaises ont tout laissé derrière elles pour suivre François Issaly jusqu'à Pigüé, territoire encore non peuplé de la pampa argentine. A travers la ville, de nombreuses traces témoignent encore de la fondation de cette nouvelle communauté. Outre les monuments commémoratifs des précurseurs, on remarque les traces d'une culture quotidienne qui s'est implantée avec les hommes, l'architecture, le nom des rues...
Aujourd'hui, les pionniers de la communauté de Pigüé reposent au cimetière. Cependant, d'autres se souviennent. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, aveyronnais (migrations), français (Argentine), François Issaly (1852-1934), lieux de mémoire, Pigüé (Argentine)
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Déforestation et nouveaux systèmes de production au Guatemala, analyse par télédétection
/ Yves LACOSTE, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 20-03-2008
/ Canal-U - OAI Archive
SELLERON Gilles, VIDAL Franck
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La région du Petén au Guatemala était occupée par la civilisation Maya jusqu’au Xe siècle de notre ère. Défrichant les forêts, installant un intense réseau de communication et d’implantations agricoles et urbaines, les mayas ont profondément transformé les paysages guatémaltèques. Puis, la forêt naturelle a repris ses droits jusqu’au milieu du XXe siècle où, depuis les années 1960 de nouvelles vagues de colonisation du Petén s’enfoncent dans les espaces naturels. A l’aide d’images de télédétection de 1987 à 2003 (photographies aériennes et images satellitaires) et de techniques d’analyses numériques il est possible de reconstituer les formes et les types de fronts pionniers qui annoncent, à moyen terme, la probable disparition complète de la forêt dans cette région d’Amérique Centrale. Mot(s) clés libre(s) : cartographie forestière, colonisation intérieure (Guatemala), déboisement (Petén ; Guatemala), évaluation du risque, observation (méthode scientifique), télédétection
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L'Amérique latine, éveil juridique d'un continent ? / Laure Ortiz
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2015
/ Canal-u.fr
ORTIZ Laure
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« L’Amérique latine connaît depuis trois décennies
des innovations juridiques assez remarquables pour faire des droits de l’homme,
notamment, le pivot de la régulation entre État et individus et donner une
consistance à cette notion qui inspire les nouvelles constitutions, la notion d’Etat
de droit démocratique et social, une espèce de modèle transformatif "aspirationnel"
(Santos de Sousa).
Dans quelle mesure les innovations juridiques
peuvent-elles faire avancer la cause d’une répartition plus équitable des
ressources et en quoi peuvent-elles contribuer à une innovation sociale ? ».
Pour Laure Ortiz, « la dynamique d’innovation
repose sur trois ressorts, la mise en place d’un système de droit bâti sur la
primauté des droits de l’homme dans le respect des standards internationaux les
plus favorables à la personne, les constitutions hissant le droit international
des droits de l’homme au-dessus des lois nationales en Argentine, Brésil, Colombie,
Guatemala, au Mexique, Nicaragua, Pérou...) et parfois même
au-dessus de la constitution, comme en Bolivie ou en Équateur. […] Le deuxième ressort est la reconnaissance du
multiculturalisme universaliste passé au crible d’une exigence d’effectivité. Le troisième ressort est l’activisme des
juges, notamment ceux de la Cour américaine des droits de l’homme ». S'appuyant sur le corpus juridique relatif aux
peuples indigènes et tribaux, particulièrement la constitution 169 de l’OIT de 1989, le concept
de vulnérabilité et le contentieux de la spoliation des terres,
« les juges latino-américains ont précisé des droits reconnus
à ces peuples dans la plupart des constitutions sud-américaines. En
traitant la question ethnique par une approche dialogique des droits de l’homme,
les juges latino-américains ont ouvert la voie à une judiciarisation de la
question sociale et ont ouvert la voie à un contrôle démocratique et
juridictionnel des choix de politique publique en matière d’accès et de partage
des ressources ».
L'Amérique latine, éveil juridique d'un continent ? / Laure Ortiz, in "Ressources et innovations dans les Amériques", 13e colloque international de l'Institut des Amériques organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à Toulouse (IPEAT) de Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut d'Études Politiques (IEP) de l'Université Toulouse 1-Capitole et la Maison Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015. Mot(s) clés libre(s) : droits de l'homme, primauté du droit, institutions juridiques, Amérique latine (20e-21e siècles), droits économiques, sociaux et culturels
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Zumbi de Palmares, nouvelle figure du panthéon héroïque brésilien / Richard Marin
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Nathalie MICHAUD, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 08-02-2013
/ Canal-u.fr
MARIN Richard
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Zumbi de Palmares, nouvelle figure du panthéon héroïque brésilien / Richard Marin. In
journée d'étude "Les Amériques noires : identités et représentations",
organisée par l'Institut de Recherches Intersites Etudes
Culturelles (IRIEC) et l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur
les Amériques à Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse II-Le Mirail,
8 février 2013.
Cette communication vise à montrer la manière dont s'est construite une figure centrale du panthéon brésilien, celle de Zumbi, noir marron, du quilombo dos Palmares, assassiné et décapité le 20 novembre 1695. A partir des années 30, la culture nationale brésilienne agrège des éléments de la tradition africaine, de nombreux ouvrages édités valorisent l'héritage africain, puis, sous le régime militaire (1964-1985), auprès de la gauche d'opposition, Palmares va devenir le symbole de la résistance à la dictature. A la fin des années 70, le développement d'un mouvement noir, avec Movimento negro unificado (MNU), va trouver un relais dans les organisations gouvernementales et être promu par le Président du Brésil, Fernando Henrique Cardoso (1995-2001), qui fut un étudiant du sociologue français Roger Bastide. En 1995, au moment du tricentenaire de la mort de Zumbi dos Palmares, Cardoso en fit une figure héroïque nationale, révélatrice de la société brésilienne contemporaine. Mot(s) clés libre(s) : mémoire collective, identité nationale, Noirs esclaves, Noirs marrons, Brésil (17e-21e siècle), caractère national (Brésil), Zumbi (1655-1695), Afro-brésiliens
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Las Juntas de comercio y el Consulado de Buenos Aires y sus relaciones con la Corona: los préstamos y donativos a fines del siglo XVIII y principios del XIX / Javier Kraselsky
/ Samir BOUHARAOUA, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 19-10-2011
/ Canal-u.fr
KRASELSKY Javier Gerardo
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Las Juntas de comercio y el Consulado de Buenos Aires y sus relaciones con la Corona: los préstamos y donativos a fines del siglo XVIII y principios del XIX / Javier Kraselsky. In colloque Changement institutionnel et fiscalité dans le monde
hispanique (1750-1850), organisé par le laboratoire Framespa. Toulouse :
Université Toulouse II-Le Mirail, 17-19 octobre 2011.
Thématique 4 : Acteurs, réseaux et institutions sociales / Actores, redes et institucciones fiscales, 19 oct. 2011.
El objetivo de este trabajo es analizar las estrategias de los comerciantes rioplatenses agrupados en sus corporaciones mercantiles a fines del siglo XVIII y principios del XIX. Se abordarán las juntas de comercio -órgano colectivo mercantil formalizado en 1779- y el Consulado de Comercio de Buenos Aires -desde su creación en 1794 hasta el derrumbe de la Monarquía en 1808- en relación al financiamiento de los actores locales en las guerras monárquicas.
El trabajo se propone demostrar que dichas corporaciones aseguraban a la Corona la obtención de ingresos monetarios con la recaudación de préstamos y donativos y la conservación de su autoridad nominal a cambio de privilegios mercantiles para sus actores, réditos económicos y legitimidad política como elite hegemónica. El Consulado, si bien constituía uno de los pilares de la Monarquía, representaba los intereses de la elite local que negociaba con la Corona los términos del vínculo de conveniencia mutua. Esta elite tenía la capacidad de imponer al resto de la comunidad gravámenes comerciales en beneficio propio y de la Corona. La comunidad mercantil habría prestado su consentimiento a dicha elite, debido a que mediante ello, lograban beneficios laterales y dilaciones en el pago de impuestos y un fuero mercantil para resolver sus conflictos.
Las corporaciones mercantiles habrían tomado préstamos a interés de los actores locales. Desde la ocupación británica en 1806-1807, el cabildo, se suma a esta función de financiamiento utilizando los montos de los situados. Así, esta institución obtiene cada vez más importancia como interlocutor de la Corona, asumiendo la protección territorial del espacio rioplatense. Mot(s) clés libre(s) : colonies (administration), Amérique latine (18e-19e siècle), colonies espagnoles (18e siècle), politique fiscale, politique commerciale, région du rio de la Plata (Argentine-Uruguay)
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L'Uruguay sur la route de l'innovation sociale / Mariana González Guyer
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2016
/ Canal-u.fr
GONZÁLEZ GUYER Mariana
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L'Uruguay sur la route de l'innovation sociale / Mariana González Guyer, in 13e colloque international de l'Institut des Amériques, "Ressources et innovations dans les Amériques, organisé l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à
Toulouse (IPEAT), Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut
d'Études Politiques (IEP)-Université Toulouse 1 Capitole et la Maison
Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au
dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de
compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc.
Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : développement économique et social, Uruguay (20e-21e siècles), droits de l'homme (Uruguay)
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Innovations et changements sociaux dans les Amériques : table ronde
/ SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Franck DELPECH, Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail
/ 14-10-2015
/ Canal-u.fr
GONZÁLEZ GUYER Mariana, HAESBAERT Rogério, SAVRAN David
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Innovations et changements sociaux dans les Amériques : table ronde, in 13e colloque international de l'Institut des Amériques, "Ressources et innovations dans les Amériques" organisé par l'Institut Pluridisciplinaire pour les Études sur les Amériques à
Toulouse (IPEAT) de l'Université Toulouse Jean Jaurès (UT2J), l'Institut
d'Études Politiques (Sciences Po Toulouse) associé à l'Université Toulouse 1 Capitole et la Maison
Universitaire Franco-Mexicaine (MUFM). Université Toulouse Jean Jaurès-campus Mirail, 14-16 octobre 2015.
Intervenants :
- Richard MARIN (modérateur), professeur d'histoire, Univ. Toulouse Jean Jaurès,
- Mariana GONZALEZ GUYER, directrice de l'INDDHH,
- Rogério HAESBAERT, professeur de géographie humaine, Univ. Federal Fluminense, Brésil,
- David SAVRAN, enseignant en études théâtrales et arts du spectacle, Université de la ville de New York (CUNY).
Au-delà des difficultés rencontrées, l’Amérique latine est également reconnue sur la scène mondiale pour l’amélioration de ses situations économiques, sociales et politiques, et pour ses capacités à expérimenter et à innover, dans des contextes à la fois complexes et stimulants. Afin de donner la mesure de ce que le continent américain peut proposer dans ce qu’il a de positif, de novateur, qui fait source et ressource, qui pousse à l'inventivité et à l’adaptation, qui tend au
dépassement de certains problèmes, l’édition 2015 du colloque annuel de l‘IdA se donne pour objectif d’identifier et d’analyser les dynamiques d’innovations et de valorisation des ressources dans les Amériques.
La réflexion s’enracine dans les substrats socio-culturels et historiques du continent, nationaux et régionaux, afin d’apporter des éléments de
compréhension des contraintes, des convoitises, des spoliations mais également des avancées, des créations, des expériences inédites, etc.
Dans les Amériques, la prise en main de leur destin par un grand nombre d’individus et de sociétés, locales ou nationales, invite donc à (re)visiter les notions (sans opposition systématique entre elles) de ressources matérielles / symboliques, naturelles / culturelles, historiques / patrimoniales, sociales / territoriales, expressives / artistiques, sous-valorisées / idéalisées, géopolitiques / géoéconomiques. Elle invite aussi à se pencher sur les innovations techniques, productives, sociales, politiques, organisationnelles, etc.
Elle suppose de s’interroger sur les questions des conflits vs appropriation, épuisement vs préservation, normes vs illicite, développement durable vs développement économique, valorisation vs (co)gestion. Mot(s) clés libre(s) : droits de l'homme, changements culturels, développement économique et social, Amérique latine (21e siècle)
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau
/ Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail
/ 07-04-2014
/ Canal-u.fr
GAUTREAU Marion, PEYRAGA Pascale
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Séminaire Image et vérité. 3. Image et mémoire. La reconstruction de la vérité par l'image : ouverture de la journée / Pascale Peyraga, Marion Gautreau. Séminaire organisé par le laboratoire France Méridionale et Espagne (FRAMESPA) et le Réseau interdisciplinaire sur les vérités de l'image hispanique contemporaines (RIVIC). Université Toulouse II-Le Mirail, 7 avril 2014.Tanto la dictadura franquista como las dictaduras latinoamericanas de los años 1960 a 1980 dieron lugar a una abundante
producción fílmica y fotográfica -documental y de ficción- que vuelven sobre estos periodos traumáticos desde diferentes puntos de vista. Comienzan a realizarse pe- lículas en los años 1980, todavía bajo la Ley de amnistía española (15 de octubre de 1977) o las Leyes de impunidad argentinas (finales de los años 1980) y siguen saliendo en pantalla hasta hoy en día, en un clima totalmente distinto. En efecto, la Ley de Memoria histórica del 31 de octubre de 2007 en
España o la declaración de inconstitucionalidad por la Corte Suprema de Argentina de los « indultos de Menem » en 2010 abre vías nuevas a la representación fílmica de estos episodios de la historia reciente. La idea de este seminario es observar cómo se reconstruye la memoria
histórica de las dictaduras a través de las imá- genes y el diálogo que entretiene estas producciones artísticas con una real o supuesta « verdad histórica ». Considerando cada una de estas obras como un « lugar de memoria », a la manera de Pierre Nora, sería interesante analizar los recursos utilizados por los artistas para ofrecer su propia memoria
de los gobiernos militares. En documentales como La maleta mexicana (Trisha Ziff, 2011, México/España/EEUU) o Los caminos de los memoria (José Luis Peñafuerte, 2009, España) se insiste en la problemática de las exhumaciones y del dilema verdad/olvido, mientras que en películas como Infancia clandestina (Benjamín Ávila, 2012, Argentina) o O ano en que meus pais saíram de férias (Cao Hamburger, 2006, Brasil) se intenta dar a ver la vida cotidiana de los niños que vivieron en tiempos de dictadura. Por otra parte, no podemos sino pensar en las producciones fotográficas de los últimos años, que no se refieren tanto a la revelación del pasado histórico (en las dictaduras o en tiempos de guerra) como a la comprobación de la ausencia de imágenes o una verdad para siempre velada (La misma Imagen a través de los días Socius II, Adrián Alemán). A través del tiempo y de la variedad de temas desarrollados en estos medios icónicos se va reconstruyendo poco a poco la memoria de las dictaduras. Nuestro propósito es confrontar los puntos de vista expuestos y los recursos iconográficos utilizados para defenderlos, con el fin de delinear los contornos de estas memorias española y latinoamericanas. Mot(s) clés libre(s) : conscience historique, cinéma et histoire, Mexique (20e siècle), Basilio Martín Patiño (1930-....), cinéma espagnol, Jorge Semprún (1923-2011), Espagne (20e siècle), film documentaire, mémoire collective, franquisme
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