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La huerta méditerranéenne, un modèle d'agriculture périurbaine ?
/ Maison de la Recherche en Sciences Humaines - Université de Caen Basse-Normandie
/ Canal-u.fr
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Cette communication a été enregistrée dans le cadre d'un colloque international organisé à l'université d'Oum El Bouaghi (Algérie) par le laboratoire Ressources Naturelles et Aménagement des Milieux
Sensibles, en collaboration avec l’INRA Écodéveloppement (Avignon,
France) les 15 et 16 avril 2015, colloque intitulé l’agriculture périurbaine, aux impacts du fait urbain, stratégies et jeux d’acteurs.Robert Hérin, géographe, est enseignant émérite de l'université de Caen-Basse-Normandie. Il fut notamment à l'initiative de la Maison de la Recherche en Sciences Humaines (Université de Caen), dont il assura le premier la direction, de 1995 à 2001.Résumé de la communicationÀ l’image de celle de Valencia plus au nord, ou des autres plaines méditerranéennes d’irrigation séculaire, voire millénaire, d’agriculture intensive enviée par les habitants des terres d’agriculture sèche ou des sierras inhospitalières, la huerta de Murcia est de plus en plus intégrée par la ville et dans la ville, avec laquelle elle a toujours été en symbiose forte. De voisinage agricole et rural elle est devenue banlieue en voie d’urbanisation plus ou moins avancée, jusqu’à sa disparition dans les secteurs les plus soumis aux pressions urbaines de tous types.Les problèmes qu’elle pose aujourd’hui ne relèvent plus que très secondairement de l’agriculture, souvent réduite à un complément secondaire de revenu, quand ce n’est pas à un rôle de loisirs en fin de journée de travail en ville. Désormais confrontée à des problèmes d'urbanisme, d'environnement et de préservation patrimoniale, n'est-ce pas la confirmation que la huerta appartient aujourd'hui à l'histoire ? Mot(s) clés libre(s) : agriculture, paysage, mutations, aménagement
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L'économie mondiale à l'ère des flux
/ UTLS - la suite, C.E.R.I.M.E.S.
/ 03-01-2006
/ Canal-U - OAI Archive
VELTZ Pierre
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Flux de marchandises, de capitaux, de technologies, d'images, de références culturelles : l'économie mondialisée est celle de toutes les mobilités, à l'exception notable des personnes les moins qualifiées, ou nées dans les pays les plus pauvres. Cette fluidité s'accompagne d'une fragmentation des systèmes productifs qui se déploient désormais à l'échelle du monde, en s'appuyant sur des réseaux de sites de plus en plus homogènes en termes de niveau technologique. Elle s'accompagne aussi d'une concentration croissante des activités au sein d'un archipel de grands pôles interconnectés, par delà la mosaïque des nations et des économies nationales. Mais ce n'est pas seulement la répartition géographique des activités qui se trouve ainsi bouleversée : c'est la relation entre les espaces qui se transforme en profondeur. L'articulation traditionnelle entre centres et périphéries, pôles et arrière-pays, se délite. Les périphéries et les arrières pays deviennent des charges plutôt que des ressources pour les centres les plus riches et les plus insérés dans l'économie mondiale. Dans les pays développés, comme la France, des mécanismes de redistribution puissants jouent en faveur des zones rurales ou des villes moyennes. Ailleurs, s'applique le « paradoxe de Robin des bois » : la redistribution est la plus faible là où elle serait la plus nécessaire
Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, économie mondiale, espace (économie politique), industrie (localisation), mobilité géographique, mondialisation, pôles de développement, relations économiques internationales
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Portrait de chercheur - Entretien avec Violette Rey
/ ENS-LSH/SCAM, ENS-LSH
/ 29-03-2006
/ Canal-U - OAI Archive
REY Violette
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Un entretien qui retrace le parcours de Violette Rey, géographe, enseignant-chercheur à l'ENS-LSH. Ses passions pour la géographie l'ont amené à travailler sur les dynamiques territoriales dans l'Est de l'Europe et sur les influences culturelles.Entretien, réalisation : Christophe Porlier. Responsable technique : Francis Ouedraogo. Mise en image et lumière : Sébastien Boudin. Cadre, montage, authoring : Mathias Chassagneux. Prise de son, mixage : Xavier Comméat. Vision, exploitation : Julien Lopez. Musique originale : Alexis Cartonnet. Graphisme : Joao Correia. Diffusion Web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : chercheurs, entretiens, géographes, récits personnels, témoignages, violette Rey
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L'évolution démographique en Espagne
/ Bruno BASTARD, Nathalie MICHAUD, Claire SARAZIN, Université Toulouse II-Le Mirail SCPAM
/ 22-01-2007
/ Canal-U - OAI Archive
PUEYO-CAMPOS Angel, LE CORRE Sébastien
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La population espagnole connaît de lourds changements structurels et conjoncturels. L'évolution de cette dynamique est ici saisie au travers d'une série d'indicateurs démographiques, afin d'analyser des processus comme le vieillissement, l'évolution de la natalité, la répartition spatiale des populations, l'exode rural et ses conséquences sociales. Parallèlement, d'un pays d'émigration massive, l'Espagne devient une terre d'accueil pour les populations étrangères d'origines multiples. Au-delà d'un simple constat, les conséquences ainsi que les enjeux futurs pour l'Espagne sont également abordés. (entretien réalisé le 22 janvier 2007)GénériqueInterview : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post-prodction : Bruno BASTARD - Cadreurs : Nathalie MICHAUD et Claire SARAZIN - Production et moyens techniques : SCAM / Université de Toulouse-Le Mirail, 5 allées Antonio Machado, 31058 Toulouse CEDEX 09 Mot(s) clés libre(s) : démographie, émigration et immigration, espagne, exode rural, intégration sociale, natalité, politique démographique, population, répartition (démographie)
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On ne naît plus femme ou homme par hasard
/ Eric (CICA Vidéo Aubervilliers) Garreau
/ 24-11-2014
/ Canal-u.fr
PISON Gilles
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Il naît un peu plus de garçons que de filles : 105 garçons pour 100 filles en moyenne. Ce rapport varie très peu dans l'espèce humaine, que ce soit dans l’espace ou dans le temps. Pourtant la proportion de garçons chez les nouveau-nés s’est mise à augmenter dans les années 1980 dans plusieurs pays d’Asie de l’Est, notamment en Chine et en Corée du Sud. Il existe une préférence marquée pour les garçons dans ces pays et elle est très ancienne. Pourquoi n’avait-elle pas entraîné jusque-là une hausse de la proportion de naissances masculines ? Ce déséquilibre, lié à l’avortement sélectif des filles, s’est étendu depuis à d’autres pays d’Asie (Inde, Viet Nam) et à d’autres continents. On l’observe depuis peu en Europe dans les Balkans. Va-t-il s’étendre encore plus ?Toutes les Conférences Campus Condorcet Mot(s) clés libre(s) : croissance démographique
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Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon : Des cartes et des images
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 08-02-2008
/ Canal-U - OAI Archive
PIEGAY Hervé, JOLIVEAU Thierry
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Comprendre les changements territoriaux et environnementauxLa Géomatique a pour objet le développement et l’utilisation d'outils et de méthodes servant à intégrer, organiser, représenter et analyser les données géographiques (Figure 1). Elle intègre par l’informatique des savoir-faire et des techniques telles que les Systèmes d’Information Géographique, la télédétection, la cartographie, la topographie, le GPS (Global Positionning System), ou encore les services de géolocalisation... Elle intéresse tant les gestionnaires que les scientifiques confrontés à l'organisation et à la gestion spatiales des territoires. La multiplication au cours de la dernière décennie des données géonumériques et l'émergence de nouveaux outils d'acquisition renouvèlent les approches scientifiques permettant de mieux comprendre les changements affectant les territoires et l'environnement. L'objet de cette conférence est ainsi triple : - présenter les principaux outils géomatiques et leur intérêt dans l'étude des phénomènes géographiques, - mettre en lumière à partir d'exemples et de logiques scientifiques contrastés les mutations de l'espace, - ouvrir laréflexion sur les champs thématiques émergeants résultant des avancées technologiques dans le domaine de la télédétection et de l’appropriation de ces outils géographiques (GoogleEarth, GPS navigator, plateformes Web collaborative) par différents acteurs et notamment le grand public, à l’origine de nouvelles pratiques et denouvelles logiques d’action. Après une brève introduction de l’histoire de la cartographie et de l’image, s’attachant notamment à souligner l’évolution des supports et des modes de représentation de l’information géographique au cours du 20ème siècle, nous introduirons les conséquences de la révolution numérique qui a touché le domaine dans les années quatre-vingt dix tant au niveau de la cartographie que de l’imagerie. L’apparition de nouveaux vecteurs (satellites à très haute résolution, drone) (Figure 2) et de nouveaux capteurs (hyper-spectraux, thermiques, radar) ouvre également de nouvelles perspectives en matière de caractérisation des objets géographiques. Dans un second temps seront présentés quelques exemples illustrant différents modes de représentation des territoires et de l’environnement élaborés par les chercheurs de la plateforme ISIG : sensibilité au bruit, visibilité paysagère, localisation des faits de délinquance, extension du tissu urbain, caractérisation des lits fluviaux. Ces travaux permettront alors d’ouvrir la réflexion sur les différents modes de représentation des dynamiques temporelles enregistrées par les territoires et l’environnement. Plusieurs exemples seront ainsi présentés afin de visualiser l’urbanisation progressive de l’agglomération lyonnaise, la dynamique des paysages et leur simulation future (Figure 3), les changements fluviaux à l’échelle de tronçons de plusieurs dizaines de kilomètres ou de secteurs plus restreints sur lesquels des actions de restauration ont été réalisées. Dépassant la combinaison d’états temporels, il s’agit de replacer la dynamique de changement dans le contexte des causalités et des conséquences et d’aborder les enjeux scientifiques qui se posent aujourd’hui autour du traitement de l’information temporelle. Directeur de la production : Christophe PorlierInterview et réalisation : Pascal GrzywaczImage et montage : Sébastien BoudinEncodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : cartes, changements territoriaux, environnement, géolocalisation, géomatique, images
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Des cartes et des images : Les déjeuners de l'ISH et de l'ENS de Lyon
/ Ensmédi@ / ENS de Lyon, ENS de Lyon
/ 08-02-2008
/ Canal-u.fr
PIÉGAY Hervé, JOLIVEAU Thierry
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Comprendre les changements territoriaux et environnementaux
La Géomatique a pour objet le développement et l’utilisation d'outils et de méthodes servant à intégrer, organiser, représenter et analyser les données géographiques (Figure 1). Elle intègre par l’informatique des savoir-faire et des techniques telles que les Systèmes d’Information Géographique, la télédétection, la cartographie, la topographie, le GPS (Global Positionning
System), ou encore les services de géolocalisation...
Elle intéresse tant les gestionnaires que les scientifiques confrontés à l'organisation et à la gestion spatiales des territoires. La multiplication au cours de la dernière décennie des données géonumériques et l'émergence de nouveaux outils d'acquisition renouvèlent les approches scientifiques permettant de mieux comprendre les changements affectant les territoires et l'environnement. L'objet de cette conférence est ainsi triple : - présenter les principaux outils géomatiques et leur intérêt dans l'étude des phénomènes géographiques, - mettre en lumière à partir d'exemples et de logiques scientifiques contrastés les mutations de l'espace, - ouvrir laréflexion sur les champs thématiques émergeants résultant des avancées technologiques dans le domaine de la télédétection et de l’appropriation de ces outils géographiques (GoogleEarth, GPS navigator, plateformes Web collaborative) par différents acteurs et notamment le grand public, à l’origine de nouvelles pratiques et de
nouvelles logiques d’action.
Après une brève introduction de l’histoire de la cartographie et de l’image, s’attachant notamment à souligner l’évolution des supports et des modes de représentation de l’information géographique au cours du 20ème siècle, nous introduirons les conséquences de la révolution numérique qui a touché le domaine dans les années quatre-vingt dix tant au niveau de la cartographie que de l’imagerie.
L’apparition de nouveaux vecteurs (satellites à très haute résolution, drone) (Figure 2) et de nouveaux capteurs (hyper-spectraux, thermiques, radar) ouvre également de nouvelles perspectives en matière de caractérisation des objets géographiques. Dans un second temps seront présentés quelques exemples illustrant différents modes de représentation des territoires et de l’environnement élaborés par les chercheurs de la plateforme ISIG : sensibilité au bruit, visibilité paysagère, localisation des faits de délinquance, extension du tissu urbain, caractérisation des lits fluviaux.
Ces travaux permettront alors d’ouvrir la réflexion sur les différents modes de représentation des dynamiques temporelles enregistrées par les territoires et l’environnement. Plusieurs exemples seront ainsi présentés afin de visualiser l’urbanisation progressive de l’agglomération lyonnaise, la dynamique des paysages et leur simulation future (Figure 3), les changements fluviaux à l’échelle de tronçons de plusieurs dizaines de kilomètres ou de secteurs plus restreints sur lesquels des actions de restauration ont été réalisées. Dépassant la combinaison d’états temporels, il s’agit de replacer la dynamique de changement dans le contexte des causalités et des conséquences et d’aborder les enjeux scientifiques qui se posent aujourd’hui autour du traitement de l’information temporelle.
Directeur de la production : Christophe Porlier
Interview et réalisation : Pascal Grzywacz
Image et montage : Sébastien Boudin
Encodage-diffusion web : Jean-Claude Troncard Mot(s) clés libre(s) : environnement, géomatique, images, cartes, changements territoriaux, géolocalisation
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La mégapolisation : le défi de la ville monde
/ Mission 2000 en France
/ 12-04-2000
/ Canal-U - OAI Archive
MONNET Jérôme
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"La mégapolisation peut être définie comme le processus qui donne une importance accrue aux villes géantes dans l'organisation de l'espace humain contemporain. Cette importance se reflète dans l'augmentation du nombre des mégapoles, de leur population et de leur rôle dans la création et les échanges de biens, de services, de richesses et d'informations. Au cours du 20e siècle, la mégapolisation a banalisé sur la planète la figure de la ville-monde, qui apparaissait autrefois, exceptionnellement, à l'apogée d'une civilisation : la Rome antique, la Byzance impériale, la Bagdad des Califes, la Babel du mythe, la Mexico-Tenochtitlan précolombienne, pour n'en citer que quelques-unes. Il s'agissait de villes qui étaient en leur temps le centre de leur monde ; leur complexité interne en faisait un monde en soi, reflet et matrice à la fois du monde extérieur. Le défi de notre temps, c'est de cesser d'interpréter et de traiter les mégapoles comme des exceptions, pour inventer les règles de gestion et de vie commune dans ces milieux cosmopolites probablement destinés à héberger la majorité de l'humanité." Mot(s) clés libre(s) : agglomérations urbaines, aménagement du territoire, croissance des villes, métropolisation, polarisation, urbanisme
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Géographie et observation par satellite
/ UTLS - la suite
/ 16-07-2001
/ Canal-U - OAI Archive
MERING Catherine
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La géographie s'intéresse aux structures spatiales et aux processus d'origine anthropique et naturelle qui les produisent. La question se pose alors d'observer ces structures de la façon la plus objective et la plus directe possible. Depuis l'avènement de la photographie aérienne et de la télédétection, les géographes ont à leur disposition une source d'information irremplaçable pour observer, analyser et cartographier ces structures sous leur forme la plus directement perceptible et mesurable, c'est à dire les paysages. Les photographies aériennes, qui ont été prises de façon systématique à partir des années 50 leur permettaient déjà d'observer le paysage en laboratoire, d'en délimiter les différentes unités pour produire des croquis interprétatifs et enfin des cartes. Au début des années 70, les images multispectrales, prises de façon systématique sur l'ensemble du globe par le satellite Landsat MSS inauguraient la série de prises de vue périodiques de la surface terrestre sous forme d'images numériques. Les méthodes statistiques et informatiques allégeaient désormais sa tâche en classant automatiquement les points de l'image, l'aidant ainsi à produire plus rapidement et de façon plus objective une carte des paysages de la scène étudiée. L'avancée incontestable que constituait la télédétection satellitaire et l'accès aux images numériques de la Terre, ne remettait pas en cause l'intérêt des photographies aériennes . En effet, le pouvoir de résolution de ces nouvelles images était encore insuffisant puisqu'il ne permettait pas de distinguer les tissus urbains, les lieux d'habitats dispersés, ni les paysages complexes et discontinus comme les steppes et les savanes de la zone intertropicale. Les satellites SPOT et Landsat Thematic Mapper, lancés au milieu des années 80, allaient combler ce fossé: il était désormais possible d'étudier de nombreuses catégories de paysages, quel que soit leur niveau de complexité. Un problème demeurait cependant : les prises de vues effectuées par les capteurs comme ceux de SPOT et Landsat dits "passifs" parce qu'ils ne font qu'enregistrer l'énergie renvoyée par la surface, sont difficilement exploitables en période de forte nébulosité où les paysages sont totalement masqués par les nuages. Mais depuis les années 90, grâce aux images radar des satellites ERS et JERS , l'observation des paysages peut se faire indépendamment des conditions climatiques et météorologiques, ce qui ouvre la voie à l'étude par satellite des zones tropicales et équatoriales où l'atmosphère est rarement limpide ou ceux des zones boréales éclairées la plupart du temps par une lumière rasante. Les géographes, disposent donc aujourd'hui d'une immense banque d'images sur les paysages terrestres. Ces archives, acquises depuis environ un demi-siècle continuent de s'enrichir d'images numériques produites par des capteurs passifs ou actifs, prises sous des angles variés et à des résolutions de plus en plus grandes. A l'aube du troisième millénaire, il ne s'agira plus seulement pour eux de faire un inventaire des paysages en les cartographiant, mais d'analyser et de mesurer leurs transformations : En effet, ces transformations qu'elles soient très rapides quand elles sont dues à des catastrophes naturelles, comme les séismes, les éruptions volcaniques, les cyclones ou les inondations ou plus lentes lorsqu'elles sont liées à l'évolution des sociétés telles la déforestation, la déprise agricole ou la croissance urbaine sont désormais directement observables par télédétection. Mot(s) clés libre(s) : photographie aérienne, photographies spatiales, satellites artificiels en télédétection, SPOT (satellites de télédétection), télédétection, terre (images de télédétection), traitement d'images (techniques numériques)
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Le canal du midi : un avenir incertain pour un canal historique
/ Bruno BASTARD, Jean JIMENEZ, Nathalie MICHAUD, UOH - Université Ouverte des Humanités
/ 16-10-2006
/ Canal-U - OAI Archive
MARCONIS Robert
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Cette voie d'eau est avant tout une prouesse technique composée de nombreux ouvrages d'art afin de s'affranchir des contraintes géographiques. Initialement, important vecteur d'une activité économique, le canal s'avère peu à peu inadapté aux transports de marchandises et se voit concurrencé par d'autres modes. La batellerie cède la place à la navigation de plaisance, ce qui n'est pas sans créer de nouveaux conflits. Aujourd'hui classé au patrimoine de l'UNESCO l'avenir du canal du midi soulève cependant des questions sur sa gestion et son utilisation. (entretien réalisé le 16 octobre 2006)GénériqueInterviewer : Sébastien LE CORRE - Réalisation et post-production : Bruno BASTARD - Cadreurs : Jean JIMENEZ et Nathalie MICHAUD - Production et moyens techniques : CAM, Université de Toulouse-Le Mirail Mot(s) clés libre(s) : aménagement du territoire, batellerie, bief, canal, canal du Midi, écluse, génie civil, navigation de plaisance, ouvrage d'art, Pierre-Paul Riquet, tourisme fluvial, voie naviguable
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