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Les recherches sur l’évaluation sont souvent éloignées de la réalité des classes et
privilégient la dimension certificative au détriment de la dimension formative. Pour Marcel (2011), l’évaluation « n'est plus au service de la formation mais elle devient l'objectif de la formation » (p. 9). Il semble alors urgent de questionner l’évaluation formative en tant que levier pour la formation, en considérant les processus évaluatifs en lien avec les processus curriculaires. Plus particulièrement, nous avons suivi différents moments de coévaluation (Talbot, 2009) dans une classe ordinaire de CE1 lors d’un cycle de 10 séances, portant sur la lecture oralisée. Le travail se fait sur l’apprentissage d’une analyse critériée de la lecture orale afin de questionner cet habitus enseignant, qui évalue sommativement la lecture sans faire passer les élèves par l’analyse (Goigoux, 2007).
Le corpus de l’étude est constitué des enregistrements de 2 à 5 minutes de coévaluation, de la séance 7 à 10. La grille d’analyse de discours, construite a posteriori à partir des actes de langage (Searle, 1992) permet de caractériser l’évolution des discours des élèves vers plus d’explications, de suggestions, de ressentis et des jugements valorisants.
Cette étude montre que l’évaluation formative déclinée dans sa version formatrice, peut constituer un outil puissant pour développer des apprentissages et viser une formation plus globale de l’élève, articulant contenus disciplinaires et valeurs éducatives.
Les recherches sur l’évaluation sont souvent éloignées de la réalité des classes et
privilégient la dimension certificative au détriment de la dimension formative. Pour Marcel (2011), l’évaluation « n'est plus au service de la formation mais elle devient l'objectif de la formation » (p. 9). Il semble alors urgent de questionner l’évaluation formative en tant que levier pour la formation, en considérant les processus évaluatifs en lien avec les processus curriculaires. Plus particulièrement, nous avons suivi différents moments de coévaluation (Talbot, 2009) dans une classe ordinaire de CE1 lors d’un cycle de 10 séances, portant sur la lecture oralisée. Le travail se fait sur l’apprentissage d’une analyse critériée de la lecture orale afin de questionner cet habitus enseignant, qui évalue sommativement la lecture sans faire passer les élèves par l’analyse (Goigoux, 2007).
Le corpus de l’étude est constitué des enregistrements de 2 à 5 minutes de coévaluation, de la séance 7 à 10. La grille d’analyse de discours, construite a posteriori à partir des actes de langage (Searle, 1992) permet de caractériser l’évolution des discours des élèves vers plus d’explications, de suggestions, de ressentis et des jugements valorisants.
Cette étude montre que l’évaluation formative déclinée dans sa version formatrice, peut constituer un outil puissant pour développer des apprentissages et viser une formation plus globale de l’élève, articulant contenus disciplinaires et valeurs éducatives.
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Le calcul littéral est une notion nouvelle pour les élèves de cycle 4, l’introduction
de la lettre, des différentes propriétés algébriques et des équations doivent être données lorsque les élèves en ont vu le besoin. Les programmes de calcul permettent différentes approches du calcul littéral : introduction, application, modélisation. Les activités mentales avec des questions sur les programmes de calcul mettent en relief les erreurs principales des élèves et remédient à celles-ci.
Le calcul littéral est une notion nouvelle pour les élèves de cycle 4, l’introduction
de la lettre, des différentes propriétés algébriques et des équations doivent être données lorsque les élèves en ont vu le besoin. Les programmes de calcul permettent différentes approches du calcul littéral : introduction, application, modélisation. Les activités mentales avec des questions sur les programmes de calcul mettent en relief les erreurs principales des élèves et remédient à celles-ci.
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Le traitement de l’insouciance dans différentes œuvres de la Nouvelle vague,
entre enfance, jeunesse et maturité, l’insouciance apparaît comme une notion complexe et riche à étudier. L’insouciance est étudiée de point de vue filmique avec les œuvres de Jean-Luc Godard "Pierrot le fou", de François Truffaut "Les 400 coups". L’analyse des films permet de mettre en comparaison la manière dont l’insouciance est transcrite dans le roman de Raymond Queneau "Zazie dans le métro". La correspondance entre ces trois œuvres permet de comprendre ce qu’est l’insouciance et ses enjeux. Il s’agit dans cette étude de mettre en évidence les différentes manières de percevoir l’insouciance et d’analyser sa mise en œuvre au sein du corpus.
Le traitement de l’insouciance dans différentes œuvres de la Nouvelle vague,
entre enfance, jeunesse et maturité, l’insouciance apparaît comme une notion complexe et riche à étudier. L’insouciance est étudiée de point de vue filmique avec les œuvres de Jean-Luc Godard "Pierrot le fou", de François Truffaut "Les 400 coups". L’analyse des films permet de mettre en comparaison la manière dont l’insouciance est transcrite dans le roman de Raymond Queneau "Zazie dans le métro". La correspondance entre ces trois œuvres permet de comprendre ce qu’est l’insouciance et ses enjeux. Il s’agit dans cette étude de mettre en évidence les différentes manières de percevoir l’insouciance et d’analyser sa mise en œuvre au sein du corpus.
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Ce mémoire porte sur les liens qui peuvent s’établir entre la parole et le silence dans l’oeuvre Moderato Cantabile de Marguerite Duras. La démarche était de s’interroger sur ces liens ambigus et de montrer comment ils pouvaient se répondre et se compléter. Outre l’acte langagier et l’acte de silence, la musique prend une place toute entière dans la mesure où elle arrive à combiner, à réunir ces deux moyens de communication et à devenir une sorte de troisième voix dans laquelle s’engouffrent le narrateur et les personnages. Les deux premières parties
éclairent ce sujet de mémoire en étudiant en détail la construction du roman, la narration et les liens entre les personnages. La troisième partie quant à elle, s’interroge sur la mise en place de ces problématiques dans une classe de collège, en dévoilant la démarche didactique mais aussi les limites rencontrées lors de l’étude du silence avec des élèves de quatrième qui sont à l’aube de leur formation en tant que lecteur.
Ce mémoire porte sur les liens qui peuvent s’établir entre la parole et le silence dans l’oeuvre Moderato Cantabile de Marguerite Duras. La démarche était de s’interroger sur ces liens ambigus et de montrer comment ils pouvaient se répondre et se compléter. Outre l’acte langagier et l’acte de silence, la musique prend une place toute entière dans la mesure où elle arrive à combiner, à réunir ces deux moyens de communication et à devenir une sorte de troisième voix dans laquelle s’engouffrent le narrateur et les personnages. Les deux premières parties
éclairent ce sujet de mémoire en étudiant en détail la construction du roman, la narration et les liens entre les personnages. La troisième partie quant à elle, s’interroge sur la mise en place de ces problématiques dans une classe de collège, en dévoilant la démarche didactique mais aussi les limites rencontrées lors de l’étude du silence avec des élèves de quatrième qui sont à l’aube de leur formation en tant que lecteur.
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Ce mémoire propose d'étudier les rapports entre la littérature et la peinture dans
l'enseignement secondaire à partir de l’œuvre magistrale de Proust, "A la recherche du temps perdu".
Aujourd'hui, l'enseignement des lettres dans le secondaire est largement appuyé
sur un parcours culturel et artistique dense, permettant aux élèves, de la sixième à la terminale, de connaître et comprendre les grandes œuvres du patrimoine artistique français et international.
Cet engouement pour l'image fixe n'est pas neuf, car les deux formes artistiques
que sont la littérature et la peinture n'ont eu de cesse, durant des siècles, d'être mêlées, comparées, fusionnées, à tel point que cette correspondance artistique s'est transformée, avant de parvenir à Proust, en un réel idéalisme.
Il s'agit donc, par le biais de ce travail de recherche, de prendre le texte de Proust
comme un réel modèle d'intérêt pour évoquer les rapports entre la littérature et la
peinture, entre le texte et l'image, dans l'enseignement du français aujourd'hui.
Ainsi, ce mémoire fait d'abord apparaître une réflexion sur les liens entre les deux formes artistiques dans l’œuvre, en se focalisant sur les similitudes de conception et de réception. Puis, après avoir étudié la place de l'image dans l'enseignement du
français aujourd'hui, et établi les enjeux de la transposition didactique dans un cours de lettres, ce travail aboutira à la mise en œuvre d'une séquence didactique et pédagogique, de façon à comprendre la manière dont il est aujourd'hui possible d'enseigner Proust par la peinture dans le secondaire.
Ce mémoire propose d'étudier les rapports entre la littérature et la peinture dans
l'enseignement secondaire à partir de l’œuvre magistrale de Proust, "A la recherche du temps perdu".
Aujourd'hui, l'enseignement des lettres dans le secondaire est largement appuyé
sur un parcours culturel et artistique dense, permettant aux élèves, de la sixième à la terminale, de connaître et comprendre les grandes œuvres du patrimoine artistique français et international.
Cet engouement pour l'image fixe n'est pas neuf, car les deux formes artistiques
que sont la littérature et la peinture n'ont eu de cesse, durant des siècles, d'être mêlées, comparées, fusionnées, à tel point que cette correspondance artistique s'est transformée, avant de parvenir à Proust, en un réel idéalisme.
Il s'agit donc, par le biais de ce travail de recherche, de prendre le texte de Proust
comme un réel modèle d'intérêt pour évoquer les rapports entre la littérature et la
peinture, entre le texte et l'image, dans l'enseignement du français aujourd'hui.
Ainsi, ce mémoire fait d'abord apparaître une réflexion sur les liens entre les deux formes artistiques dans l’œuvre, en se focalisant sur les similitudes de conception et de réception. Puis, après avoir étudié la place de l'image dans l'enseignement du
français aujourd'hui, et établi les enjeux de la transposition didactique dans un cours de lettres, ce travail aboutira à la mise en œuvre d'une séquence didactique et pédagogique, de façon à comprendre la manière dont il est aujourd'hui possible d'enseigner Proust par la peinture dans le secondaire.
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Ce mémoire interroge les limites de la notion de réalisme, au sens de registre plus que de mouvement, dans le recueil de nouvelles De Goupil à Margot de Louis Pergaud. Le travail de recherche consiste à montrer, dans un premier temps, que l’œuvre de Pergaud présente une forte tonalité réaliste, puis, dans un second temps, à nuancer cette idée en montrant que le recueil relève, dans une moindre mesure, du merveilleux.
Les recherches évoquées précédemment ont été transposées didactiquement dans une séquence d'enseignement adaptée à une classe de première. Le mémoire évoque donc le travail effectué pour passer de la recherche à l'enseignement, les choix qui sont faits lors de ce processus. Il évoque également les aspects positifs et négatifs de sa mise en application didactique ainsi que les activités proposées aux élèves.
Ce mémoire interroge les limites de la notion de réalisme, au sens de registre plus que de mouvement, dans le recueil de nouvelles De Goupil à Margot de Louis Pergaud. Le travail de recherche consiste à montrer, dans un premier temps, que l’œuvre de Pergaud présente une forte tonalité réaliste, puis, dans un second temps, à nuancer cette idée en montrant que le recueil relève, dans une moindre mesure, du merveilleux.
Les recherches évoquées précédemment ont été transposées didactiquement dans une séquence d'enseignement adaptée à une classe de première. Le mémoire évoque donc le travail effectué pour passer de la recherche à l'enseignement, les choix qui sont faits lors de ce processus. Il évoque également les aspects positifs et négatifs de sa mise en application didactique ainsi que les activités proposées aux élèves.
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Ce travail de recherche consiste à mettre en avant l’enseignement de l’hygiène durant la seconde moitié du XIXème siècle jusqu’à la fin du XIXème siècle en France, dans les écoles élémentaires. Le sujet étant vaste, ce mémoire est centré sur le rôle que peut apporter l’eau dans l’hygiène. Mais alors que l’eau est reconnue comme une boisson désaltérante ou encore nécessaire pour le nettoyage du corps ou des vêtements, elle peut aussi entraîner de graves maladies. En effet, le XIXème siècle est marqué par l’apparition de mouvements hygiénistes mais aussi par l’arrivée de certaines épidémies comme le choléra ou la fièvre typhoïde, causées par une contamination de l’eau. L’Etat, qui tente de s’affirmer et de s’émanciper du poids de l’Eglise, doit donc mettre en avant le rôle de la prophylaxie. Il confie cette tâche en particulier aux instituteurs. Ainsi, ces derniers transmettent aux élèves les bienfaits et les dangers que peut avoir l’eau à partir des connaissances fournies par les sciences et par la morale – morale, encore basée sur l’enseignement du catéchisme. A travers une étude focalisée sur la ville de Besançon, ce travail permet de prouver que les directives nationales sont entreprises dans les villes de provinces et non seulement dans la capitale. Enfin, la comparaison entre l’enseignement de l’hygiène au XIXème siècle et l’éducation à la santé réalisée aujourd’hui dans les écoles élémentaires, permet de montrer l’évolution des méthodes d’enseignement au fil des siècles.
Ce travail de recherche consiste à mettre en avant l’enseignement de l’hygiène durant la seconde moitié du XIXème siècle jusqu’à la fin du XIXème siècle en France, dans les écoles élémentaires. Le sujet étant vaste, ce mémoire est centré sur le rôle que peut apporter l’eau dans l’hygiène. Mais alors que l’eau est reconnue comme une boisson désaltérante ou encore nécessaire pour le nettoyage du corps ou des vêtements, elle peut aussi entraîner de graves maladies. En effet, le XIXème siècle est marqué par l’apparition de mouvements hygiénistes mais aussi par l’arrivée de certaines épidémies comme le choléra ou la fièvre typhoïde, causées par une contamination de l’eau. L’Etat, qui tente de s’affirmer et de s’émanciper du poids de l’Eglise, doit donc mettre en avant le rôle de la prophylaxie. Il confie cette tâche en particulier aux instituteurs. Ainsi, ces derniers transmettent aux élèves les bienfaits et les dangers que peut avoir l’eau à partir des connaissances fournies par les sciences et par la morale – morale, encore basée sur l’enseignement du catéchisme. A travers une étude focalisée sur la ville de Besançon, ce travail permet de prouver que les directives nationales sont entreprises dans les villes de provinces et non seulement dans la capitale. Enfin, la comparaison entre l’enseignement de l’hygiène au XIXème siècle et l’éducation à la santé réalisée aujourd’hui dans les écoles élémentaires, permet de montrer l’évolution des méthodes d’enseignement au fil des siècles.
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L’objet de ce mémoire est d’essayer de comprendre comment fonctionne la mémoire afin de réfléchir à des solutions pour améliorer la mémorisation dans les différentes disciplines à l’école. La recherche et l’expérimentation ont été réalisées sur l’apprentissage des tables de multiplication. Elles ont porté sur trois classes, du CM1 au CM2. Dans l’une d’elle, la méthode novatrice « Multimalin » de Matthieu Protin a été testée. Elle est basée sur la création d’images mentales, en symbolisant les chiffres comme étant des personnages ou objets. Chaque résultat de chaque table est la conséquence d’une histoire faisant intervenir deux éléments, les nombres. Il s’agit de savoir si les images mentales facilitent l’apprentissage et pour quel profil d’élève.
L’objet de ce mémoire est d’essayer de comprendre comment fonctionne la mémoire afin de réfléchir à des solutions pour améliorer la mémorisation dans les différentes disciplines à l’école. La recherche et l’expérimentation ont été réalisées sur l’apprentissage des tables de multiplication. Elles ont porté sur trois classes, du CM1 au CM2. Dans l’une d’elle, la méthode novatrice « Multimalin » de Matthieu Protin a été testée. Elle est basée sur la création d’images mentales, en symbolisant les chiffres comme étant des personnages ou objets. Chaque résultat de chaque table est la conséquence d’une histoire faisant intervenir deux éléments, les nombres. Il s’agit de savoir si les images mentales facilitent l’apprentissage et pour quel profil d’élève.
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