Titre
|
Description
|
Date
|
Format
|
|
L'éveil aux langues étrangères est de plus en plus pratiqué dans les classes de cycle 1. Cependant, l'interdisciplinarité avec certains domaines ne semble pas encore très répandue. Ce travail traite du lien entre éveil aux langues étrangères et rituels mathématiques. Il s'agit ici de démontrer dans quelle mesure l'éveil aux langues par les rituels mathématiques permet de motiver chaque élève.
L'éveil aux langues étrangères est de plus en plus pratiqué dans les classes de cycle 1. Cependant, l'interdisciplinarité avec certains domaines ne semble pas encore très répandue. Ce travail traite du lien entre éveil aux langues étrangères et rituels mathématiques. Il s'agit ici de démontrer dans quelle mesure l'éveil aux langues par les rituels mathématiques permet de motiver chaque élève.
|
|
|
|
Le présent mémoire développe une réflexion et une mise en place pédagogique à l’école élémentaire autour des compétences de géographie à acquérir grâce à l’utilisation du dessin animé japonais. Il se veut un éclairage possible autour de l’éducation à l’image par l’exploitation d’une oeuvre, « Les enfants loups, Ame et Yuki » de Mamoru Hosoda, en lien avec les savoirs en acquisition en élémentaire.
Une synthèse théorique de la notion d’ « habiter », une spécificité des occupations géographiques humaines est proposée, ainsi que ses particularités au Japon. Ce mémoire s’applique également à détailler l’apport possible du cinéma, et plus particulièrement du dessin animé japonais dans la maîtrise de ces notions de géographie au coeur des programmes de cycle 2 et 3.
La séquence pédagogique est exploitée avec une classe de CE1 autour de l’étude des spécificités d’aménagement de l’espace par l’homme à la ville et à la campagne, ainsi que des différences culturelles dans « l’habiter » entre le Japon et la France, notamment en terme d’habitudes éducatives dans le système scolaire, avec comme support le visionnage du film animé « Les enfants loups, Ame et Yuki » de Mamoru Hosoda.
Le présent mémoire développe une réflexion et une mise en place pédagogique à l’école élémentaire autour des compétences de géographie à acquérir grâce à l’utilisation du dessin animé japonais. Il se veut un éclairage possible autour de l’éducation à l’image par l’exploitation d’une oeuvre, « Les enfants loups, Ame et Yuki » de Mamoru Hosoda, en lien avec les savoirs en acquisition en élémentaire.
Une synthèse théorique de la notion d’ « habiter », une spécificité des occupations géographiques humaines est proposée, ainsi que ses particularités au Japon. Ce mémoire s’applique également à détailler l’apport possible du cinéma, et plus particulièrement du dessin animé japonais dans la maîtrise de ces notions de géographie au coeur des programmes de cycle 2 et 3.
La séquence pédagogique est exploitée avec une classe de CE1 autour de l’étude des spécificités d’aménagement de l’espace par l’homme à la ville et à la campagne, ainsi que des différences culturelles dans « l’habiter » entre le Japon et la France, notamment en terme d’habitudes éducatives dans le système scolaire, avec comme support le visionnage du film animé « Les enfants loups, Ame et Yuki » de Mamoru Hosoda.
|
|
|
|
Ce mémoire part d'une réaction émotionnelle dûe aux attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015. C'est une réflexion sur la laïcité à l'école, menée sur deux années d'étude en Master MEEF PE, avec une partie théorique et une partie plus pratique. La laïcité doit-elle être prise en charge par l'école ? Pourquoi serait-ce à l'école de prendre en charge la laïcité ? Voici les deux questions qui animent ce mémoire de recherche. La finalité de ce mémoire a une visée pratique, celle de l'enseignement de la laïcité à l'école, afin de faire comprendre ce principe républicain.
Ce mémoire part d'une réaction émotionnelle dûe aux attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015. C'est une réflexion sur la laïcité à l'école, menée sur deux années d'étude en Master MEEF PE, avec une partie théorique et une partie plus pratique. La laïcité doit-elle être prise en charge par l'école ? Pourquoi serait-ce à l'école de prendre en charge la laïcité ? Voici les deux questions qui animent ce mémoire de recherche. La finalité de ce mémoire a une visée pratique, celle de l'enseignement de la laïcité à l'école, afin de faire comprendre ce principe républicain.
|
|
|
|
|
|
|
|
Tout enseignant doit faire preuve d’autorité dans ses classes, mais il s’agit d’une notion complexe, tant dans sa conception que dans sa pratique au quotidien. De nombreux auteurs ont tenté de la définir, B. ROBBES en a notamment proposé trois conceptions : « autoritariste », « évacuée » et « éducative ». Selon lui, il existe plusieurs formes d’exercices de l’autorité qu’il base sur les trois verbes associés chacun à une image : « être » pour celui qui impose les règles, « avoir » pour la personne qui donne envie d’être suivie, et « faire » pour l’expert.
Cependant de nos jours l’autorité ne peut pas être imposée, elle doit être acceptée par l’élève, qui aujourd’hui la remet constamment en question.
L’objet de cette étude est de déterminer une vision de l’autorité vue par des professeurs et comment ils la pratiquent dans leurs classes, et donc sa possible évolution au cours d’une carrière, à travers la problématique suivante : Au cours de sa pratique, de quelles manières un enseignant exerce-t-il l’autorité dans ses différentes classes ?
Pour répondre à cette question, un questionnaire en ligne a été élaboré et soumis à des enseignants titulaires. Par le biais des différentes questions, les professeurs interrogés ont été invités à donner leur conception de l’autorité, ainsi que des éléments de rétrospective de leur pratique sur une année, mais surtout sur leur carrière.
A partir des données récoltées, il est ressorti une conception éducative mais aussi autoritariste de l’autorité qui reposent sur des piliers considérés comme fondamentaux pour l’apprentissage tels que la posture, la relation avec les élèves ou encore le respect et l’obéissance à un règlement. Cependant, cet exercice de l’autorité apparaît comme propre à chaque personne et dépend grandement des élèves rencontrés au cours d’une carrière.
Tout enseignant doit faire preuve d’autorité dans ses classes, mais il s’agit d’une notion complexe, tant dans sa conception que dans sa pratique au quotidien. De nombreux auteurs ont tenté de la définir, B. ROBBES en a notamment proposé trois conceptions : « autoritariste », « évacuée » et « éducative ». Selon lui, il existe plusieurs formes d’exercices de l’autorité qu’il base sur les trois verbes associés chacun à une image : « être » pour celui qui impose les règles, « avoir » pour la personne qui donne envie d’être suivie, et « faire » pour l’expert.
Cependant de nos jours l’autorité ne peut pas être imposée, elle doit être acceptée par l’élève, qui aujourd’hui la remet constamment en question.
L’objet de cette étude est de déterminer une vision de l’autorité vue par des professeurs et comment ils la pratiquent dans leurs classes, et donc sa possible évolution au cours d’une carrière, à travers la problématique suivante : Au cours de sa pratique, de quelles manières un enseignant exerce-t-il l’autorité dans ses différentes classes ?
Pour répondre à cette question, un questionnaire en ligne a été élaboré et soumis à des enseignants titulaires. Par le biais des différentes questions, les professeurs interrogés ont été invités à donner leur conception de l’autorité, ainsi que des éléments de rétrospective de leur pratique sur une année, mais surtout sur leur carrière.
A partir des données récoltées, il est ressorti une conception éducative mais aussi autoritariste de l’autorité qui reposent sur des piliers considérés comme fondamentaux pour l’apprentissage tels que la posture, la relation avec les élèves ou encore le respect et l’obéissance à un règlement. Cependant, cet exercice de l’autorité apparaît comme propre à chaque personne et dépend grandement des élèves rencontrés au cours d’une carrière.
|
|
|
|
L’élève doit constamment passer de la réalité (manipulation) vers l’abstraction. D’abord au moment de l’apprentissage des nombres à l’école maternelle, puis lors des enseignements mathématiques plus complexes à l’école primaire.
Il n’est pas toujours facile, en mathématiques, de proposer des situations alliant
manipulation et abstraction. Le jeu serait-il l’idéal d’une activité alliant plaisir et
apprentissage ? Comment aller du jeu et de la manipulation vers l’abstraction ? Ce mémoire tente d’analyser la mise en œuvre, d’une séquence d’apprentissage en mathématiques dans deux classes distinctes de petite section de maternelle : milieu ordinaire et institut médico-éducatif.
L’élève doit constamment passer de la réalité (manipulation) vers l’abstraction. D’abord au moment de l’apprentissage des nombres à l’école maternelle, puis lors des enseignements mathématiques plus complexes à l’école primaire.
Il n’est pas toujours facile, en mathématiques, de proposer des situations alliant
manipulation et abstraction. Le jeu serait-il l’idéal d’une activité alliant plaisir et
apprentissage ? Comment aller du jeu et de la manipulation vers l’abstraction ? Ce mémoire tente d’analyser la mise en œuvre, d’une séquence d’apprentissage en mathématiques dans deux classes distinctes de petite section de maternelle : milieu ordinaire et institut médico-éducatif.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Dans la société française contemporaine cohabitent des gens venus de tous les horizons culturels et linguistiques. Dans ce contexte, la langue n’est pas seulement un outil de communication mais également un attribut fondamental de l’identité. L’apprentissage d’une nouvelle langue est donc un moyen de s’ouvrir à un autre horizon culturel. Cela favorise la compréhension interculturelle et contribue par là même à faire reculer le racisme. Il est très important que cet apprentissage commence le plus tôt possible – dès la maternelle, dans le cadre de l’éveil aux langues – afin de bâtir un socle solidairement culturel et linguistique solide. Dans le cadre de ce travail de recherche, je me suis intéressée au rôle que joue l’enseignant en tant que médiateur interculturel en classe d’éveil aux langues.
Dans la société française contemporaine cohabitent des gens venus de tous les horizons culturels et linguistiques. Dans ce contexte, la langue n’est pas seulement un outil de communication mais également un attribut fondamental de l’identité. L’apprentissage d’une nouvelle langue est donc un moyen de s’ouvrir à un autre horizon culturel. Cela favorise la compréhension interculturelle et contribue par là même à faire reculer le racisme. Il est très important que cet apprentissage commence le plus tôt possible – dès la maternelle, dans le cadre de l’éveil aux langues – afin de bâtir un socle solidairement culturel et linguistique solide. Dans le cadre de ce travail de recherche, je me suis intéressée au rôle que joue l’enseignant en tant que médiateur interculturel en classe d’éveil aux langues.
|
|
|
|